Quid Secundatus politicae scientiae instituendae contuleritex Typis Gounouilhou, 1892 - 74 pages |
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Page 13
... potius quam e statu socie- tatum deducere soleant , haec scientia , si modo eo nomine uti liceat , nihil quod vere politicum sit ple- rumque in se continet . Quid enim ? Cum demonstra- tum est homines ad libertatem uatos esse , aut ...
... potius quam e statu socie- tatum deducere soleant , haec scientia , si modo eo nomine uti liceat , nihil quod vere politicum sit ple- rumque in se continet . Quid enim ? Cum demonstra- tum est homines ad libertatem uatos esse , aut ...
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... potius expri- mit ; Aristocratiam autem , cum Secundato adulterata Democratia esse videatur ( eam enim eo magis perfectam esse censet quo Democratiae similior ) ( 3 ) sine erroris periculo omittere licet . Quid autem , in tali societate ...
... potius expri- mit ; Aristocratiam autem , cum Secundato adulterata Democratia esse videatur ( eam enim eo magis perfectam esse censet quo Democratiae similior ) ( 3 ) sine erroris periculo omittere licet . Quid autem , in tali societate ...
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... potius videtur quam ea quae omnibus communia sunt . III At enim , si vere societatum species separaverit ac descripserit , cur eas ita definiit et his nominibus appel- lavit ? Nempe non ex laboris divisione , non e socialis vinculi ...
... potius videtur quam ea quae omnibus communia sunt . III At enim , si vere societatum species separaverit ac descripserit , cur eas ita definiit et his nominibus appel- lavit ? Nempe non ex laboris divisione , non e socialis vinculi ...
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... potius quam rebus inest ; nam praeter quae ad populi regimen pertinent , multa alia enumerat quibus societates alias ab aliis discriminat . Immo vero , si verba quibus utitur negligimus , nihil forsan in toto opere reperietur quod ...
... potius quam rebus inest ; nam praeter quae ad populi regimen pertinent , multa alia enumerat quibus societates alias ab aliis discriminat . Immo vero , si verba quibus utitur negligimus , nihil forsan in toto opere reperietur quod ...
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... potius colunt . religion a ordinairement tant de forces , c'est qu'elle forme une espèce de dépôt et de permanence , et , si ce n'est pas la religion , ce sont les coutumes qu'on y vénère au lieu de lois . » ( II , 4. ) ( 1 ) << Dans ...
... potius colunt . religion a ordinairement tant de forces , c'est qu'elle forme une espèce de dépôt et de permanence , et , si ce n'est pas la religion , ce sont les coutumes qu'on y vénère au lieu de lois . » ( II , 4. ) ( 1 ) << Dans ...
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Quid Secundatus politicae scientiae instituendae contulerit Emile Durkheim Affichage du livre entier - 1892 |
Expressions et termes fréquents
adeo aliquid Aristoteles c'est causa causis ceteris Ceterum civilia instituta conditionibus corporis politici cujus deductio deductione definitione Democratiae eamdem earum eorumdem essentia Etenim ethica exempli gratia experientia exprimunt facta fertilitas genera gouvernement despotique hanc contingentiam historia homines humanae igitur iisdem Immo institutioni ipsa Itaque juris legislatoris legum logica lois mathematico metaphysica methodo methodum Monarchia morbus mores moribus naturae leges necessario Nempe neque nihil aliud oeconomia ordinem certum PARISIENSI partes physica politica scientia politicae vitae politicarum rerum populi possit potest Praeterea principes principia principium procul abest quin propterea psychologia qu'il quaedam quamvis quanquam rationale Reipublicae Republica rerum connexiones rerum natura rerum observatione res politicas revera Sane scien Scientiae politicae scilicet Secun Secundato sine quadam sine ulla sint socie societas societatis forma societatis natura societatum species sola sponte suam sui juris tamen tantummodo universale esse posse vere videtur violari possunt vitae formas vitam
Fréquemment cités
Page 31 - La liberté politique ne se trouve que dans les gouvernements modérés. Mais elle n'est pas toujours dans les États modérés ; elle n'y est que lorsqu'on n'abuse pas du pouvoir ; mais c'est une expérience éternelle que tout homme qui a du pouvoir est porté à en abuser ; il va jusqu'à ce qu'il trouve des limites. Qui le dirait ! la vertu même a besoin de limites.
Page 33 - DANS les monarchies, la politique fait faire les grandes choses avec le moins de vertu qu'elle peut; comme, dans les plus belles machines, l'art emploie aussi peu de mouvements, de forces et de roues qu'il est possible.
Page 23 - Avant qu'il y eût des lois faites, il y avait des rapports de justice possibles. Dire qu'il n'ya rien de juste ni d'injuste que ce qu'ordonnent ou défendent les lois positives, c'est dire qu'avant qu'on eût tracé de cercle, tous les rayons n'étaient pas égaux. Il faut donc avouer des rapports d'équité antérieurs à la loi positive qui les établit...
Page 20 - Avant toutes ces lois sont celles de la nature, ainsi nommées parce qu'elles dérivent uniquement de la constitution de notre être. Pour les connaître bien, il faut considérer un homme avant l'établissement des sociétés. Les lois de la nature seront celles qu'il recevrait dans un état pareil.
Page 31 - MONARCHIE les démocraties se perdent lorsque le peuple \^> dépouille le sénat, les magistrats et les juges de leurs fonctions, les monarchies se corrompent lorsqu'on ôte peu à peu les prérogatives des corps ou les privilèges des villes. Dans le premier cas, on va au despotisme de tous; dans l'autre, au despotisme d'un seul.
Page 32 - Le gouvernement monarchique suppose , comme nous avons dit , des prééminences, des rangs, et même une noblesse d'origine. La nature de l'honneur est de demander des préférences et des distinctions : il est donc, par la chose même, placé dans ce gouvernement.
Page 48 - ... physique suit les siennes. La raison en eSt que les êtres particuliers intelligents sont bornés par leur nature, et par conséquent sujets à l'erreur; et, d'un autre côté, il eSt de leur nature qu'ils agissent par eux-mêmes.
Page 44 - Dans la naissance des sociétés, dit Montesquieu, ce sont les chefs des républiques qui font l'institution, et c'est ensuite l'institution qui forme les chefs des républiques.
Page 32 - L'ambition est pernicieuse dans une république : elle a de bons effets dans la monarchie; elle donne la vie à ce gouvernement ; et on ya cet avantage qu'elle n'y est pas dangereuse, parce qu'elle y peut être sans cesse réprimée.
Page 53 - J'ai d'abord examiné les hommes, et j'ai cru que, dans cette infinie diversité de lois et de mœurs, ils n'étaient pas uniquement conduits par leurs fantaisies. J'ai posé les principes, et j'ai vu les cas particuliers s'y plier comme d'eux-mêmes, les histoires de toutes les nations n'en être que les suites, et chaque loi particulière liée avec une autre loi, ou dépendre d'une autre plus générale.