ART. III. De conciliorum generalium auctoritate speciatim quæ sit protestantium sententia... 459 LETTRE VI. Du même à Bossuet. Sur les éclaircissements qu'il avoit demandés. ibid. ART. IV. De eadem auctoritate quid catholici sentiant, et quid protestantes objiciant. ART. V. De romano Pontifice. . ibid. TERTIA PARS. De disciplinæ rebus, ac totâ hâc tractatione ordinandà. . . . 461 ART. I. Quid ergo agendum ex antecedentibus. Summa dictorum de fide.. ibid. ART. II. De disciplinæ rebus quæ à protestantibus postulari, quæ à romano Pontifice concedi posse videantur... ART. III. De concilio Tridentino. ibid. 463 464 ibid. LETTRE VII. De Bossuet à Leibnitz. Il lui propose plu- 480 EXTRAIT D'UNE LETTRE de Leibnitz à Pellisson. Il y ibid. SECONDE PARTIE, QUI CONTIENT les lettres. LETTRE 1. De Leibnitz à mad. de Brinon. Il tâche de persuader qu'il est ouvertement catholique ; fait beaucoup valoir son zèle pour la vérité, et propose les moyens qu'il croit nécessaires pour concilier les esprits . . . EXTRAIT D'UNE LETTRE de mad. la duchesse d'Hanotre à mad. l'abbesse de Maubuisson. Sur le mariage des prètres, et les difficultés qu'elle trouvoit à la réunion... LETTRE II. De Bossuet à mad. de Brinon. Il répond à la lettre de mad. la duchesse d'Hanovre, fait voir que le concile de Trente a été reçu în France quant aux dogmes; explique comment les Grecs ont été admis dans l'Église, et de quelle condescendance on pent user à l'égard des protestants. ibid. LETTRE III. De Leibnitz à mad. de Brinon. Il lui expose ses sentiments sur la lettre précédente de Bossuel. 482 484 LETTRE IV. Du même à la même. Il cherche à excu ETRAIT D'UNE AUTRE LETTRE du même à mad. ibid. 506 .... Pages. LETTRE XVI. Du même à Leibnitz. Il lui rend raison de la méthode qu'il a suivie dans ses Réflexions sur l'écrit de Molanus. Grand obstacle qu'il voit à la réunion. En quoi consiste la véritable simplicité chrétienne, et de quelle manière toutes les questions ont été décidées dans l'Église. . . . . . 507 LETTRE XVII. Péponse de Leibnitz à Bossuet. Il lui parle de l'accueil qu'ils avoient fait à ses Réflexions, explique quelques points de ses lettres, et fait des objections contre le principe que Bossuet avoit établi touchant les décisions de l'Eglise. . . . . . . LETTRE XVIII. Du même au même. Sur la mort de Pellisson, les réponses faites par Bossuet aux objections de Leibniz, et quelques points de philosophie. LETTRE XIX. Du même au même. Sur la réponse que Molanus préparoit à l'écrit de Bossuet. . . . . . LETTRE XX. De mad. de Brinon à Bossuet. Sur le peu de bonne foi de Leibnitz, et les instructions demandées par la duchesse de Brunswick, touchant le concile de Trente. ... 508 510 511 512 LETTRE XXVI. De Leibnitz à Bossuet. Il se plaint de sa trop grande réserve; loue un expedient proposé par Bossuet pour faciliter la conciliation, et marque la condescendance que les protestants croient être en droit d'exiger pour se réunir. . . 532 LETTRE XXVII. Du même à mad. la duchesse de Brunswick. Il lui rend raison du refus qu'il faisoit de reconnoître que le concile de Trente fût reçu en France pour règle de foi. LETTRE XXVIII. Du même à Bossuet. Il lui parle d'un nouvel écrit auquel auroit travaillé l'abbé Molanus; fait instance pour qu'on n'exige pas des protestants de reconnoître le concile de Trente pour œcuménique, et l'entretient de quelques questions de philosophie. . . . . LETTRE XXIX. De mad. de Brinon à Bossuet. Elle instruit le prélat de plusieurs fails relatifs à la réunion des protestants; l'exhorte à ne pas se décourager dans cette graude entreprise; et lui marque le sentiment d'un docteur de Sorbonne, sur les 534 556 ménagements dont on pouvoit user à leur égard pour les ramener. . . . LETTRE XXX. De la même au même. Elle répond à l'objection faite par Leibnitz, sur le concile de Trente; déplore le malheur des protestants, qui se contentent de témoigner quelque bonne volonté pour la réunion, sans en venir aux effets, et parle fort avantageusement de l'écrit de l'abbé Pirot en faveur du concile de Trente.. Pages. 557 538 LETTRE XXXI. De Leibnitz à Bossuet. Il le consulte de la part du duc de Wolfenbutel, sur un livre du père Véron, De la règle de la foi; sur les moyens de reconnoître ce qui est de foi ou ce qui n'en est pas, et ce qui est plus ou moins important dans la foi. . . . . ibid. LETTRE XXXII. Réponse de Bossuet. Il établit que la perpétuité de la doctrine, ou le consentement unanime et perpétuel de l'Eglise, forme la règle infaillible des vérités de foi, et prouve que les livres de l'Écriture, regardés comme apocryphes par les protestants, ont toujours été reconnus pour canoniques dans l'Église... ... 539 LETTRE XXXV. Réponse de Bossuet. Il explique que lques endroits de sa dernière lettre, et fait voir combien il est dangereux de prétendre que l'on puisse changer les décrets de l'Église sur la foi. . 549 LETTRE XXXVI. De Leibnitz à Bossuet. Il prétend prouver que l'Église établit de nouveaux dogmes, et combat les preuves, apportées par Bossuet, de la canonicité des livres rejetés par les protestants. 550 LETTRE XXXVII. Du même au même. Il continue de combattre la canonicité des livres de l'ancien Testament que les protestants regardent comme apocryphes. LETTRE XXXVIII. Du même au même. Il emploie de mauvais raisonnements et de vaines déclamations, pour prouver qu'on doit accorder aux protestants de ne reconnoître pour décisions de l'Église que ce qu'il leur plaira . . . .... 558 567 |