Mémoires sur la vie publique et privée de Fouquet, surintendant de finances: d'après ses lettres et des pièces inédite [!], conservées à la Bibliothèque impériale, Volume 1Charpentier, 1862 |
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Mémoires sur la vie publique et privée de Fouquet, surintendant ..., Volume 1 Adolphe Chéruel Affichage du livre entier - 1862 |
Mémoires sur la vie publique et privée de Fouquet: suintendant des ..., Volume 1 Adolphe Chéruel Affichage du livre entier - 1862 |
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Expressions et termes fréquents
¹ Mémoires affaires amis assuré avaient Basile Fouquet bourgeoisie cardinal de Retz cardinal Mazarin chambre charge Chavigny chose coadjuteur Colbert Conrart conseil cour d'Asserac dévoués dire donner Dubuisson-Aubenay duc d'Orléans duc de Lorraine duchesse de Châtillon écrivait écrivait-il édit Éminence ennemis envoyer Espagnols finances frère Fronde frondeurs garde gens Gourville gouverneur homme ibid j'ai jour l'abbé Fou l'abbé Fouquet l'État l'Hôtel laisser lettres de Mazarin Louis XIV madame de Châtillon madame de Chevreuse madame du Plessis-Bellière Madame Royale mademoiselle de Montpensier mademoiselle de Scudéry mademoiselle de Treseson maison Majesté mandé Mazarin à l'abbé Mémoires d'Omer-Talon Mémoires de mademoiselle ment mesme ministre négociations Nicolas Fouquet paix parlement partisans Pellisson personne Plessis-Bellière poëte Pontoise porte premier président prendre prévôt des marchands prince de Condé princesse Marguerite procureur général quet reine rien royaume s'était Saint-Simon Savoie serait service Servien servir sieur sorte surintendant Tellier tion troupes trouve Turenne voulait
Fréquemment cités
Page 426 - où il lui promet de répondre à son appel. Voici quelques passages de cette pièce, où l'on trouve des traces du génie de l'auteur du Cid : Oui, généreux appui de tout noire Parnasse, Tu me rends ma vigueur lorsque lu me fais grâce, Et je veux bien apprendre à tout notre avenir Que tes regards
Page 371 - mais extrême, qui, malgré lui, sautait aux yeux. Il se piqua surtout de probité et de justice, dont le masque tomba bientôt. Entre Pierre et Jacques, il conservait la plus exacte droiture ; mais, dès qu'il apercevait un intérêt ou une faveur à ménager, tout aussitôt il était vendu. » Si l'on s'en rapportait à Saint-Simon
Page 115 - qui le vit en ce moment, deux doigts de poussière sur le visage, ses cheveux tout mêlés; son collet et sa chemise étaient pleins de sang, quoiqu'il n'eût pas été blessé ; sa cuirasse était toute pleine de coups, et il portait son épée à la main, ayant perdu le fourreau. » La situation des princes devenait de plus en plus
Page 426 - trouve encor la main qui crayonna L'âme du grand Pompée et l'esprit de Cinna. Choisis-moi seulement quelque nom dans l'histoire Pour qui tu veuilles place au temple de la Gloire, Quelque nom favori
Page 456 - le dispenser : Deux parts en fit, dont il soûlait passer L'une à dormir, et l'autre à ne rien faire. Ce rêveur, qui mangeait si légèrement son fonds, n'aurait pas longtemps porté la chaîne d'un
Page 446 - le péché, mais je hais encore plus la pauvreté. J'ai reçu de vous dix mille écus; si vous voulez encore en apporter dix mille dans deux jours, je verrai ce que j'aurai à faire; je ne vous défends pas d'espérer. > Conrart dit, dans une note, qu'il croit ce billet écrit par madame de la
Page 463 - digne de vos autels, Et qui, même en dormant, fait du bien aux mortels, Par de calmes vapeurs mollement soutenue, La tête sur son bras, et son bras sur la nue ( Laisse tomber
Page 336 - démarche est tout à fait agréable, et, en toutes mes actions, j'ai un air infiniment spirituel. Mon visage est un ovale des plus parfaits, selon toutes les règles; mon front est un peu élevé, ce qui sert à la régularité de l'ovale. Mes yeux sont bruns, fort brillants et bien fendus
Page 427 - ces dons brillants des cieux. De qui l'inépuisable et perçante lumière, Sitôt que tu parais, fait baisser la paupière. J'ai déjà vu beaucoup en ce moment heureux, Je t'ai vu magnanime, affable, généreux, Et ce qu'on voit à peine après dix ans d'excuses, Je t'ai vu tout
Page 13 - attribué à un conseiller au Parlement nommé Portail. * II y avait à Paris trois cours souveraines, outre le parlement, savoir : la Chambre des comptes, la Cour des aides et le Grand Conseil. même violence leur avait fait perdre depuis quelques années.