Histoire de la littérature française depuis ses origines jusqu'à nos joursL. Hachette et cie., 1855 - 678 pages |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-5 sur 100
Page 1
... monde moderne qui se constitue au moyen âge , il y a six siècles de laborieuse préparation , pendant lesquels toutes les forces vivantes qui doivent produire une civilisa- tion nouvelle s'agitent en désordre et comme dans un vaste chaos ...
... monde moderne qui se constitue au moyen âge , il y a six siècles de laborieuse préparation , pendant lesquels toutes les forces vivantes qui doivent produire une civilisa- tion nouvelle s'agitent en désordre et comme dans un vaste chaos ...
Page 15
... monde , attire et assimile tout élément étranger . La plèbe , c'est - à - dire les vaincus , les nouveaux Romains , lutte e en vain au nom du principe humain de la liberté ; le jour où la liberté semble triompher , où le sénat , ce ...
... monde , attire et assimile tout élément étranger . La plèbe , c'est - à - dire les vaincus , les nouveaux Romains , lutte e en vain au nom du principe humain de la liberté ; le jour où la liberté semble triompher , où le sénat , ce ...
Page 18
... monde que pour le corrompre . Elle en vint à perdre la dernière de ses vertus , le courage militaire . Dès lors la fusion des peuples , l'association des races qui paraît être dans l'histoire l'œuvre suprême de la Providence , sembla s ...
... monde que pour le corrompre . Elle en vint à perdre la dernière de ses vertus , le courage militaire . Dès lors la fusion des peuples , l'association des races qui paraît être dans l'histoire l'œuvre suprême de la Providence , sembla s ...
Page 24
... monde et de la vie . On voit paraître en même temps deux autres traits de la physionomie germanique qui se conserveront longtemps dans notre histoire : l'un c'est le patronage militaire , le dévouement volontaire de l'homme à l'homme ...
... monde et de la vie . On voit paraître en même temps deux autres traits de la physionomie germanique qui se conserveront longtemps dans notre histoire : l'un c'est le patronage militaire , le dévouement volontaire de l'homme à l'homme ...
Page 26
... monde . La grandeur de Jéhovah , les merveilles de la création , les éloquentes douleurs de Jérémie , les rêves lyri- ques d'Ézéchiel , tout dans ce livre saint devait ébranler les âmes et enflammer les imaginations . Toutefois cette in ...
... monde . La grandeur de Jéhovah , les merveilles de la création , les éloquentes douleurs de Jérémie , les rêves lyri- ques d'Ézéchiel , tout dans ce livre saint devait ébranler les âmes et enflammer les imaginations . Toutefois cette in ...
Table des matières
2 | |
3 | |
4 | |
11 | |
18 | |
20 | |
32 | |
34 | |
342 | |
348 | |
357 | |
365 | |
367 | |
373 | |
383 | |
384 | |
44 | |
53 | |
56 | |
64 | |
72 | |
75 | |
88 | |
103 | |
106 | |
107 | |
112 | |
118 | |
119 | |
125 | |
137 | |
145 | |
146 | |
153 | |
161 | |
162 | |
166 | |
168 | |
169 | |
176 | |
179 | |
181 | |
186 | |
214 | |
215 | |
221 | |
228 | |
244 | |
247 | |
256 | |
261 | |
269 | |
274 | |
276 | |
278 | |
290 | |
298 | |
308 | |
319 | |
320 | |
329 | |
330 | |
337 | |
338 | |
389 | |
391 | |
394 | |
400 | |
401 | |
404 | |
414 | |
420 | |
422 | |
428 | |
433 | |
439 | |
445 | |
454 | |
464 | |
469 | |
483 | |
491 | |
493 | |
497 | |
498 | |
500 | |
503 | |
514 | |
527 | |
530 | |
533 | |
539 | |
540 | |
543 | |
544 | |
548 | |
552 | |
565 | |
569 | |
571 | |
582 | |
588 | |
605 | |
615 | |
616 | |
617 | |
623 | |
634 | |
644 | |
667 | |
668 | |
678 | |
Autres éditions - Tout afficher
Histoire de la littérature française depuis ses origines jusqu'à nos jours Jacques Demogeot Affichage du livre entier - 1857 |
Histoire de la littérature française depuis ses origines jusqu'à ..., Volume 1 Jacques Demogeot Affichage du livre entier - 1857 |
Expressions et termes fréquents
Aiol Alcuin amour antique avaient barbares bardes belle Bertran de Born bon sens Bossuet c'était caractère Chanson de Roland chansons chansons de Geste chants Charlemagne Charles Charles d'Orléans charme chevaleresque chevalerie chevaliers chose chrétienne chroniques civilisation clercs cœur contemporains Corneille d'Arthur dame Dieu écrivain époque Érasme esprit féodale forme française François Ier Froissart Gaule génie germanique gloire goût Grèce guerre héroïque Histoire homme idées jongleurs l'âme l'amour l'antiquité l'Église l'épopée l'esprit l'histoire langage langue latin lettres littéraire littérature livre Louis Louis XIV lui-même maître ment merveilleux moderne mœurs monastères monde Montaigne morale mort moult moyen âge noble œuvres ouvrage parler passé passion pensée peuple philosophie poëme poésie poëte poétique politique populaire premier prince quelquefois religieux Renaissance rien Roman Rome Ronsard Rutebeuf saint satire savant scène science scolastique semble sent seul société style sujet théâtre tion tragédie traité troubadours trouve trouvères vérité verve Voltaire XVIe siècle XVIIe
Fréquemment cités
Page 511 - Quand le soir approchait je descendais des cimes de l'île et j'allais volontiers m'asseoir au bord du lac, sur la grève, dans quelque asile caché ; là le bruit des vagues et l'agitation de l'eau fixant mes sens et chassant de mon âme toute autre agitation la plongeaient dans une rêverie délicieuse où la nuit me surprenait souvent sans que je m'en fusse aperçu. Le flux et le reflux de cette eau, son bruit continu mais renflé par intervalles frappant sans relâche mon oreille et mes yeux,...
Page 517 - Les lois, dans la signification la plus étendue, sont les rapports nécessaires qui dérivent de la nature des choses ; et, dans ce sens, tous les êtres ont leurs lois : la divinité a ses lois, le monde matériel a ses lois, les intelligences supérieures à l'homme ont leurs lois, les bêtes ont leurs lois, l'homme a ses lois.
Page 54 - Karlo, et in adjudha et in cadhuna cosa, si cum om per dreit son fradra salvar dist, in o quid il mi altresi fazet ; et ab Ludher nul plaid nunquam prindrai , qui, meon vol, cist meon fradre Karle in damno sit.
Page 421 - Pour bien écrire, il faut donc posséder pleinement son sujet, il faut y réfléchir assez pour voir clairement l'ordre de ses pensées, et en former une suite, une chaîne continue, dont chaque point représente une idée; et lorsqu'on aura pris la plume, il faudra la conduire successivement sur ce premier trait, sans lui permettre de s'en écarter, sans l'appuyer trop inégalement, sans lui donner d'autre mouvement que celui qui sera déterminé par l'espace qu'elle doit parcourir.
Page 353 - ... l'on est auteur, et que l'on croit marcher tout seul, on s'élève contre eux, on les maltraite, semblable à ces enfants drus et forts d'un bon lait qu'ils ont sucé , qui battent leur nourrice.
Page 489 - Vous vous fiez à l'ordre actuel de la société sans songer que cet ordre est sujet à des révolutions inévitables, et qu'il vous est impossible de prévoir ni de prévenir celle qui peut regarder vos enfants. Le grand devient petit, le riche devient pauvre, le monarque devient sujet : les coups du sort sont-ils si rares que vous puissiez compter d'en être exempt ? Nous approchons de l'état de crise et du siècle des révolutions...
Page 386 - Ceux qui ont le raisonnement le plus fort, et qui digèrent le mieux leurs pensées afin de les rendre claires et intelligibles, peuvent toujours le mieux persuader ce qu'ils proposent, encore qu'ils ne parlassent que bas-breton et qu'ils n'eussent jamais appris de rhétorique...
Page 253 - Tertullien, parce qu'il nous montre encore quelque forme humaine, ne lui demeure pas longtemps : il devient un je ne sais quoi, qui n'a plus de nom dans aucune langue; tant il est vrai que tout meurt en lui, jusqu'à ces termes funèbres par lesquels on exprimait ses malheureux...
Page 396 - Versailles, le plus triste et le plus ingrat de tous les lieux, sans vue, sans bois, sans eau, sans terre, parce que tout y est sable mouvant ou marécage, sans air par conséquent qui n'y peut être bon.
Page 639 - Il faut donc que le drame soit un miroir de concentration qui , loin de les affaiblir, ramasse et condense les rayons colorants, qui fasse d'une lueur une lumière, d'une lumière une flamme.