Cours familier de littérture: une entretien par moisChez l'auteur, 1869 |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-5 sur 12
Page 52
... pensée que sa mort était un martyre , et s'a- dressant à Bourgoing , son médecin , qui la servait , Melvil , son maître d'hôtel étant retenu aux arrêts , ainsi que Préau , son aumônier : Bourgoing , " dit - elle , n'avez - vous pas ...
... pensée que sa mort était un martyre , et s'a- dressant à Bourgoing , son médecin , qui la servait , Melvil , son maître d'hôtel étant retenu aux arrêts , ainsi que Préau , son aumônier : Bourgoing , " dit - elle , n'avez - vous pas ...
Page 55
... pensée fut l'éternité . Elle consulta l'horloge et dit : « Je n'ai plus que deux heures à vivre ici- bas . » Il était six heures du matin . » -- que leurs Elle ajouta à sa lettre au roi de France qu'elle désirait que les revenus de son ...
... pensée fut l'éternité . Elle consulta l'horloge et dit : « Je n'ai plus que deux heures à vivre ici- bas . » Il était six heures du matin . » -- que leurs Elle ajouta à sa lettre au roi de France qu'elle désirait que les revenus de son ...
Page 145
... pensée de Montesquieu , mais un recueil de pre- miers aperçus rassemblés par lui pour faire plus tard un livre . On n'y rencontre qu'une expression toujours ingénieuse et une foule d'idées aven- turées et fausses . Le manque de ...
... pensée de Montesquieu , mais un recueil de pre- miers aperçus rassemblés par lui pour faire plus tard un livre . On n'y rencontre qu'une expression toujours ingénieuse et une foule d'idées aven- turées et fausses . Le manque de ...
Page 157
... pensée d'écrire lui- même . Thucydide lui fut présenté . Cette lutte lit- téraire entre les premiers historiens de la Grèce devant l'Académie d'Athènes est loin de l'espèce de barbarie que l'on attribue à ces temps . A quarante ans , il ...
... pensée d'écrire lui- même . Thucydide lui fut présenté . Cette lutte lit- téraire entre les premiers historiens de la Grèce devant l'Académie d'Athènes est loin de l'espèce de barbarie que l'on attribue à ces temps . A quarante ans , il ...
Page 176
... pensée de Crésus d'autres soins , firent taire sa douleur . Il sentait la nécessité d'arrêter les Perses avant qu'ils eussent atteint toute leur grandeur , et voulait , s'il était possible , détruire une puissance qui s'accroissait ...
... pensée de Crésus d'autres soins , firent taire sa douleur . Il sentait la nécessité d'arrêter les Perses avant qu'ils eussent atteint toute leur grandeur , et voulait , s'il était possible , détruire une puissance qui s'accroissait ...
Autres éditions - Tout afficher
Cours familier de littérture: une entretien par mois Alphonse de Lamartine Affichage du livre entier - 1865 |
Cours familier de littérture: une entretien par mois, Volume 9 Alphonse de Lamartine Affichage du livre entier - 1860 |
Cours familier de littérture: une entretien par mois, Volume 14 Alphonse de Lamartine Affichage du livre entier - 1862 |
Expressions et termes fréquents
Adraste âme Amélie Amyntas Anaxandride Astyage Atala avaient Bonaparte Bothwell c'était Chactas château Chateaubriand chercher cheval Chine choses climats cœur comte comte de Kent coup Crésus Cyrus d'Astyage d'Atala d'Élisabeth Darius Darnley demanda Démarate devant Dieu dit-il donner douleur duc de Rohan Écosse écrivit Édimbourg Élisabeth enfant épouse femme fille fils Fontanes force frère gens gouvernement Grecs Harpagus Hérodote j'ai j'avais j'étais jeune homme jour jugement l'avait l'enfant Lacédémoniens laisse larmes législation lettre Lettres persanes livre lois lord madame de Staël main malheur Marie Stuart Mèdes Mégabaze Melvil ment mère mœurs monde montagne Montesquieu mort mourir Murray n'avait n'était nation parut passé passions pâtre pays pensée Péoniens père Perses peuple ples pleurs politique pouvait premier prêtre prit qu'un raconte Raigecourt raison reine d'Écosse religion René répondit reste rien s'était sentiment serait serviteurs seul sœur Solon songe sorte terre tion troupes trouve tyage venait vérité voulait Xerxès XXVII
Fréquemment cités
Page 101 - La loi, en général, est la raison humaine, en tant qu'elle gouverne tous les peuples de la terre; et les lois politiques et civiles de chaque nation ne doivent être que les cas particuliers où s'applique cette raison humaine.
Page 97 - Les lois, dans la signification la plus étendue, sont les rapports nécessaires qui dérivent de la nature des choses ; et dans ce sens, tous les êtres ont leurs lois. La Divinité a ses lois, le monde matériel a ses lois, les intelligences supérieures à l'homme ont leurs lois, les bêtes ont leurs lois, l'homme a ses lois.
Page 388 - Il me manquait quelque chose pour remplir l'abîme de mon existence: je descendais dans la vallée, je m'élevais sur la montagne, appelant de toute la force de mes désirs l'idéal objet d'une flamme future; je l'embrassais dans les vents; je croyais l'entendre dans les gémissements du fleuve; tout était ce fantôme imaginaire, et les astres dans les cieux, et le principe même de vie dans l'univers.
Page 98 - Avant qu'il y eût des lois faites, il y avait des rapports de justice possibles. Dire qu'il n'ya rien de juste ni d'injuste que ce qu'ordonnent ou défendent les lois positives, c'est dire qu'avant qu'ont eût tracé de cercle, tous les rayons n'étaient pas égaux.
Page 390 - Qu'il fallait peu de chose à ma rêverie : une feuille séchée que le vent chassait devant moi, une cabane dont la fumée s'élevait dans la cime dépouillée des arbres, la mousse qui tremblait au souffle du nord sur le tronc d'un chêne...
Page 92 - J'ai d'abord examiné les hommes et j'ai cru que, dans cette infinie diversité de lois et de mœurs, ils n'étaient pas uniquement conduits par leurs fantaisies. J'ai posé les principes, et j'ai vu les cas particuliers s'y plier comme d'eux-mêmes, les histoires de toutes les nations n'en être que les suites, et chaque loi particulière liée avec une autre loi, ou dépendre d'une autre plus générale.
Page 339 - Pompe nuptiale, digne de nos malheurs et de la grandeur de nos amours : superbes forêts qui agitiez vos lianes et vos dômes comme les rideaux et le ciel de notre couche, pins embrasés qui formiez les flambeaux de notre hymen, fleuve débordé, montagnes mugissantes, affreuse et sublime nature, n'étiezvous donc qu'un appareil préparé pour nous tromper...
Page 97 - Ceux qui ont dit qu'une fatalité aveugle a produit tous les effets que nous voyons dans le monde, ont dit une grande absurdité; car quelle plus grande absurdité qu'une fatalité aveugle qui aurait produit des êtres intelligents?
Page 141 - C'est au législateur à suivre l'esprit de la nation lorsqu'il n'est pas contraire aux principes du gouvernement; car nous ne faisons rien de mieux que ce que nous faisons librement , et en suivant notre génie naturel.
Page 371 - Lorsque les premiers silences de la nuit et les derniers murmures du jour luttent sur les coteaux , au bord des fleuves, dans les bois et dans les vallées...