Cours familier de littérture: une entretien par moisChez l'auteur, 1869 |
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... prit respectueusement la bride de celui de la reine , feignit une légère vio- lence , et la conduisit , captive volontaire , dans son château de Dunbar , dont il était gouverneur comme lord des frontières . Elle y passa huit jours avec ...
... prit respectueusement la bride de celui de la reine , feignit une légère vio- lence , et la conduisit , captive volontaire , dans son château de Dunbar , dont il était gouverneur comme lord des frontières . Elle y passa huit jours avec ...
Page 16
... mois dernier ( avril 1568 ) , elle faillit s'échapper , grâce à sa coutume de passer toutes les matinées dans son lit. Elle s'y prit ainsi : la blanchisseuse vint de bonne heure , ce qui lui 16 COURS DE LITTÉRATURE .
... mois dernier ( avril 1568 ) , elle faillit s'échapper , grâce à sa coutume de passer toutes les matinées dans son lit. Elle s'y prit ainsi : la blanchisseuse vint de bonne heure , ce qui lui 16 COURS DE LITTÉRATURE .
Page 32
... prit la régence à sa place ; il régna en bourreau , le fer à la main ; il anéantit le parti de la reine par la terreur d'un gouvernement , qui prépare des reflux de sang . A peine avait - il remis le royaume au roi son pupille , que les ...
... prit la régence à sa place ; il régna en bourreau , le fer à la main ; il anéantit le parti de la reine par la terreur d'un gouvernement , qui prépare des reflux de sang . A peine avait - il remis le royaume au roi son pupille , que les ...
Page 39
... prit tout sur lui : crime et expiation . La reine fut touchée de ce dévouement posthume qui lui rendait aux yeux de ses partisans l'innocence qu'elle ne recou- vra jamais aux yeux de ses ennemis . Bothwell était trop chargé de crimes ...
... prit tout sur lui : crime et expiation . La reine fut touchée de ce dévouement posthume qui lui rendait aux yeux de ses partisans l'innocence qu'elle ne recou- vra jamais aux yeux de ses ennemis . Bothwell était trop chargé de crimes ...
Page 59
... prit le crucifix d'ivoire qui ne l'avait pas quittée depuis dix - sept ans , et qu'elle avait trans- porté de donjon en donjon , le suspendant partout à ses oratoires de captive . Comme elle souffrait de douleurs contractées dans l ...
... prit le crucifix d'ivoire qui ne l'avait pas quittée depuis dix - sept ans , et qu'elle avait trans- porté de donjon en donjon , le suspendant partout à ses oratoires de captive . Comme elle souffrait de douleurs contractées dans l ...
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Expressions et termes fréquents
Adraste âme Amélie Amyntas Anaxandride Astyage Atala avaient Bonaparte Bothwell c'était Chactas château Chateaubriand chercher cheval Chine choses climats cœur comte comte de Kent coup Crésus Cyrus d'Astyage d'Atala d'Élisabeth Darius Darnley demanda Démarate devant Dieu dit-il donner douleur duc de Rohan Écosse écrivit Édimbourg Élisabeth enfant épouse femme fille fils Fontanes force frère gens gouvernement Grecs Harpagus Hérodote j'ai j'avais j'étais jeune homme jour jugement l'avait l'enfant Lacédémoniens laisse larmes législation lettre Lettres persanes livre lois lord madame de Staël main malheur Marie Stuart Mèdes Mégabaze Melvil ment mère mœurs monde montagne Montesquieu mort mourir Murray n'avait n'était nation parut passé passions pâtre pays pensée Péoniens père Perses peuple ples pleurs politique pouvait premier prêtre prit qu'un raconte Raigecourt raison reine d'Écosse religion René répondit reste rien s'était sentiment serait serviteurs seul sœur Solon songe sorte terre tion troupes trouve tyage venait vérité voulait Xerxès XXVII
Fréquemment cités
Page 101 - La loi, en général, est la raison humaine, en tant qu'elle gouverne tous les peuples de la terre; et les lois politiques et civiles de chaque nation ne doivent être que les cas particuliers où s'applique cette raison humaine.
Page 97 - Les lois, dans la signification la plus étendue, sont les rapports nécessaires qui dérivent de la nature des choses ; et dans ce sens, tous les êtres ont leurs lois. La Divinité a ses lois, le monde matériel a ses lois, les intelligences supérieures à l'homme ont leurs lois, les bêtes ont leurs lois, l'homme a ses lois.
Page 388 - Il me manquait quelque chose pour remplir l'abîme de mon existence: je descendais dans la vallée, je m'élevais sur la montagne, appelant de toute la force de mes désirs l'idéal objet d'une flamme future; je l'embrassais dans les vents; je croyais l'entendre dans les gémissements du fleuve; tout était ce fantôme imaginaire, et les astres dans les cieux, et le principe même de vie dans l'univers.
Page 98 - Avant qu'il y eût des lois faites, il y avait des rapports de justice possibles. Dire qu'il n'ya rien de juste ni d'injuste que ce qu'ordonnent ou défendent les lois positives, c'est dire qu'avant qu'ont eût tracé de cercle, tous les rayons n'étaient pas égaux.
Page 390 - Qu'il fallait peu de chose à ma rêverie : une feuille séchée que le vent chassait devant moi, une cabane dont la fumée s'élevait dans la cime dépouillée des arbres, la mousse qui tremblait au souffle du nord sur le tronc d'un chêne...
Page 92 - J'ai d'abord examiné les hommes et j'ai cru que, dans cette infinie diversité de lois et de mœurs, ils n'étaient pas uniquement conduits par leurs fantaisies. J'ai posé les principes, et j'ai vu les cas particuliers s'y plier comme d'eux-mêmes, les histoires de toutes les nations n'en être que les suites, et chaque loi particulière liée avec une autre loi, ou dépendre d'une autre plus générale.
Page 339 - Pompe nuptiale, digne de nos malheurs et de la grandeur de nos amours : superbes forêts qui agitiez vos lianes et vos dômes comme les rideaux et le ciel de notre couche, pins embrasés qui formiez les flambeaux de notre hymen, fleuve débordé, montagnes mugissantes, affreuse et sublime nature, n'étiezvous donc qu'un appareil préparé pour nous tromper...
Page 97 - Ceux qui ont dit qu'une fatalité aveugle a produit tous les effets que nous voyons dans le monde, ont dit une grande absurdité; car quelle plus grande absurdité qu'une fatalité aveugle qui aurait produit des êtres intelligents?
Page 141 - C'est au législateur à suivre l'esprit de la nation lorsqu'il n'est pas contraire aux principes du gouvernement; car nous ne faisons rien de mieux que ce que nous faisons librement , et en suivant notre génie naturel.
Page 371 - Lorsque les premiers silences de la nuit et les derniers murmures du jour luttent sur les coteaux , au bord des fleuves, dans les bois et dans les vallées...