Le poème et la légende des Nibelungen

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Hachette, 1891 - 442 pages
 

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Page 426 - Priscus istoricus refert, exitus sui tempore puellam Ildico nomine decoram valde sibi in matrimonio post innumerabiles uxores, ut mos erat gentis illius, socians eiusque in nuptiis hilaritate nimia resolutus, vino somnoque gravatus resupinus iaceret, redundans sanguis, qui ei solite de naribus effluebat, dum consuetis meatibus impeditur, itinere ferali faucibus illapsus extinxit.
Page 11 - Uoten. sine kundes niht besceiden baz der guoten: 'der valke den du ziuhest, daz ist ein edel man. in welle got behüeten, du muost in sciere vloren hän.
Page 347 - A jamais infâme celui qui lui survit, qui revient sans lui du combat. Le défendre, le couvrir de son corps, rapporter à sa gloire ce qu'on fait soi-même de beau, voilà leur premier serment. Les princes combattent pour la victoire, les compagnons pour le prince. Si la cité qui les...
Page 204 - C'est à cheval qu'ils passent leur vie : tantôt à cali fourchon, tantôt assis de côté à la manière des femmes; ils y tiennent leurs assemblées; ils y achètent et vendent; ils y boivent et mangent ; ils y dorment même, inclinés sur le cou de leurs montures. Dans les batailles, ils se précipitent sans ordre et sans plan, sous l'impulsion de leurs differents chefs, et fondent sur l'ennemi en poussant des cris affreux.
Page 347 - Il a même ses distinctions, réglées sur l'estime du prince dont on forme la suite. Il existe entre les compagnons une émulation singulière à qui tiendra la première place auprès de son prince; entre les princes, à qui aura le plus de compagnons et les plus courageux. C'est la dignité, c'est la puissance, d'être toujours entouré d'une jeunesse nombreuse et choisie : c'est un ornement dans la paix, un rempart dans la guerre. Et celui qui se distingue par le nombre et la bravoure de son...
Page 442 - HISTOIRE d'Attila et de ses successeurs jusqu'à l'établissement des Hongrois en Europe, suivie des légendes et traditions, par M.
Page 204 - Huns dépassent en férocité et en barbarie tout ce qu'on peut imaginer de barbare et de sauvage. Ils sillonnent profondément avec le fer les joues de leurs enfants nouveau-nés, afin que les poils de la barbe soient étouffés sous les cicatrices ; aussi ont-ils, jusque dans leur vieillesse, le menton lisse et dégarni comme les eunuques.
Page 11 - Kriemhilde, wie si züge einen valken, starc sccen' und wilde, den ir zwene arn erkrummen. daz si daz muoste sehen: ir enkunde in dirre werlde leider nimmer gescehen.
Page 39 - Vil gerne ich dir waere guot mit minem schilde, torst' ich dir in bieten vor Kriemhilde. doch nim du in hin, Hagene, unt trag' in an der hant. hey soldest du in füeren in der Burgonden lant!
Page 391 - Si fuorten riche spise, dar zuo guoten win, den besten den man kunde vinden umben Rin. ir ros diu stuonden scöne, si heten guot gemach. ir seif daz gie vil ebene: vil lützel leides in gescach.

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