୪୪୪୪୪୪୪୪ ୪୪୪୪୪୪୪୪୪୪୪୪୪୪୪୪୪ llllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllle: LISETTE. Mais, madame, pas trop ce couvent m'épouvante. FLORISE. Pour y suivre Chloé je destine Marton; Dis-moi, n'en es-tu pas extrêmement contente? Conviens qu'il est charmant; et laisse, je te prie, LISETTE. Moi, madame! eh, mon Dieu! je n'aimerais rien tant Si vous l'aimez toujours, il faut bien que je l'aime. FLORISE. Ah! tu l'aimeras donc; je te jure aujourd'hui 27 ୪୪୪୪୪୪ Cléon a tous les tons, tous les esprits ensemble; Il est toujours nouveau : tout le reste me semble Et je rougis des gens qu'on me voyait souffrir. LISETTE. Vous avez bien raison quand on a l'avantage FLORISE. Quoi? LISETTE. Rien. Non. l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l llllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllle Eh bien !... J'ai cru m'apercevoir Qu'il n'avait pas pour vous tout le goût qu'il vous marque; Il me parle souvent, et souvent je remarque FLORISE. Chimère! il faut pourtant éclaircir ce nuage; Qu'à la mettre au couvent je m'apprête aujourd'hui : LISETTE. Je voudrais qu'en secret vous vinssiez nous entendre ; FLORISE. Quelle folie! LISETTE. Oh! non. lllllllllllllllllllle Il faut s'aider de tout dans un juste soupçon; Si ce n'est pas pour vous, que ce soit pour moi-même ; Que quand nous aurons fait l'épreuve où je l'attends. ୪୪ FLORISE. Mais comment ferions-nous? LISETTE. Ah! rien n'est plus facile : C'est avec moi tantôt que vous verrez son style; Et de ce cabinet vous pourriez vous donner FLORISE. Tout ce que tu voudras; je ne veux que m'instruire LISETTE. Eh bien ! c'est de ma part une galanterie ; L'éloge des absents se fait sans flatterie. Il faudra que sur vous, dans tout cet entretien, ୪୪୪୪୪୪୪୪୧ |