Cours familier de littérture: une entretien par moisChez l'auteur, 1869 |
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Page 27
... gens de bien de ce pays - ci depuis ma venue , jusqu'à ha- sarder tout ce qu'ils ont pour moi et pour ma cause ! ... Gardez - moi bien secret , car il m'en coù- terait la vie ! ... J'ai la fièvre de cette lettre . » On voit que , dès ...
... gens de bien de ce pays - ci depuis ma venue , jusqu'à ha- sarder tout ce qu'ils ont pour moi et pour ma cause ! ... Gardez - moi bien secret , car il m'en coù- terait la vie ! ... J'ai la fièvre de cette lettre . » On voit que , dès ...
Page 53
... gens étaient na- vrés et la considéraient en silence . Ils avaient peine à se contenir . Au dessert , Marie parla de son tes- tament où pas un nom ne devait être omis . Elle demanda l'argent et les bijoux qui lui restaient . Elle les ...
... gens étaient na- vrés et la considéraient en silence . Ils avaient peine à se contenir . Au dessert , Marie parla de son tes- tament où pas un nom ne devait être omis . Elle demanda l'argent et les bijoux qui lui restaient . Elle les ...
Page 59
... gens , qui désiraient ne pas avoir l'air de la conduire à la boucherie . La reine , bien qu'elle eût mieux aimé s'appuyer en- core sur eux , condescendit à leur faiblesse et se contenta , pour la soutenir , de deux gardes de Pawlet ...
... gens , qui désiraient ne pas avoir l'air de la conduire à la boucherie . La reine , bien qu'elle eût mieux aimé s'appuyer en- core sur eux , condescendit à leur faiblesse et se contenta , pour la soutenir , de deux gardes de Pawlet ...
Page 84
... gens d'affaires de Montesquieu n'eussent trouvé , après sa mort , une note écrite de sa main , indiquant qu'une somme de sept mille cinq cents francs avait été envoyée par lui à M. Main , banquier anglais à Cadix ; ils demandèrent à ce ...
... gens d'affaires de Montesquieu n'eussent trouvé , après sa mort , une note écrite de sa main , indiquant qu'une somme de sept mille cinq cents francs avait été envoyée par lui à M. Main , banquier anglais à Cadix ; ils demandèrent à ce ...
Page 102
... gens . Considérés comme vivant dans une société qui doit être maintenue , ils ont des lois dans le rapport qu'ont ceux qui gouver- nent avec ceux qui sont gouvernés ; et c'est le droit politique . Ils en ont encore dans le rapport que ...
... gens . Considérés comme vivant dans une société qui doit être maintenue , ils ont des lois dans le rapport qu'ont ceux qui gouver- nent avec ceux qui sont gouvernés ; et c'est le droit politique . Ils en ont encore dans le rapport que ...
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Expressions et termes fréquents
Adraste âme Amélie Amyntas Anaxandride Astyage Atala avaient Bonaparte Bothwell c'était Chactas château Chateaubriand chercher cheval Chine choses climats cœur comte comte de Kent coup Crésus Cyrus d'Astyage d'Atala d'Élisabeth Darius Darnley demanda Démarate devant Dieu dit-il donner douleur duc de Rohan Écosse écrivit Édimbourg Élisabeth enfant épouse femme fille fils Fontanes force frère gens gouvernement Grecs Harpagus Hérodote j'ai j'avais j'étais jeune homme jour jugement l'avait l'enfant Lacédémoniens laisse larmes législation lettre Lettres persanes livre lois lord madame de Staël main malheur Marie Stuart Mèdes Mégabaze Melvil ment mère mœurs monde montagne Montesquieu mort mourir Murray n'avait n'était nation parut passé passions pâtre pays pensée Péoniens père Perses peuple ples pleurs politique pouvait premier prêtre prit qu'un raconte Raigecourt raison reine d'Écosse religion René répondit reste rien s'était sentiment serait serviteurs seul sœur Solon songe sorte terre tion troupes trouve tyage venait vérité voulait Xerxès XXVII
Fréquemment cités
Page 101 - La loi, en général, est la raison humaine, en tant qu'elle gouverne tous les peuples de la terre; et les lois politiques et civiles de chaque nation ne doivent être que les cas particuliers où s'applique cette raison humaine.
Page 97 - Les lois, dans la signification la plus étendue, sont les rapports nécessaires qui dérivent de la nature des choses ; et dans ce sens, tous les êtres ont leurs lois. La Divinité a ses lois, le monde matériel a ses lois, les intelligences supérieures à l'homme ont leurs lois, les bêtes ont leurs lois, l'homme a ses lois.
Page 388 - Il me manquait quelque chose pour remplir l'abîme de mon existence: je descendais dans la vallée, je m'élevais sur la montagne, appelant de toute la force de mes désirs l'idéal objet d'une flamme future; je l'embrassais dans les vents; je croyais l'entendre dans les gémissements du fleuve; tout était ce fantôme imaginaire, et les astres dans les cieux, et le principe même de vie dans l'univers.
Page 98 - Avant qu'il y eût des lois faites, il y avait des rapports de justice possibles. Dire qu'il n'ya rien de juste ni d'injuste que ce qu'ordonnent ou défendent les lois positives, c'est dire qu'avant qu'ont eût tracé de cercle, tous les rayons n'étaient pas égaux.
Page 390 - Qu'il fallait peu de chose à ma rêverie : une feuille séchée que le vent chassait devant moi, une cabane dont la fumée s'élevait dans la cime dépouillée des arbres, la mousse qui tremblait au souffle du nord sur le tronc d'un chêne...
Page 92 - J'ai d'abord examiné les hommes et j'ai cru que, dans cette infinie diversité de lois et de mœurs, ils n'étaient pas uniquement conduits par leurs fantaisies. J'ai posé les principes, et j'ai vu les cas particuliers s'y plier comme d'eux-mêmes, les histoires de toutes les nations n'en être que les suites, et chaque loi particulière liée avec une autre loi, ou dépendre d'une autre plus générale.
Page 339 - Pompe nuptiale, digne de nos malheurs et de la grandeur de nos amours : superbes forêts qui agitiez vos lianes et vos dômes comme les rideaux et le ciel de notre couche, pins embrasés qui formiez les flambeaux de notre hymen, fleuve débordé, montagnes mugissantes, affreuse et sublime nature, n'étiezvous donc qu'un appareil préparé pour nous tromper...
Page 97 - Ceux qui ont dit qu'une fatalité aveugle a produit tous les effets que nous voyons dans le monde, ont dit une grande absurdité; car quelle plus grande absurdité qu'une fatalité aveugle qui aurait produit des êtres intelligents?
Page 141 - C'est au législateur à suivre l'esprit de la nation lorsqu'il n'est pas contraire aux principes du gouvernement; car nous ne faisons rien de mieux que ce que nous faisons librement , et en suivant notre génie naturel.
Page 371 - Lorsque les premiers silences de la nuit et les derniers murmures du jour luttent sur les coteaux , au bord des fleuves, dans les bois et dans les vallées...