Colonisation de l'AlgérieP. Bertrand, 1843 - 542 pages |
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Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 493 - Gibbon, (Histoire de la décadence et de la chute de l'empire romain) 11 Cooper, The Pilot 3 Nibby, Roma5 1 Burton, Roma6 1 tei...
Page 495 - ... leurs coutumes, on ne parviendrait jamais à associer les vainqueurs aux vaincus. La perte irréparable de la flotte française avait décidé du sort d'une armée qui ne pouvait plus être recrutée ni secourue par la métropole.
Page 251 - Ces rues étroites, et ces toits élevés, ne laissaient pas, à beaucoup près , un passage aussi libre aux rayons du soleil ; au lieu que, maintenant, toute cette largeur qui reste à découvert , sans aucune ombre qui la défende , est en butte à tous les traits d'une chaleur brûlante.
Page 86 - ... le moins, c'est celui qu'on redoute le plus. Pourquoi ? C'est qu'il ya un contresens dans la législation, c'est que la loi des hypothèques qui devrait être faite pour assurer les créances ne laisse pas les créanciers sans inquiétude sur leur conservation, et la loi d'expropriation, qui aurait dû être conçue pour en assurer le recouvrement, agit en sens précisément contraire, c'est-à-dire qu'on semble avoir tout fait, tout imaginé contre le créancier pour empêcher qu'il n'ait son...
Page 29 - C'est à un conquérant à réparer une partie des maux qu'il a faits. Je définis ainsi le droit de' conquête : un droit nécessaire, légitime, et malheureux , qui laisse toujours à payer une dette immense pour s'acquitter envers la nature humaine.
Page 199 - Le beylick de Constantine était un vrai royaume dans le royaume ; sa nombreuse population, l'étendue et la richesse de son territoire, ses relations faciles avec la fertile régence de Tunis, sa profondeur dans l'intérieur des terres, l'élévation et par conséquent la température de la plus grande partie des terres cultivables, enfin la douceur d'une population qui se laissait gouverner par quelques centaines de Turcs...
Page 492 - Recherches sur l'histoire de la partie de l'Afrique septentrionale connue sous le nom de Régence d'Alger, et sur l'administration et la colonisation de ce pays à l'époque de la domination romaine, par une commission de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres; publiées par ordre du ministre de la guerre, (tome 1er) Paris, Imp.
Page 462 - Landmunn, ancien curé de Constantine, a écrit sur la colonisation de l'Algérie, et s'en occupe avec un zèle apostolique. Prêtre chrétien, il voudrait voir le christianisme, par son clergé même, jouer en Algérie le rôle civilisateur qu'il a joué jadis dans toute l'Europe ; ce serait, en effet, un hien heau réveil, selon moi, les évêques de France ne possèdent plus ce.
Page 503 - Toujours est-il qu'en ce moment l'intelligence humaine rêve aux moyens de pourvoir aux intérêts matériels et moraux de l'humanité. Les savants qui sont dans cette voie, quels que soient les écarts de leur pensée, sont évidemment dans la route de l'avenir, quand bien même ils seraient traités par les grands génies de nos jours comme ont été traités Chateaubriand...
Page 502 - Académie française; 2° — des inscriptions et belles-lettres ; 3° — des sciences ; 4° — des Beaux-arts. Depuis 1830, on a conservé l'ordre des quatre Académies; mais l'on a ajouté, à leur suite, une cinquième, l'Académie des sciences morales et politiques.