Comptezvous donner ces écrits au public? Oh! Dieu m'en garde , dit-il \je les ai faits pour mon plaisir, pour causer le soir avec ma femme. Oh oui! que cela est touchant , reprit madame Rousseau ! cette pauvre Sophronie ! j'ai bien pleuré quand mon... Société des textes franca̧is modernes - Page 371907Affichage du livre entier - À propos de ce livre
| Victor Donatien de Musset (called Musset-Pathay), Victor-Donatien Musset-Pathay - 1821 - 564 pages
...lettres sur la botanique et des morceaux charmants , traduits du Tasse. Comptezvous donner ces écrits au public ? Oh! Dieu m'en garde! dit-il ,je les ai...femme. — Oh! oui , que cela est touchant ! reprit madame Rousseau; cette pauvre Sophronie ! j'ai bien pleuré quand mon mari m'a lu cet endroit-là.... | |
| Victor Conatien de Mussett - 1827 - 508 pages
...lettres sur la botanique et des morceaux charmants , traduits du Tasse. Comptezvous donner ces écrits au public? « Oh! Dieu m'en «garde! dit-il, je les...femme. » — Oh ! oui , que cela est touchant! reprit madame Rousseau; cette pauvre Sophronie! j'ai bien pleuré quand mon mari m'a lu cet endroit-là. Enfin... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1833 - 508 pages
...lettres sur la botanique et des morceaux charmants , traduits du Tasse. Comptezvous donner ces écrits au public ? « Oh ! Dieu m'en «garde! dit-il, je...femme. — Oh ! oui, que cela est touchant ! reprit madame Rousseau ; cette pauvre Sophronie! j'ai bien pleuré quand mon mari m'a lu cet endroit-là.... | |
| Auguste Meylan - 1878 - 154 pages
...Tasse. Comptez-vous donner ces écrits au public ? Oh ! Dieu m'en garde ! dit-il, je les ai fait ponr mon plaisir, pour causer le soir avec ma femme. «...pauvre Sophronie ! j'ai bien pleuré quand mon mari m'a lu cet endroit-là. Enfin, elle m'avertit qu'il était 9 heures du soir ; j'avais passé dix heures... | |
| Bernardin de Saint-Pierre - 1907 - 212 pages
...petite racine — 20 je me soucie peu — 21 bien manger du votre 1. demi, de la main d'Aimé Martin. n'en ai point. Je suis comme le Cordelier qui prechoit...femme. — Oh ! oui, que cela est touchant, reprit M me Rousseau. Cette pauvre Sophronie ! j'ai bien pleuré quand mon mari 15 m'a lu cet endroit la.... | |
| Hippolyte Buffenoir - 1909 - 552 pages
...le lévite dont les Benjamites violèrent la femme, des morceaux charmants traduits du Tasse. « — Oh! Dieu m'en garde! dit-il; je les ai faits pour...pauvre Sophronie! J'ai bien pleuré quand mon mari m'a lu cet endroit-là. « Enfin, elle m'avertit qu'il était neuf heures du soir : j'avais passé... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1948 - 304 pages
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| Jean-Jacques Rousseau - 1948 - 290 pages
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