| Molière - 1822 - 442 pages
...qu'il a été marchand. COVIEI.LE. ' Lui, marchand ? c'est pure médisance , il ne l'a jamais été. Tout ce qu'il faisait, c'est qu'il était fort obligeant...connaissait fort bien en étoffes, il en allait choisir de tons les côtés , les faisait apporter.-ehez lui , et en donnait à ses amis pour de l'argent. M.... | |
| Scènes - 1829 - 394 pages
...veulent dire qu'il a été marchand. Cov. Lui, marchand ? c'est pure médisance, il ne l'a jamais été. Tout ce qu'il faisait, c'est qu'il était fort obligeant,...chez lui, et en donnait à ses amis pour de l'argent. M- Jouit. Je. suis ravi de vous connaître, afin que vous rendiez ce témoignage-là que mon père... | |
| French authors - 1839 - 512 pages
...veulent dire qu'il a été marchand. Cov. Lui, marchand ? c'est pure médisance, il ne l'a jamais été. Tout ce qu'il faisait, c'est qu'il était fort obligeant,...chez lui, et en donnait à ses amis pour de l'argent. M. Jourd. Je suis ravi de vous connaître, afin que vous rendiez ce témoignage-là, que mon père... | |
| Thomas Babington Macaulay Baron Macaulay - 1840 - 516 pages
...Lui, marchand ? C'est pure medisance : il ne 1'a jamais etc. Tout ce qu'il faisait, e'est qu'il etait fort obligeant, fort officieux ; et comme il se connaissait, fort bien en etoffes, il en allait choisir de tous les cotes, les faisait apporter chez lui, et en donnait a ses... | |
| Thomas Babington Macaulay Baron Macaulay - 1843 - 520 pages
...il ne 1'a jamais etc*. Tout ce qu'il faisait, c'est qu'il était fort obligeant, fort officieux ; ct comme il se connaissait fort bien en étoffes, il en allait choisir de tous les c6tés, les faisait apporter chez lui, et en donnait a ses amis pour de 1'argent." There are several... | |
| Adolphe Mathieu - 1844 - 178 pages
...dire qu'il a été marcband. — Lui, marcband? C'est pure médisance, il ne l'a jamais, été. Tuut ce qu'il faisait, c'est qu'il était fort obligeant,...se connaissait fort bien en étoffes, il en allait cboisir de tons les côtés, les faisait apporter cbez lui, et en donnait à ses amis pour de l'argent.... | |
| N. Roy - 1845 - 408 pages
...le monde est fait. Cov. Comment? Cov. Lui, marchand ? c'est pure médisance, il ne l'a jamais été. Tout ce qu'il faisait, c'est qu'il était fort obligeant,...et comme il se connaissait fort bien en étoffes, 89 il en allait choisir de tous les côtés, les faisait apporter chez lui, et en donnait à ses amis... | |
| Sébastien Louis Saulnier - 1845 - 944 pages
...fort obligeant, fortcl» ficieux, et comme il se connaissait fort bien en étoffes, ii •» allait en choisir de tous les côtés, les faisait apporter...» lui et en donnait à ses amis pour de l'argent. » On pourrait pardonner ces puérilités à un enfant ; mais un homme de quarante-huit ans, et Horace... | |
| Molière - 1846 - 688 pages
...dire qu'il a été marchand. COVIELLE. Lui, marchand? C'est pure médisance, il ne l'a jamais été. Tout ce qu'il faisait, c'est qu'il était fort obligeant,...lui , et en donnait à ses amis pour de l'argent. M. JOURDAIN. je suis ravi de vous connaître, afin que vous rendiez ce témoignage-là , que mon père... | |
| 1846 - 1108 pages
...d'admettre que le père de Colbert, comme celui de monsieur Jourdain, fort bon gentilhomme d'ailleurs, « était fort obligeant, fort officieux, et, comme il se connaissait fort bien en étoffes, en allait choisir de tous les côtés, les faisait apporter chez lui, et les donnait à ses amis pour... | |
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