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VERBES NON RÉFLÉCHIS:

Si vous apercevez que j'y manque d'un mot (I, Ét. 487).
Vous n'attendiez pas

...

Que j'eusse découvert... (II, D. Garc. 1266).

Voy. au Lexique ARRÊTER, neutre.

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...

L'espoir où je fonde (Est que...) (III, Fách. 655). Cf. :
L'espoir où je me fonde (I, Dép. a, 1481).

Gardons d'être surpris (VII, 239, Pourc. I, 1 : note).
Voy. au Lexique le 1er exemple d'IMAGINER.

ELLIPSE DU PRONOM RÉFLÉCHI APRÈS faire :

Va le faire aviser que je suis ici (IV, 186, Pr. d'É. III, 11). Certains impertinents de laquais, qui viennent provoquer les gens et les faire aviser de boire lorsqu'on n'y songe pas (VII, 122, Av. III, 1). (Je veux) Ou pour eux, ou pour moi, faire expliquer votre âme (V, Mis. 562).

Tu m'as fait égosiller...; Vous m'avez fait... casser la tête.... Voy. ces phrases et d'autres semblables à INFINITIF, à ELLIPSE des pronons réfléchis (XIX, B. 3o c), à RÉGIME des verbes, et dans le Lexique à FAIRE et à LAISSER

c) Voix réfléchie avec sens passif.

Le monde par vos soins ne se changera pas (V, Mis. 103).

Voir cajoler sa femme et n'en témoigner rien

Se pratique aujourd'hui par force gens de bien (II, Sgan. 464).

Ne savez-vous pas que... les paroles les plus étranges... se prennent bien souvent pour des marques d'affection par celles mêmes qui les reçoivent? (III, 347, Crit. vi.)

Sans cesse vous prêchez des maximes de vivre

Qui par d'honnêtes gens ne se doivent point suivre (IV, Tart. 38).

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Un cœur fait comme est fait le vôtre

Se peut facilement réparer par un autre (I, Dép. a. 1370).

Cela se peut-il souffrir à un homme comme vous? (V, 179, D. Juan, IV, v: note.) Voy. le Lexique à A (p. 7).

Jamais amant n'a fait tant de trouble éclater

Au poulet renvoyé sans se décacheter (II, Éc. d. m. 594).

Sans être décacheté. Mais il est à remarquer que l'édition de 1682, entre autres, porte : « sans le décacheter ».

Et seroit-ce un bonheur de respirer le jour,

Si d'entre les mortels on bannissoit l'amour?

Non, non, tous les plaisirs se goûtent à le suivre (IV, Pr. ďÉ. 365).

Le plus grand soufflet qui se soit jamais donné (VIII, 100, Bourg. g. III, 11).
Il est informé de tout ce qui s'agite dans le Conseil d'en haut du Prête-
Jean et du Grand Mogol (VIII, 555, Escarb. 1). Voy. SE FAIRE.
Dans le même temps on l'avertit... que tout se dispose pour... célébrer
la cérémonie (IX, 362, Mal, im. II, v).

Nous avons encore noté les verbes suivants : s'apprendre (IX, Val-de-Gr. 194), s'attendre (IX, F. sav. 837), se couvrir (I, Dép. a. 1598), se rencontrer (IX, Valde-Gr. 263), se différer (I, Ét. 1747 et III, Éc. d. f. 1680), se distinguer (I, Dép. a. 757), s'égaler (IX, F. sav. 1173), s'exposer (IX, Val-de-Gr. 316), s'imputer (II, Sgan. 314), se retrancher (II, Éc. d. m. 214).

Une telle action ne sauroit s'excuser (V, Mis. 15).

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Se peut cacher longtemps avec difficulté...! (I, Dép. a. 820.)

... Mon sexe à ses yeux n'a pu se déguiser (I, Dép. a. 402).

Hélas! cela ne se peut-il point changer en quelques coups de bâton ? (VI, 118, Méd. m. l. III, x.)

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Ah! ce « oui » se peut-il supporter? (IX, F. sav. 5.)

Vous voyez si c'est une injure qui se doive souffrir (VI, 275, Sic. XIX).

(Je lui dis que) Tout entretien secret se devoit éviter (I, Dép. a. 454). Je trouve que ces mots qui sont désobligeants

[DIRE).

Ne se doivent point dire en présence des gens (V, Mis. 1632; voy. à SE Avec elle [avec la fresque] il n'est point de retour à tenter,

Et tout au premier coup se doit exécuter (IX, Val-de-Gr. 262).

4° Verbes impersonnels.

a) Verbes impersonnels avec ou sans le sujet il neutre.

Vous avez voulu tâter de la noblesse et il vous ennuyoit d'être maître chez vous (VI, 515, G. D. I, 11)..

...ARN. Vous ennuyoit-il?AGN. Jamais je ne m'ennuie (III, Éc.d.f. 464: note). LE SUISSE. Ah que ly faire saif dans sty sal de cians! (VIII, 217, Bourg. g. Ballet des Nat.) Ah! qu'il fait soif dans cette salle!

ce n'est pas

*J'ai bien peur que si... [le nuage] vient à crever, il ne grêle sur mon dos force coups de bâton (I, 71, Méd. vol. XIV). Ouais, je ne sais d'où cela vient, mais il sent ici l'amour moi. Ah, par ma foi! c'est vous (VII, 389, Am. magn. I, 1). C'est qu'il sent le bâton du côté que voilà (I, Dép. a. 1564). Comment vous en va? (III, 405, Impr. 11.)

[I, IV.)

Et quels avantages, Madame, puisque Madame y a,...? (VI, 519, G. D. J'ai jeté l'as de cœur, avec raison, me semble (III, Fách. 327; cf. III, Éc. d. f. 264, 1513).

Que me sert-il d'aimer du plus ardent amour...? (II, D. Garc. 1486.) Que me sert d'aimer comme je fais...? (VI, Mélic. 425.) Voy. SERVIR.. Que vous importe-t-il qu'on y puisse prétendre? (IX, F. sav. 100.)

On trouvera au Lexique les expressions: n'en déplaise à... et qu'il ne vous en déplaise; il n'importe guère, il m'importe peu, il importe, qu'importe, n'importe; bien vous prend que...; il m'en doit bien souvenir; il suffit et suffit. b) Emploi et ellipse du faux sujet il avec des verbes actifs, neutres, passifs ou réfléchis.

Voy. aux PRONOMS PERSONNELS (V, D, 1o et 2o) et à PLÉONASME (XX, B, 1o et 2o). Qu'il vous est cher d'avoir sans cesse devant vous

Ce tableau de l'objet de vos vœux les plus doux...! (IX, Val-de-Gr. 217.)

Et parfois il me prend des mouvements soudains

De fuir dans un désert l'approche des humains (V, Mis. 144).

Il vous passe là tous les jours assez de choses devant les yeux pour...

(III, 355, Crit. v1).

... S'il m'étoit venu des cornes à la tête (II, Sgan. 345).

De la lui demander il me vint la pensée (III, Éc. d. f. 132).

... Ainsi mon amour peut éclater au moins,

Sans qu'à d'autres motifs on impute ses soins,

Et qu'il soit soupçonné que dans votre personne

Il cherche à me gagner les droits d'une couronne (II, D. Garc. 215). Voy. la note à ce passage, au Lexique, t. II, p. 490.

... Il s'apprête un combat

Où toute ta valeur te sera nécessaire (I, Dép. a. 1636).

Jamais il ne s'est rien vu d'égal à ma disgrace (VI, 565, G. D. II, viii). Il ne s'y passe point d'acte [dans notre École] où il n'aille argumenter... (IX, 355, Mal. im. II, v).

Il faut avouer qu'il se met d'étranges folies dans la tête des hommes (V, 141, D. Juan, III, 1; voy. à SE GLISSER).

Il se peut faire (IV, 48, Mar. f. v; de même : IV, 51).

Gardez-vous, s'il se peut, d'honorer l'imposture (IV, Tart. 1625). Voy. SE POUVOIR.

BER. D'où vient... qu'ayant le bien que vous avez, et n'ayant d'enfants qu'une fille..., d'où vient, dis-je, que vous parlez de la mettre dans un convent? ARG. D'où vient... que je suis maître dans ma famille

pour faire ce que bon me semble? (IX, 393, Mal. im. III, 1.)

D'où vient-il que.... Pour faire ce qu'il me semble bon de faire.

... Quoi'qu'il tienne (I, Ét. 235 : note). Combien que cela tienne, quelque difficulté qu'il y ait.

c) Verbes employés d'une manière tantôt impersonnelle, tantôt personnelle, dans des propositions commençant par il, qu'il ou qui.

E.

Qu'est-ce donc qu'il s'est passé ici? (VIII, 441, Scap. II, 1 : les éd. de 1674 et 1682 ont : « ... qui s'est passé ici? »)

Ce qu'il trouve qu'il ne lui est point arrivé (VIII, 454, Scap. II, v : note; l'éd. de 1682 a: « Ce qu'il trouve qui ne lui est point arrivé ».) Quoi qui puisse arriver (VII, 262, Pourc. I, v).

Quoi qu'il m'arrive... (III, Éc. d. f. 1225).

Il en a reçu quelques blessures dont on ne sait pas bien ce qui arrivera (VII, 460, Am, magn. V, 11). (v). Demandez-lui ce qui lui semble de « l'École des femmes » (III, 337, Crit. Il faut bien qu'il me le semble, puisque cela est (IV, 48, Mar. f. v). Avec tout le respect qu'il m'est possible (III, 157, Ep. à Mad.). Voy. à

POSSIBLE.

Quoi qu'il puisse coûter, je veux le faire pendre (I, Ét. 628).
L'air est aussi beau qu'il s'en puisse faire (VIII, 52, Bourg. g.

...

I, 11).

Est aussi beau que des airs puissent être faits, est des plus beaux qui se fassent.

Un péché mortel des plus gros qu'il se fasse (III, Éc. d. f. 599). Son esprit... est des plus épais qui se fassent (VII, 243, Pourc. I, II: Il s'est fait un grand vol (I, Ét. 1665).

[note). Est-ce que chacune de vous ne sait pas ce qui en est, sans qu'il soit nécessaire que je m'explique davantage? (V, 130, D. Juan, II, iv; cf. IX, 308, Mal. im. I, vI.)

Voy. le Lexique à ÊTRE t. I, p. 441 et 442: Ce qu'il en peut être. Il en est ce que l'on m'a pu dire. Il pourroit être quelque chose de ce que vous dites. Il en sera ce qui pourra.

Vous pouvez répéter ce qui vous plaira (III, 408, Impr. 11; cf. IV, 50, Mar. f. v).

Je pourrai faire avec vous tout ce qu'il me plaira (IV, 27, Mar. f. 1; il y a ce qui dans le Ms. Philidor).

Je dois faire, mon père, tout ce qu'il vous plaira de m'ordonner (IX, 294, Mal. im. I, v).

Une épître dédicatoire dit tout ce qu'il lui plaît (VI, 355, Amph. Ép.).

Je leur abandonne... mes ouvrages,... ma façon de réciter, pour en faire et dire tout ce qu'il leur plaira (III, 429, Impr. v). (Jupiter) Sait descendre du haut de sa gloire suprême;

Et pour entrer dans tout ce qu'il lui plaît

Il sort tout à fait de lui-même (VI, Amph. 90).

...

Seigneur, je veux ce qu'il vous plaît (II, D. Garc. 738).

Vous avez une civile opiniâtreté qui me fait venir doucement à tout ce qu'il vous plaît (VIII, 151, Bourg. g. III, xv). Voy. au Lexique (t. II, p. 282 et 283).

Emplois des temps de l'indicatif, de l'impératif et du subjonctif. 1° Présent de l'indicatif.

Depuis assez longtemps mon âme s' s'inquiète

De ce qu'aucun esprit en vous ne se fait voir;

Mais je trouve un moyen de vous en faire avoir (IX, F. sav. 1052). Je

viens de trouver.

Cette lettre par vous est écrite à Clitandre? (V, Mis. 1685.)

Voit-on des procédés qui soient pareils aux vôtres? (V, Mis.1711.

Des charmes de la Thessalie

On vante de tout temps les merveilleux effets (VI, Amph. 1477).
(Ces attraits)... par qui, de tout temps, ces deux sœurs si pareilles
Charment, l'une les yeux, et l'autre les oreilles (IX, Val-de-Gr. 68).
Sur quelque préférence une estime se fonde (V, Mis. 57). Doit se fonder.
Il me semble qu'on n'agit point comme vous faites (V, 308, Am. méd.
I, ш).

Et sans doute bientôt ils viennent en ces lieux (I, Ét. 1214; l'éd. de 1682
Je reviens tout à l'heure (IX, 415, Mal. im. III, vin). [a viendront).
Je suis de retour dans un moment (IV, 17, Mar. f. 1).
(Mais j'avertis) Que je ne sors qu'après que vous serez sortis (V, Mis. 736).
Je viens vous avertir que la comédie sera bientôt prête, et que,

dans un

quart d'heure, nous pouvons passer dans la salle (VIII, 576, Escarb. IV). (J'accours)... recevoir de vous les ordres qu'il vous plait (Ét. 1730). Qu'il vous plaira de donner.

(Ils veulent)... que, par un arrêt qu'en face il me faut rendre,

Je défende à l'un d'eux tous les soins qu'il peut prendre (V, Mis. 1657). Car dans le temps qu'il faut j'ouvrirai la fenêtre (III, Éc. d. f. 1336). Au bon moment. Cf. VII, 287, Pourc. II, 1, le passage auquel se rapporte la note 3 de cette page 287.

Et j'aurois pris déjà le congé qu'il faut prendre,

Si mon carrosse encor ne m'obligeoit d'attendre (V, Mis. 1029).

J'y ferai tout ce que je puis et n'oublierai aucune chose (VII, 160, Av. IV, 1).

On cherche ce qu'il dit après qu'il a parlé (IX, F. sav. 613).

TOIN. Je viendrai vous voir de temps en temps. ARG. Vous m'obligez beaucoup (IX, 423, Mal. im. III, x). De me le promettre.

Une personne comme vous seroit...! Non, non c'est profaner tant de beautés (V, 117, D. Juan, II, 11).

2° Prétérit défini.

Et jamais cœur fut-il de la sorte traité? (V, Mis. 1372; cf. I, Ét. 786, 1053.) ... Homme qu'en vers galants jamais on n'égala (IX, F. sav. 693; cf. 354). Lorsque par les rebuts une âme est détachée,

Elle veut fuir l'objet dont elle fut touchée (I, Dép. a. 46).

Voilà ton demi-cent d'épingles de Paris,

Que tu me donnas hier avec tant de fanfare (I, Dép. a. 1429; cf. V, Mis. 1068; IX, F. sav. 990).

Où est donc la cire que je fis acheter ces jours passés? (VIII, 567, Escarb. 11.)

GALOPIN. Vous me grondates l'autre jour, de lui avoir dit que vous y étiez (III, 330, Crit. Iv).

Je fus d'abord chez vous, mais inutilement (III, Éc, d. f. 254).

Le sort nous traita nous deux diversement (II, Éc. d. m. 1082). C'est le tombeau que le commandeur faisoit faire lorsque vous le tuates (V, 159, D. Juan, III, v).

[Notre chat] est réchappé depuis peu d'un saut qu'il fit du haut de la maison dans la rue; et il fut trois jours sans manger (V, 319, Am. méd. II, 1).

... Je ne sais donc comment se fit l'affaire (IX, F. sav. 1001).

Je ne me plains pas de celui-là [de ce julep], car il me fit bien dormir (IX, 281, Mal. im. I, 1).

... La belle partie [de la peinture] où triompha Zeuxis (IX, Val-de-Gr. 154). Je connus feu son père en mon voyage à Rome (IX, F. sav. 343).

3° Prétérit indéfini.

... Depuis une heure

Vous m'avez fait trotter comme un Basque... (I, Dép. a. 86).

Mon cœur n'a jamais pu, tant il est né sincère,

Même dans votre sœur flatter leur caractère (IX, F. sav. 215).
C'est sur le mariage où ma mère s'apprête

Que j'ai voulu, Monsieur, vous parler tête-à-tête,

Et j'ai cru, dans le trouble où je vois la maison,

Que je pourrois vous faire écouter la raison (IX, F. sav. 1462 et 1463;

4° Imparfait de l'indicatif.

Ce seroit pour vous un hommage trop bas,

[voy. 138, 298).

Que le rebut d'un cœur qui ne vous valoit pas (V, Mis. 1794).

Le drôle étoit coffré,

Si ton maître au moment ne fût venu lui-même (I, Ét. 1678).

ARG. Pour... Silvestre, je le rouerai de coups. SILV. J'étois bien étonné s'il m'oublioit (VIII, 428, Scap. I, rv).

[Notre chat] est réchappé depuis peu d'un saut qu'il fit...; il est bien heureux de ce qu'il n'y a point de chats médecins, car ses affaires étoient faites, et ils n'auroient pas manqué de le purger et de le saigner (V, 319, Am. méd. II, 1).

Si quelque intention le pressoit pour Lucile,...

Il falloit de son père implorer le pouvoir (I, Dép. a. 996).

Vous avez perdu absolument votre procès que vous deviez gagner (IX, 200, F. sav. après le vers 1694).

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Votre procès qu'il sembloit que vous dussiez gagner, que vous auriez dù
Il a tort en effet,...

Il devoit avoir mis que vous êtes priée,

Par arrêt de la Cour, de payer au plus tôt... (IX, F. sav. 1702).

Je vous le dis encore: armé de ce qu'il a,

Vous ne deviez jamais le pousser jusque-là (IV, Tart. 1708).

[gagner.

Voulez-vous que je vous dise? vous deviez faire une comédie où vous auriez joué tout seul (III, 392, Impr. 1). Voy. encore l'imparfait de devoir au sens d'un conditionnel passé I, Ét. 125, 1617; I, Dép. a. 1156; II, Sgan. 300 et 355.

Ah! Ah! l'homme de bien, vous m'en voulez donner!...

Vous épousiez ma fille, et convoitiez ma femme!

J'ai douté fort longtemps que ce fut tout de bon (IV, Tart. 1546).

Son cœur [d'Eliante), qui vous estime, est solide et sincère,

Et ce choix plus conforme étoit mieux votre affaire (V, Mis. 246). ... Sans ce trait falot

Un homme l'emmenoit, qui s'est trouvé fort sot (I, Ét. 870).

Vous devez toujours, dis-je, avoir devant les yeux

Le peu que vous étiez sans ce noeud glorieux (III, Éc. d. f. 690).

Vous ne pouviez jamais vous mieux adresser pour rencontrer ce que vous cherchez (VI, 50, Méd. m. l. I. rv).

5° Plus-que-parfait de l'indicatif dépendant de si, et indiquant pour l'avenir un temps antérieur au temps indiqué par un conditionnel futur qui précède.

Croyez que vous n'aurez jamais cet avantage

De me voir revenir....

Moi-même de cent coups je percerois mon sein,

Si j'avois jamais fait cette bassesse insigne

De vous revoir après ce traitement indigne (I, Dép. a. 1329).

6. Futur.

Je dirai qu'Henriette à l'hymen est rebelle (F. sav. 307). J'ai à dire que........ Vous saurez donc, que... (VI, 95, Méd. m. l. II, v).

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Du Bois. Parlerai-je haut? ALC. Oui parle... (V, Mis. 1439).

THOM. DIAF. Baiserai-je ? M, DIAF. Oui, oui (IX, 350, Mal. im. II, v).

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