Quid Secundatus politicae scientiae instituendae contuleritex Typis Gounouilhou, 1892 - 74 pages |
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... quas nulla selectio fieri possit : describi autem infinitum nequit . Nihil aliud igitur reliquum esset nisi ut poetarum litte- ratorumque more tractentur qui res , quales esse viden- tur , sine ulla ratione et methodo depingunt . Contra ...
... quas nulla selectio fieri possit : describi autem infinitum nequit . Nihil aliud igitur reliquum esset nisi ut poetarum litte- ratorumque more tractentur qui res , quales esse viden- tur , sine ulla ratione et methodo depingunt . Contra ...
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... quas de rebus habemus , ordine certo disponere qui idem sit atque ordo rerum . Quod autem hoc continet , in rebus ipsis eundem ordinem existere , id est continuas series esse quarum partes inter se ita connectantur ut effectus quisque ...
... quas de rebus habemus , ordine certo disponere qui idem sit atque ordo rerum . Quod autem hoc continet , in rebus ipsis eundem ordinem existere , id est continuas series esse quarum partes inter se ita connectantur ut effectus quisque ...
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... quas scientia methodo sua antea jam demonstraverit , in aliam quamdam linguam translatae . Non agitur enim nescio quam novam civitatem instaurare , sed justas civitatum formas definire : quod scientiae proprium est . Quia autem populo ...
... quas scientia methodo sua antea jam demonstraverit , in aliam quamdam linguam translatae . Non agitur enim nescio quam novam civitatem instaurare , sed justas civitatum formas definire : quod scientiae proprium est . Quia autem populo ...
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... quas describit utilitate ; eas autem quaestiones alia ratione quam quae erat in usu tractat . Non omnia quae facta sunt laudat , sed quid bonum sit , quid non , e normis decernit quas e rebus ipsis traxit quaeque , ob eam causam , rerum ...
... quas describit utilitate ; eas autem quaestiones alia ratione quam quae erat in usu tractat . Non omnia quae facta sunt laudat , sed quid bonum sit , quid non , e normis decernit quas e rebus ipsis traxit quaeque , ob eam causam , rerum ...
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... quas ceterae scientiae tractant . Leges quidem enumerat quae ex humana conditione , remota omni societate , sequantur quaeque igitur ad meram psychologiam pertineant ; eas naturae leges appellat ( 1 ) . Sed quales sint attende : jus ...
... quas ceterae scientiae tractant . Leges quidem enumerat quae ex humana conditione , remota omni societate , sequantur quaeque igitur ad meram psychologiam pertineant ; eas naturae leges appellat ( 1 ) . Sed quales sint attende : jus ...
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Quid Secundatus politicae scientiae instituendae contulerit Emile Durkheim Affichage du livre entier - 1892 |
Expressions et termes fréquents
adeo aliquid Aristoteles c'est causa causis ceteris Ceterum civilia instituta conditionibus corporis politici cujus deductio deductione definitione Democratiae eamdem earum eorumdem essentia Etenim ethica exempli gratia experientia exprimunt facta fertilitas genera gouvernement despotique hanc contingentiam historia homines humanae igitur iisdem Immo institutioni ipsa Itaque juris legislatoris legum logica lois mathematico metaphysica methodo methodum Monarchia morbus mores moribus naturae leges necessario Nempe neque nihil aliud oeconomia ordinem certum PARISIENSI partes physica politica scientia politicae vitae politicarum rerum populi possit potest Praeterea principes principia principium procul abest quin propterea psychologia qu'il quaedam quamvis quanquam rationale Reipublicae Republica rerum connexiones rerum natura rerum observatione res politicas revera Sane scien Scientiae politicae scilicet Secun Secundato sine quadam sine ulla sint socie societas societatis forma societatis natura societatum species sola sponte suam sui juris tamen tantummodo universale esse posse vere videtur violari possunt vitae formas vitam
Fréquemment cités
Page 31 - La liberté politique ne se trouve que dans les gouvernements modérés. Mais elle n'est pas toujours dans les États modérés ; elle n'y est que lorsqu'on n'abuse pas du pouvoir ; mais c'est une expérience éternelle que tout homme qui a du pouvoir est porté à en abuser ; il va jusqu'à ce qu'il trouve des limites. Qui le dirait ! la vertu même a besoin de limites.
Page 33 - DANS les monarchies, la politique fait faire les grandes choses avec le moins de vertu qu'elle peut; comme, dans les plus belles machines, l'art emploie aussi peu de mouvements, de forces et de roues qu'il est possible.
Page 23 - Avant qu'il y eût des lois faites, il y avait des rapports de justice possibles. Dire qu'il n'ya rien de juste ni d'injuste que ce qu'ordonnent ou défendent les lois positives, c'est dire qu'avant qu'on eût tracé de cercle, tous les rayons n'étaient pas égaux. Il faut donc avouer des rapports d'équité antérieurs à la loi positive qui les établit...
Page 20 - Avant toutes ces lois sont celles de la nature, ainsi nommées parce qu'elles dérivent uniquement de la constitution de notre être. Pour les connaître bien, il faut considérer un homme avant l'établissement des sociétés. Les lois de la nature seront celles qu'il recevrait dans un état pareil.
Page 31 - MONARCHIE les démocraties se perdent lorsque le peuple \^> dépouille le sénat, les magistrats et les juges de leurs fonctions, les monarchies se corrompent lorsqu'on ôte peu à peu les prérogatives des corps ou les privilèges des villes. Dans le premier cas, on va au despotisme de tous; dans l'autre, au despotisme d'un seul.
Page 32 - Le gouvernement monarchique suppose , comme nous avons dit , des prééminences, des rangs, et même une noblesse d'origine. La nature de l'honneur est de demander des préférences et des distinctions : il est donc, par la chose même, placé dans ce gouvernement.
Page 48 - ... physique suit les siennes. La raison en eSt que les êtres particuliers intelligents sont bornés par leur nature, et par conséquent sujets à l'erreur; et, d'un autre côté, il eSt de leur nature qu'ils agissent par eux-mêmes.
Page 44 - Dans la naissance des sociétés, dit Montesquieu, ce sont les chefs des républiques qui font l'institution, et c'est ensuite l'institution qui forme les chefs des républiques.
Page 32 - L'ambition est pernicieuse dans une république : elle a de bons effets dans la monarchie; elle donne la vie à ce gouvernement ; et on ya cet avantage qu'elle n'y est pas dangereuse, parce qu'elle y peut être sans cesse réprimée.
Page 53 - J'ai d'abord examiné les hommes, et j'ai cru que, dans cette infinie diversité de lois et de mœurs, ils n'étaient pas uniquement conduits par leurs fantaisies. J'ai posé les principes, et j'ai vu les cas particuliers s'y plier comme d'eux-mêmes, les histoires de toutes les nations n'en être que les suites, et chaque loi particulière liée avec une autre loi, ou dépendre d'une autre plus générale.