Les ornemens de la mémoire, ou: Traits brillans des poètes français les plus célèbresImprimerie librairie romantique, 1830 - 250 pages |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-5 sur 12
Page 18
... fable : De ses vœux criminels il ne porte l'ardeur Qu'à des dieux qui sont nés du penchant de son cœur . Ainsi des nations triomphent les prestiges . Grand Dieu ! de ta justice il n'est plus de vestiges , Qu'attends - tu pour punir ces ...
... fable : De ses vœux criminels il ne porte l'ardeur Qu'à des dieux qui sont nés du penchant de son cœur . Ainsi des nations triomphent les prestiges . Grand Dieu ! de ta justice il n'est plus de vestiges , Qu'attends - tu pour punir ces ...
Page 38
... fables , On dira quelque jour pour les rendre croyables : Boileau qui , dans ses vers pleins de sincérité , Jadis à tout son siècle a dit la vérité , Qui mit à tout blâmer son étude et sa gloire , A pourtant de ce roi parlé comme l ...
... fables , On dira quelque jour pour les rendre croyables : Boileau qui , dans ses vers pleins de sincérité , Jadis à tout son siècle a dit la vérité , Qui mit à tout blâmer son étude et sa gloire , A pourtant de ce roi parlé comme l ...
Page 106
... fables les plus fantastiques Retrouvera les fondemens , Ce n'est point d'un amas funeste , De massacres et de débris ' Qu'une vertu pure et céleste Tire son véritable prix . Un héros qui de la victoire Emprunte son unique gloire , N'est ...
... fables les plus fantastiques Retrouvera les fondemens , Ce n'est point d'un amas funeste , De massacres et de débris ' Qu'une vertu pure et céleste Tire son véritable prix . Un héros qui de la victoire Emprunte son unique gloire , N'est ...
Page 195
... Fables de La Fontaine . pays que la Loire arrose . Éloge de la Touraine et des C'est le même poëte qui , en racontant un de ses voya- ges , s'exprime de la manière suivante : Vous croyez bien qu'étant sur ses rivages ( 2 ) , Nos gens et ...
... Fables de La Fontaine . pays que la Loire arrose . Éloge de la Touraine et des C'est le même poëte qui , en racontant un de ses voya- ges , s'exprime de la manière suivante : Vous croyez bien qu'étant sur ses rivages ( 2 ) , Nos gens et ...
Page 203
... fable , et l'ame la moralité . Mais quoique la fable soit une instruction , elle n'en plaît pas moins . Il est aisé d'en sentir la raison ; c'est premièrement parce que l'amour - propre est ménagé dans ces sortes de leçons . Les hommes ...
... fable , et l'ame la moralité . Mais quoique la fable soit une instruction , elle n'en plaît pas moins . Il est aisé d'en sentir la raison ; c'est premièrement parce que l'amour - propre est ménagé dans ces sortes de leçons . Les hommes ...
Autres éditions - Tout afficher
Les ornemens de la mémoire: ou, Les traits brillans des poëtes français les ... Pons Augustin Alletz Affichage du livre entier - 1815 |
Les ornemens de la memoire: ou, les traits brillans des poetas franćois les ... Pons-Augustin Alletz Affichage du livre entier - 1752 |
Expressions et termes fréquents
aimait amour ANDROMAQUE ARDARIC ATHALIE Attila beau beauté Boileau bonheur brillant Calchas célèbre CÉPHISE César charmes cher CHIMÈNE chose ciel cieux Cinna CLYTEMNESTRE cœur Corneille courage courroux craint crime cruel Dieu dieux digne doit donne douleur Édouard III enfans ennemis époux esprit Eurydice fable fille fils Fontaine fortune funeste fureur gloire goût grandeur guerre haine Hélas Henriade Héraclius héros heureux hommes images j'ai j'en jamais JOAD JOAS jour JOZABET l'ame l'amour l'univers laisse long-temps madame main maître malheureux Mérouée mort mortels mourir noble Oreste parle pensées père Pertharite peuple Phocas plaisirs pleurs poésie poëte Polyeucte Pompée prince Pyrrhus qu'un Racine raison régner Rhadamiste rien RODRIGUE rois Romains Rome Rousseau sage saints sais sang scène Seigneur sentimens sentiment Sertorius seul soins Sophonisbe sort STRATONICE sublime suivans sujet Sylla Syphax terre tragédie traits trembler trépas triste trône vainqueur venger vérité vertu veut victoire vœux vois voix yeux Zaïre Zénobie
Fréquemment cités
Page 169 - J'aime à voir comme vous l'instruisez. Enfin, Eliacin, vous avez su me plaire ; Vous n'êtes point, sans doute, un enfant ordinaire. Vous voyez, je suis Reine, et n'ai point d'héritier ; Laissez là cet habit, quittez ce vil métier ; Je veux vous faire part de toutes mes richesses, Essayez dès ce jour l'effet de mes promesses.
Page 241 - Tout prend un corps, une âme, un esprit, un visage. Chaque vertu devient une divinité : Minerve est la prudence, et Vénus la beauté ; Ce n'est plus la vapeur qui produit le tonnerre, C'est Jupiter armé pour effrayer la terre ; Un orage terrible aux yeux des matelots, C'est Neptune en courroux qui gourmande les flots.
Page 81 - Misérable ! et je vis ! et je soutiens la vue De ce sacré soleil dont je suis descendue ! J'ai pour aïeul le père et le maître des dieux ; Ils s'aimeront toujours!
Page 193 - Quand pourront les neuf Sœurs, loin des cours et des villes, M'occuper tout entier, et m'apprendre des cieux Les divers mouvements inconnus à nos yeux , Les noms et les vertus de ces clartés errantes Par qui sont nos destins et nos mœurs différentes...
Page 138 - Sylla m'a précédé dans ce pouvoir suprême, Le grand César, mon père, en a joui de même : D'un œil si différent tous deux l'ont regardé Que l'un s'en est démis, et l'autre l'a gardé : Mais l'un, cruel, barbare, est mort aimé, tranquille., Comme un bon citoyen dans le sein de sa ville ; L'autre, tout débonnaire, au milieu du Sénat, A vu trancher ses jours par un assassinat.
Page 205 - Ainsi dit le renard; et flatteurs d'applaudir. On n'osa trop approfondir Du tigre, ni de l'ours, ni des autres puissances, Les moins pardonnables offenses : Tous les gens querelleurs, jusqu'aux simples mâtins, Au dire de chacun étaient de petits saints.
Page 173 - De l'absolu pouvoir vous ignorez l'ivresse, Et des lâches flatteurs la voix enchanteresse. Bientôt ils vous diront que les plus saintes lois, Maîtresses du vil peuple^ obéissent aux rois; Qu'un roi n'a d'autre frein que sa volonté même...
Page 173 - Promettez sur ce livre, et devant ces témoins, Que Dieu sera toujours le premier de vos soins ; Que, sévère aux méchants, et des bons le refuge, Entre le pauvre et vous vous prendrez Dieu pour juge ; Vous souvenant, mon fils, que, caché sous ce lin, Comme eux vous fûtes pauvre, et comme eux orphelin.
Page 57 - Lorsqu'un époux mortel fut reçu dans son lit : Je puis choisir, dit-on, ou beaucoup d'ans sans gloire, Ou peu de jours suivis d'une longue mémoire. Mais, puisqu'il faut enfin que j'arrive au tombeau, Voudrais-je, de la terre inutile fardeau, Trop avare d'un sang reçu d'une déesse, Attendre chez mon père une obscure vieillesse ; Kt, toujours de la gloire évitant le sentier, Ne laisser aucun nom, et mourir tout entier?
Page 158 - Non, non : d'un ennemi respecter la misère, Sauver des malheureux , rendre un fils à sa mère.