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Si je fais raillerie, et s'il n'est de la sorte! (Dép. a. 950; cf. 1008). S'il n'en est ainsi.

Mais, hélas! c'en est fait, il n'est plus de saison (Dép. a. 827). Il n'est plus temps.

S'il est en ma puissance (II, Éc. d. m. 267).

Il se peut faire (IV, 48, Mar. f. v). - Il se pourroit (IV, 49, Mar. f. v). Cf. Cela se pourroit bien (I, Dép. a. 15). Voy. Cela et Celui-là, aux PRONOMS DEMONSTRATIFS.

2* Non-emploi du pronom IL neutre ou de CE.

Voy. aussi plus loin le chapitre du VERBE (Verbe impersonnel).

Ce jargon n'est pas fort nécessaire, me semble (I, Dép. a. 680). D'où vient... que je suis maître dans ma famille pour faire ce que bon me semble? (IX, 393, Mal. im. III, 111.)

D'ou vient-il... pour faire ce qu'il me semble bon de faire?

M DE PHIL. Vos deux lèvres s'allongent comme si vous faisiez la moue: d'où vient que [et il vient de là que si vous la voulez faire à quelqu'un,... vous ne lui sauriez dire que: U (VIII, 86, Bourg. g. II, iv; même ellipse aux vers 1253 et 1269 du Dep. a.).

Comme si de rien n'eût été (VI, 52, Méd. m. l. I, iv).

Et n'étoit que ses mains sont un peu trop pesantes,

J'en serois fort satisfait (VI, Amph. 788). Si ce n'était que...

Et quels avantages, Madame, puisque Madame y a...? (VÎ, 519, G. D. I, Iv.) LA COMT. Faites-le venir.... BOBINET. Soit fait, Madame, ainsi que vous le commandez (VIII, 585, Escarb. v1).

Passe [soit!](I, Ét. 1502). Que cela passe. Cf. SUFFIT.

Voy. au Lexique: N'en déplaise à...; bien vous prend de...; ne voilà pas... et aussi ne voilà-t-il pas?

3 Emploi de Le neutre et de La dans un sens indéterminé.

... Comme, à dire vrai, je n'oserois me croire

Bien propre à lui donner [à cette fermeté d'âme] tout l'éclat de sa gloire, Je le laisse à quelque autre (F. sav. 1559). Je laisse la chose, ce soin.... LEL. Je pensois faire bien. Masc. Oui, c'étoit fort l'entendre (I, Ét. 191). Entendre la chose, y être entendu, s'y bien prendre. Voy. ENTENdre. C'est moi... dont le patron le sait (I, Dép. a. 947). C'est de moi que le patron tient la chose. Voy. encore : II, Éc. d. m. 849; III, Éc. d. f. 189; III. Fach. 486.

FROS. A ces énigmes-là je ne puis rien comprendre.

Asc. Je vais vous l'expliquer (I, Dép. a. 424).

. Il vous veut porter au mariage

Et comme il le prétend, c'est un mauvais langage (I, Dép. a. 396 : note. GROS-REN. Pour montrer qu'ici-bas, ainsi qu'on l'interprète,

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La tête d'une femme est comme la girouette... (qui...) (I, Dép. a. 1265). Parlerai-je, Monsieur, selon ma conscience,

Oa comme auprès des grands on le voit usité? (VI, Amph. 710.) THIBAUT. Son foie, son ventre, ou sa rate, comme vous voudrais l'appeler (VI, 101, Méd. m. l. III, 11).

Misc. Je travaille à mettre en madrigaux toute l'histoire romaine.... MAGD. Ah! Certes, cela sera du dernier beau. J'en retiens un exemplaire,... si vous le faites imprimer (II, 84, Préc. 1x).

Misc. Je vais vous montrer une furieuse plaie. MAGD. Il n'est pas nécessaire : nous le croyons sans y regarder (II, 104, Préc. x1).

Si vous n'êtes point touché de votre intérêt, soyez-le au moins de mes prières (V, 182, D. Juan, IV, vi).

Je suis sa femme...) Je la suis, dis-je sans qu'il le pense (I, Dep. a. 419). Pour « je la suis » et quelques exemples analogues, voy. plus loin à ACCORD (XVI, B).

LEX. DE M.

D

Et personne, Monsieur, qui se veuille bouger

Pour retenir des gens qui se vont égorger;

Pour moi, je le veux bien; mais... (I, Dép. a. 1641).

Je veux bien qu'ils s'égorgent.

Ah! que vous serez bien marié! Dépêchez-vous de l'être (IV, 25, Mar. f. 1).

Je ne l'aimerois pas, si je ne croyois l'être (V, Mis. 237). Si je ne croyais être aimé.

Si vous le voulez prendre aux usages du mot,

L'alliance est plus grande entre pédant et sot (IX, F. sav. 1299: note). OR. Mais, mon petit Monsieur, prenez-le un peu moins haut.

ALC. Ma foi, mon grand Monsieur, je le prends comme il faut (V, Mis. 433, 434). Voy. PRENDRE.

Détrompez-vous, de grâce, et portez-le moins haut (V, Mis. 1729: note). Porter moins haut le chef, la tête voyez la note au vers cité.

Je le donnerois à bien d'autres qu'à moi

De se voir sans chagrin au point ou je me voi (II, Sgan. 367). Cf. Je le donne en six COUPS à....

Voy. au Lexique : SEMBLER (il vous semble, il me le semble); CÉDER (céder à..., le céder à...); à vous le TRANCHER net...; l'EMPORTER Sur...; le DISPUTER à...; pour le faire COURT; je le QUITTE (j'y renonce].

La médecine l'a échappé belle (VI, 119, Méd. m. l. III, x1; voyez la note au v. 1266 des F. sav.).

Fût-ce mon propre frère, il me la payeroit (I, Ét. 1042).

Il me la payera (VIII, 506, Scap. III, vi: note).

Vous rêvez bien, Léandre, et me la baillez bonne (I, Ét. 1064).

« Sortons, ce m'a-t-il dit... »

Et sortis de ce lieu, me la donnant plus sèche :

« Marquis, allons au Cours faire voir ma galèche » (III, Fách. 75: note).

4° Non-emploi de Le neutre.

...

La traiter comme elle mérite (VI, 271, Sic. xv).

Ne savez-vous pas bien pourquoi je le ménage,

Et que dans mon procès, ainsi qu'il m'a promis, (Il peut...) (V, Mis. 491). La fourbe sera fine,

S'il faut qu'elle succède ainsi que j'imagine (I, Ét. 292).

(Elle ne se doit parer) Qu'autant que peut desirer

Le mari qui la possède (III, Éc. d. f. 755).

(Deux chiens) Qui, s'ils eussent osé, vous eussent fait querelle (I, Ét. 1531). Certes, voulez-vous que je dise? vous prenez un mauvais parti (VI, 248. Sic. vi; cf. IX, F. sav. 555).

Plût au Ciel que je fusse capable de souffrir, comme il dit, les galanteries de quelqu'un (VI, 532, G. D. I, vi).

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Hé! que ne disiez-vous? (I, Ét. 1794.)

Je veux,... comme je vous ai dit, faire mon testament (IX, 311, Mal. im. 1, v1). Cf. II, Éc. d. m. 429; III, Éc. d. f. 1274; IX, F. sav. 484,

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608, 1219.

pas

si bête

A le bien prendre, au fond, elle [la cour] n'est Que vous autres Messieurs vous vous mettez en tête (IX, F. sav. 1341: PHILAM. Vous devez, en raisonnable époux,

...

Être pour moi contre elle, et prendre mon courroux.
CHRYS. Aussi fais-je (IX, F. sav. 443). Aussi le fais-je.
Toi-même penses-tu qu'on puisse, comme il fait,

[note).

Voir chérir un rival d'un esprit satisfait (I, Dép. a. 39). Voy. VI, Melic. 425. Je m'intéresse, comme je dois, à ne vous point laisser faire de folie (IX, 304, Mal. im. I, v).

(L'écriteau.) Comme je conjecture au moins, ne sauroit être... (Ét. 1788).

Comme je crois (II, Sgan. 621; II, Éc. d. m. 945); comme j'espère (III,
Éc. d. f. 959); comme je prévois (III, Rem. au R. 42).
Valère, je crois bien, n'est pas de toi chéri (Sgan. 51; cf. Dép. a. 1069).
C'est à eux à guérir s'ils peuvent (IX, 359, Mal. im. II, v).
Infirme et malade comme je suis... (IX, 298, Mal, im. I, v).

Ism. Quoi, jaloux de ces choses-là? D. PÈd. Oui, jaloux de ces choseslà, mais jaloux comme un tigre, et, si voulez, comme un diable (VI, 248, Sic. vi).

Je ne mettrai pas ma fille dans un convent, si je veux? (IX, 302, Mal. im. I, v.)

Voyez au chapitre de la CONSTRUCTION pour la place des pronoms régimes dans la phrase.

VI

ADJECTIFS ET PRONOMS POSSESSIFS

1° Emplois divers.

A. Adjectifs possessifs.

(Les oiseaux) Recommencent leurs chants (VI, 240, Sic. 1). Tel est le texte de l'original; mais le livret du ballet a la vieille orthographe leur, sans s. Voy. le Lexique du Retz, p. xxxIII.

En faisant l'anagramme de Votredite Majesté (III, 85, Fách. Placet de Voy. au Lexique: MAMIE, MAMOUR. [Caritidès).

Vos parrains et marraines (II, 67, Préc. 1v).

Chacun, à ses périls et fortune, peut croire tout ce qu'il lui plaît (IX, 401, Mal. im. III, 111).

Mais la fresque est pressante, et veut, sans complaisance,
Qu'un peintre s'accommode à son impatience [à elle],

La traite à sa manière [à elle], et d'un travail soudain

Saisisse le moment qu'elle donne à sa main [à lui] (Val-de-Gr. 255-257). Peut-on savoir de vous cet objet si charmant

Dont la beauté, Myrtil, vous a fait son amant? (VI, Mélic. 306.)

ARG. Vous ne croyez donc point à la médecine? BÉR. Non,... et je ne vois pas que, pour son salut, il soit nécessaire d'y croire (IX, 396, Mal. im. III, 111).

Qu'on soit, pour son salut, forcé d'y croire.

« Sur un carrosse de couleur amarante, donné à une dame de ses amies » (IX, 130, F. sav. titre de l'épigramme de Trissotin).

Mes soins en tout ceci n'ont que votre intérêt (II, D. Garc. 739). N'ont d'autre intérêt que le vôtre.

... Séparant le bon d'avec son apparence (IX, Val-de-Gr. 295).

Et moi je le demande [un franc aveu]:

C'est son éclat surtout qu'ici j'ose exiger (V, Mis. 1639).

Mais quand vous avez fait ce charmant « quoi qu'on die »,

Avez-vous compris, vous, toute son énergie? (IX, F. sav. 795.)

Tout ceux qui étoient là doivent venir à sa première représentation [de ma pièce (III, 341, Crit. IV).

Regarde, Amphitryon, quel est ton imposteur (VI, Amph, 1890: note). Quel est celui qui t'a volé ta ressemblance.

Mes Fâcheux à la fin se sont-ils écartés? (III, Fách. 293.)

ADR. J'ai, par le moyen d'une jeune esclave, un stratagème pour tirer cette belle Grecque des mains de son jaloux (VI, 258, Sic. ix).

ADR. Je ne doute pas que mon jaloux fâcheux ne soit toujours présent (VI, 258, Sic. 1x).

Je puis à mon brutal trouver des châtiments (I, Ét. 750).

G. Dandin, parlant de sa femme, dit ma coquine (VI, 571), mon effrontie (VI, 565).

...

Trouver quelque moyen, quelque invention, quelque ruse pour attraper notre brutal (VI, 243, Sic. IV).

Je vais... attendre... que notre jaloux sorte (VI, 245, Sic. v).
Voici notre homme (IX, 392, Mal, im. III, 11).

Celui dont nous venons de parler, de nous plaindre... Cf. VI, 554, G. D. II, v; I, Ét. 293.

Je suis dans l'incertitude si... je dois me battre avec mon homme, ou bien le faire assassiner (VI, 267, Sic. x11).

... En attendant que notre homme fût éveillé (VIII, 46, Bourg. g. I, 1;
Mais vienne qui voudra contre notre [ma] personne : [cf. VIII, 49).
J'ai deux bons pistolets (I, Ét. 1207).
(508).
(Ce larron) Qui sans miséricorde a souillé notre [mon] honneur (II, Sgan.
Si elle a jamais quelque procès en notre siège (VIII, 579, Escarb. v).
CLAUD... Quelqu'un qui l'ait rapporté à notre maître (VI, 539, G. D. II,
1). Claudine parle à Lubin, qui n'est pas comme elle au service de
G. Dandin.

Il [mon cœur] n'est point suspendu, sans doute, entre vous deux,
Et rien n'est si tôt fait que le choix de nos vœux (V, Mis. 1628).

Rien n'est si tôt fait pour chacun (ou pour une femme) que le choix de ses

vœux.

Admire nos esprits, et la fatalité! (IV, Pr. d'É. 75.)

Admire l'esprit de l'homme!

ELVIRE. C'est vous faire sans doute un assez libre aveu,
Et sur notre pudeur me ménager bien peu (IV, Tart. 1424).
La pudeur que nous avons nous autres femmes.

CELIM. Puisque l'honneur du sexe ennemi de nos feux,
S'oppose fortement à de pareils aveux (V, Mis. 1403).
Notre sort est beaucoup plus rude

[autres esclaves.

Chez les grands que chez les petits (VI, Amph. 168). Notre sort, à nous J'ai deux sœurs capables de plaire......

Et l'amitié me rend leur personne assez chère,

Pour vous souhaiter leurs époux (VIII, Psy. 474 et 475).

Pour souhaiter que vous deveniez leurs époux.

Votre plus court sera, Madame la mutine, (D'accepter.....) (II, Sgan. 13). Tels changements ont leurs douceurs (Qui.....) (VI, Amph. 104).

Enfin les gens sensés ont leurs têtes troublées

De la confusion de telles assemblées (IV, Tart. 157).

M. Purgon, Monsieur, m'a défendu de découvrir ma tête (IX, 346, 347, Mal. im. II, v).

...

Quand une femme a sa tête fantasque (I, Dép. a. 1281). Voy. plus haut, p. xxxv, 1. 9 avant la fin.

Je revins au logis, mes habits tout couverts de boue, et le visage plein de sang (VIII, 446, Scap. II, 1).

SGAN., levant son bras depuis le coude... (VI, 85, Méd. m. l. II, iv,
J'ai quelques infirmités sur mon corps (IV, 60, Mar. f. vIII).
D. PEDRE, Sortant... avec une épée sous son bras (VI, 242, Sic. Iv, j. de sc.).
Allez-vous-en... tâter un peu son pouls (VI, 109, Méd. m. l. III, v1).

j. de

[sc.)

Lui tâter le pouls.

(Je vous dis) Que le Ciel au besoin l'a céans envoyé,

Pour redresser à tous votre esprit fourvoyé (IV, Tart. 148). Cf. :

(Son cagotisme)... prend droit de gloser sur tous tant que nous sommes (IV, Tart. 202).

Seroit-il raisonnable que ce fût de ma main qu'il reçût le coup de sa mort? (VII, 437, Am. magn. III, 1.)

G. DAND., mettant la tête à sa fenêtre (VI, 578, G. D. III, vi, j. de sc.). Hélas! que j'ai de peine à rompre mon silence! (I, Dép. a. 348.)

(Pourvu que)..... dans mon désert, où j'ai fait veu de vivre,
(Vous soyez... résolue à me suivre) (V, Mis. 1763).

ELI. Et puisqu'avant ses soins, où pour vous il s'engage...
D. GARC. Vers moi, pour me porter au dessein qu'il a pris,
Il semble avoir tourné toute ca violence,

Dont il poursuit l'alliance

De vous et de son fils (II, D. Garc. 39, 366).

Mais voyez les notes à ces deux vers.

Son père [de Lucinde] n'a jamais voulu consentir à le recevoir [à recevoir Léandre] pour son gendre (VI, 48, Méd. m. l. I, Iv).

(Les Tures)... que vous assurez, par serments authentiques, Adorer pour leurs dieux la lune et le soleil (I, Ét. 1501).

Devrois-tu être un seul moment sans rendre grâce au Ciel de m'avoir pour ta femme? (VI, 36, Méd. m. l. I, 1.)

Une femme qui... pense qu'avec tout mon bien je n'ai pas assez acheté la qualité de son mari (VI, 508, G. D. I, 1).

... La qualité que j'ai de votre époux... (VI, Amph. 575).

... Confirmer à ma sœur le nom de votre femme (V, 197, D. Juan, V, 1). Il suffit que je vous ordonne, à vous et à votre fille, de ne point célébrer, sans mon consentement, vos noces avec lui (VII, 288, Pourc. II, 11).

HALI. Nous vous attraperons : elle sera notre femme (VI, 256, Sic. vin).
Voy. aux PRONOMS PERSONNELS (V, B, 5°) et plus loin, à 2o, 7° ex.
Je voudrois, pour trouver un tel destin plus doux,

Y voir entrer un peu de son transport jaloux (I, Dép. a. 36).

Un peu de jalousie de sa part (de la part de Valère).

(Pourvu que) Deux mots de votre aveu confirment nos paroles (I, Dép. a. 1026). Deux mots d'aveu venant de vous.

Nous leur jouerons... une pièce qui... pourra leur apprendre à connoître un peu mieux leur monde (II, 57, Préc. 1).

Ce monsieur le Vicomte a bien choisi son monde que de te prendre pour son ambassadeur (VI, 539, G. D. II, 1).

Votre Mascarille (I, Dép. a. 1530). Votre valet Mascarille.

ARIS. Soit. Je vais là-dessus sonder votre Henriette (F. sav. 415). Votre fille Henriette.

On peut remarquer l'emploi du possessif de la seconde personne, au lieu du possessif de la première, dans ce passage où Chrysale parle à Philaminte de leur fille Armande :

(... A votre fille ainée) On voit quelque dégoût pour les nœuds d'hyméC'est une philosophe enfin, je n'en dis rien (IX, F. sav. 623). [née :

Un peu plus loin, Philaminte, à son tour, parlant à son mari de leur autre fille Henriette, dit, mais avec une intention moins marquée, ce semble :

Je veux à votre fille en parler avant vous (ibid. 638).

Voilà nos carognes de femmes (VI, 576, G. D. III, v).
Ne crains pas que ton art, par ta main découvert,

A marcher sur tes pas tienne un chemin ouvert,

Et que de ses leçons les grands et beaux oracles

Elevent d'autres mains à tes doctes miracles (IX, Val-de-Gr. 192).
Quand de sa République il [Platon] a fait le traité (IX, F. sav. 848).
Aux Stoiciens je donne l'avantage,

Et je ne trouve rien de si beau que leur sage (ibid. 898).

(Un Grec) Qui par un dogme exprès défend à tous ses sages L'indigne empressement de lire leurs ouvrages (ibid. 965). TRISS. Descartes pour l'aimant donne fort dans mon sens.

ARM. J'aime ses tourbillons. PHILAM. Moi, ses mondes tombants (ibid. 884). N'est-ce pas assez, que les savants voient les contrariétés et les dissen

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