Cours familier de littérture: une entretien par moisChez l'auteur, 1869 |
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... mère et contre l'assas- sin de son malheureux père . Arrivée à Édimbourg , elle parut reprendre courage dans l'excès de son humiliation . « < Elle parut , dit la Chronique d'Édim- bourg , à sa fenêtre qui donne sur Hightgat , s'adres ...
... mère et contre l'assas- sin de son malheureux père . Arrivée à Édimbourg , elle parut reprendre courage dans l'excès de son humiliation . « < Elle parut , dit la Chronique d'Édim- bourg , à sa fenêtre qui donne sur Hightgat , s'adres ...
Page 32
... mère luttèrent de forfaits ; Lennox fut tué en combattant ; le comte de Morton prit la régence à sa place ; il régna ... mère et dans le mépris de sa mère elle - même . XXX Pendant cette minorité en Écosse , Marie Stuart conspirait 33 ...
... mère luttèrent de forfaits ; Lennox fut tué en combattant ; le comte de Morton prit la régence à sa place ; il régna ... mère et dans le mépris de sa mère elle - même . XXX Pendant cette minorité en Écosse , Marie Stuart conspirait 33 ...
Page 34
... mère et Charles IX . Les conseillers d'Élisabeth lui représentèrent pour la première fois la nécessité du jugement de la reine d'Écosse et de sa mort pour la paix du royaume , et peut - être pour la sécurité de sa propre vie . Burleigh ...
... mère et Charles IX . Les conseillers d'Élisabeth lui représentèrent pour la première fois la nécessité du jugement de la reine d'Écosse et de sa mort pour la paix du royaume , et peut - être pour la sécurité de sa propre vie . Burleigh ...
Page 61
... mère . › • Pendant que la reine parlait , Melvil à genoux versait des torrents de larmes . Marie l'ayant relevé , lui prit la main et se penchant vers lui , elle l'em- brassa . « Adieu , ajouta - t - elle , adieu , mon cher « Melvil ...
... mère . › • Pendant que la reine parlait , Melvil à genoux versait des torrents de larmes . Marie l'ayant relevé , lui prit la main et se penchant vers lui , elle l'em- brassa . « Adieu , ajouta - t - elle , adieu , mon cher « Melvil ...
Page 83
... mère et de ses sœurs ; que tous quatre travaillent et économisent dans le but d'amasser deux mille écus pour racheter leur père esclave à Tétouan . Montesquieu , touché du récit de ce jeune homme et de l'état de cette famille ...
... mère et de ses sœurs ; que tous quatre travaillent et économisent dans le but d'amasser deux mille écus pour racheter leur père esclave à Tétouan . Montesquieu , touché du récit de ce jeune homme et de l'état de cette famille ...
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Expressions et termes fréquents
Adraste âme Amélie Amyntas Anaxandride Astyage Atala avaient Bonaparte Bothwell c'était Chactas château Chateaubriand chercher cheval Chine choses climats cœur comte comte de Kent coup Crésus Cyrus d'Astyage d'Atala d'Élisabeth Darius Darnley demanda Démarate devant Dieu dit-il donner douleur duc de Rohan Écosse écrivit Édimbourg Élisabeth enfant épouse femme fille fils Fontanes force frère gens gouvernement Grecs Harpagus Hérodote j'ai j'avais j'étais jeune homme jour jugement l'avait l'enfant Lacédémoniens laisse larmes législation lettre Lettres persanes livre lois lord madame de Staël main malheur Marie Stuart Mèdes Mégabaze Melvil ment mère mœurs monde montagne Montesquieu mort mourir Murray n'avait n'était nation parut passé passions pâtre pays pensée Péoniens père Perses peuple ples pleurs politique pouvait premier prêtre prit qu'un raconte Raigecourt raison reine d'Écosse religion René répondit reste rien s'était sentiment serait serviteurs seul sœur Solon songe sorte terre tion troupes trouve tyage venait vérité voulait Xerxès XXVII
Fréquemment cités
Page 101 - La loi, en général, est la raison humaine, en tant qu'elle gouverne tous les peuples de la terre; et les lois politiques et civiles de chaque nation ne doivent être que les cas particuliers où s'applique cette raison humaine.
Page 97 - Les lois, dans la signification la plus étendue, sont les rapports nécessaires qui dérivent de la nature des choses ; et dans ce sens, tous les êtres ont leurs lois. La Divinité a ses lois, le monde matériel a ses lois, les intelligences supérieures à l'homme ont leurs lois, les bêtes ont leurs lois, l'homme a ses lois.
Page 388 - Il me manquait quelque chose pour remplir l'abîme de mon existence: je descendais dans la vallée, je m'élevais sur la montagne, appelant de toute la force de mes désirs l'idéal objet d'une flamme future; je l'embrassais dans les vents; je croyais l'entendre dans les gémissements du fleuve; tout était ce fantôme imaginaire, et les astres dans les cieux, et le principe même de vie dans l'univers.
Page 98 - Avant qu'il y eût des lois faites, il y avait des rapports de justice possibles. Dire qu'il n'ya rien de juste ni d'injuste que ce qu'ordonnent ou défendent les lois positives, c'est dire qu'avant qu'ont eût tracé de cercle, tous les rayons n'étaient pas égaux.
Page 390 - Qu'il fallait peu de chose à ma rêverie : une feuille séchée que le vent chassait devant moi, une cabane dont la fumée s'élevait dans la cime dépouillée des arbres, la mousse qui tremblait au souffle du nord sur le tronc d'un chêne...
Page 92 - J'ai d'abord examiné les hommes et j'ai cru que, dans cette infinie diversité de lois et de mœurs, ils n'étaient pas uniquement conduits par leurs fantaisies. J'ai posé les principes, et j'ai vu les cas particuliers s'y plier comme d'eux-mêmes, les histoires de toutes les nations n'en être que les suites, et chaque loi particulière liée avec une autre loi, ou dépendre d'une autre plus générale.
Page 339 - Pompe nuptiale, digne de nos malheurs et de la grandeur de nos amours : superbes forêts qui agitiez vos lianes et vos dômes comme les rideaux et le ciel de notre couche, pins embrasés qui formiez les flambeaux de notre hymen, fleuve débordé, montagnes mugissantes, affreuse et sublime nature, n'étiezvous donc qu'un appareil préparé pour nous tromper...
Page 97 - Ceux qui ont dit qu'une fatalité aveugle a produit tous les effets que nous voyons dans le monde, ont dit une grande absurdité; car quelle plus grande absurdité qu'une fatalité aveugle qui aurait produit des êtres intelligents?
Page 141 - C'est au législateur à suivre l'esprit de la nation lorsqu'il n'est pas contraire aux principes du gouvernement; car nous ne faisons rien de mieux que ce que nous faisons librement , et en suivant notre génie naturel.
Page 371 - Lorsque les premiers silences de la nuit et les derniers murmures du jour luttent sur les coteaux , au bord des fleuves, dans les bois et dans les vallées...