| Friedrich Melchior Freiherr von Grimm - 1813 - 592 pages
...soutiens d'institution divine , j'étais assez fâché de voir le premier poète de France la yioler envers une bonne femme qui prenait toutes ses pantalonnades...et qui, si elle ne procure .pas aux Corses les lois qu'il s désirent, nous vaudra peut-être un ouvrage de Jean-Jacques d'un caractère neuf et piquant.... | |
| Friedrich Melchior Freiherr von Grimm, Grimm - 1813 - 596 pages
...l'hospitalité , et qui la soutiens d'institution divine , j'étais assez fâché de voir le premier poète de France la violer envers une bonne femme qui prenait...Voilà une démarche qui flattera singulièrement le ci -devant soi-disant citoyen de Genève, et qui, si elle ne procure pas aux. Corses les lois qu'ils... | |
| Friedrich Melchior Freiherr von Grimm - 1814 - 492 pages
...l'hospitalité, et qui la soutiens d'institution divine, j'étais assez fâché de voir le premier poète de France la violer envers une bonne femme qui prenait...les lois qu'ils désirent, nous vaudra peutêtre un ouvrage de Jean-Jacques d'un caractère neuf et piquant. On prétend que d'autres Corses se sont aussi... | |
| Friedrich Melchior Freiherr von Grimm - 1829 - 512 pages
...l'hospitalité, et qui la soutiens d'institution divine, j'étais assez fâché de voir le premier poète de France la violer envers une bonne femme qui prenait...les lois qu'ils désirent, nous vaudra peut-être un ouvrage de Jean-Jacques d'un caractère neuf et piquant (i). On prétend que d'autres Corses se sont... | |
| Friedrich Melchior Freiherr von Grimm - 1829 - 664 pages
...l'hospitalité, et qui la soutiens d'institution divine, j'étais assez fâché de voir le premier poète de France la violer envers une bonne femme qui prenait...J.-J. Rousseau pour lui demander des lois pour sa nalion. Voilà une démarche qui flattera singulièrement le ci-devant soi-disant citoyen de Genève,... | |
| Friedrich Wilhelm Barthold - 1846 - 640 pages
...l'hospitalité, et qui la soutiens d'institution divine, j'étais assez fâché de voir le premieur poète de France la violer envers une bonne femme qui prenait toutes ses pantalonnades au pied de la lettre." — Uebrigenê flreitm ftdji ältere iinb neuere îlutoritâten über ba§ SKt|rrort, ичТфев... | |
| Lucien Perey, Gaston Maugras - 1885 - 566 pages
...Et moi qui crois religieusement à l'hospitalité, j'étais assez fâchée de voir le premier poète de France la violer envers une bonne femme qui prenait toutes ses pantalonnades au pied de la lettre. » Cette plaisanterie ne doit pas étonner de la part An prince des moqueurs, comme l'appelle madame... | |
| Académie des sciences, belles-lettres et arts de Rouen (France) - 1890 - 536 pages
...moi, qui crois religieusement à l'hospitalité, j'étais assez fâchée de voir le premier poète de France la violer envers une bonne femme qui prenait toutes ses pantalonnades au pied de la lettre. » Je n'affirme pas que cette histoire soit vraie. IVoublions pas qu'elle nous est racontée par une... | |
| André Bellessort - 1925 - 436 pages
...d'Ëpinay présente fut fâchée, dit-elle, « de voir le premier « poète de France violer l'hospitalité envers une bonne « femme qui prenait toutes ses pantalonnades au pied « de la lettre ». Elle ne fut probablement pas la seule à s'étonner qu'un homme aussi courtois, aussi spirituel... | |
| Grace A. Gill-Mark - 1927 - 202 pages
...l'hospitalité, et qui la soutiens d'institution divine, j'étais assez fâché de voir le premier poète de France la violer envers une bonne femme qui prenait toutes ses pantalonnades au pied de la lettre2. » A cette même époque, à propos également de la publication des Lettres de voyage de... | |
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