Mémoires complets et authentiques de Charles-Maurice de Talleyrand, prince de Bénévent: Texte conforme au manuscrit original, Volume 1J. de Bonnot, 1967 |
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... a appelé depuis les intérêts révolutionnaires n'existait pas encore , aurait désavoué les doctrines et condamné les préten- tions de l'Assemblée . Rien alors n'eût été plus facile que de la dissoudre . Ces doctrines et ces prétentions ...
... a appelé depuis les intérêts révolutionnaires n'existait pas encore , aurait désavoué les doctrines et condamné les préten- tions de l'Assemblée . Rien alors n'eût été plus facile que de la dissoudre . Ces doctrines et ces prétentions ...
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... aurait pas créé cette nécessité ; il aurait au contraire présenté l'unique chance qu'il y eût encore de s'y soustraire , en la rendant , de présente et d'absolue qu'elle était , contingente et simple- ment possible . L'Assemblée s ...
... aurait pas créé cette nécessité ; il aurait au contraire présenté l'unique chance qu'il y eût encore de s'y soustraire , en la rendant , de présente et d'absolue qu'elle était , contingente et simple- ment possible . L'Assemblée s ...
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... aurait pu s'attendre à en retrouver les effets dans ces ins- tants de calme où tout homme redescend en lui - même . Il aurait , du moins , donné à ses goûts les bornes conventionnelles de l'opinion . S'il avait eu un attrait vif pour ...
... aurait pu s'attendre à en retrouver les effets dans ces ins- tants de calme où tout homme redescend en lui - même . Il aurait , du moins , donné à ses goûts les bornes conventionnelles de l'opinion . S'il avait eu un attrait vif pour ...
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Expressions et termes fréquents
affaires étrangères ambassadeur arrêté arriver ARTICLE assez aurait avaient baron Bayonne Beauharnais Bonaparte c'était Calonne cardinal Charles chose clergé comte d'Artois confédération du Rhin confiance Convention cour d'Escoïquiz d'Espagne Député devait devint directoire donner duc d'Orléans émigra entra épousa Erfurt espagnoles esprit états généraux évêque fallait famille Ferdinand Ferdinand VII fille finances française gouvernement grand-duc de Berg guerre hommes j'ai j'avais j'étais jour l'abbé l'Angleterre l'armée l'Assemblée l'Autriche l'empereur Alexandre l'empereur Napoléon l'empire l'esprit l'Europe l'Infantado laissé lettre lieutenant général Louis XVI madame madame de Genlis madame de Staël Madrid maison Majesté l'empereur maréchal membre ment ministre mourut n'avait n'était Napoléon négociations noble nommé ordres Paix parlement passa pays personne peuple philosophes politique Portugal pouvait pouvoir premier président prince des Asturies princesse projet Prusse reine resta Révolution Rhin rien royale royaume Russie s'était serait seul Siéyès Sire Talleyrand Tilsitt tion traité trône troupes trouvait Valençay voulait