SCÈNE VI. VALÈRE, ARISTE. VALÈRE. ееее Ah! les affreux chemins, et le maudit pays! A Ariste. Mais, de grâce, monsieur, voulez-vous bien m'apprendre l l l l l l l l l l lllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllll ARISTE. Il serait mieux d'attendre: En ce moment, monsieur, il est fort occupé. VALÈRE. Et Florise? On viendrait, ou je suis bien trompé; Et quand un gendre arrive, on n'a point d'autre affaire. ARISTE. Eh quoi! surprendre ainsi! Votre mère voulait vous présenter ici, A ce qu'on m'a dit. VALÈRE. Bon! vieille cérémonie. D'ailleurs, je sais très-bien que l'affaire est finie. Est aujourd'hui chez moi maître de la maison; ARISTE. Sur l'amitié d'Ariste, et sur sa bonne foi....... ARISTE. Ce n'est point sur ce qui me regarde Que je me plains des traits que votre erreur hasarde; VALÈRE. Vous me faites ici les honneurs de ma mère, Je ne sais pas pourquoi. Son amitié m'est chère. ARISTE. lllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllz. Valère, vous voilà, ce langage est le vôtre : Oui, le bien vous est propre, et le mal est d'un autre. Oh! voici les sermons, l'ennui!.. Mais, s'il vous plaît, Ne ferions-nous pas bien d'aller voir où l'on est? Il convient... ARISTE. Un moment. Si l'amitié sincère M'autorise à parler au nom de votre mère, Vous savez?... VALÈRE. ARISTE. Je le sais. VALÈRE. Ce n'est point un mystère Bien merveilleux : j'avais à parler d'une affaire Qui regarde Cléon, et m'intéresse fort; J'ai voulu librement l'entretenir d'abord, Sans être interrompu par la mère et la fille, Comme il est mon ami... C'est un homme d'esprit, de bonne compagnie, Ah! ne l'est pas qui veut. ееееееееееееее ARISTE. Et si l'on vous montrait Que vous le haïrez? VALERE. On serait bien adroit. ARISTE. Si l'on vous faisait voir que ce bon air, ces grâces, llllllllllllllllllllllllllllllllllllllllle |