Œuvres complètes, Volume 5L. de Bure, 1825 |
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Page 102
... pardon . DAMIS . Qui ? moi ! de ce coquin , qui par ses impostures ... ORGON . Ah ! tu résistes , gueux , et lui dis des injures ! ( à Tartuffe . ) Un bâton ! un bâton ! Ne me retenez pas . ( à son fils . ) Sus ; que de ma maison on ...
... pardon . DAMIS . Qui ? moi ! de ce coquin , qui par ses impostures ... ORGON . Ah ! tu résistes , gueux , et lui dis des injures ! ( à Tartuffe . ) Un bâton ! un bâton ! Ne me retenez pas . ( à son fils . ) Sus ; que de ma maison on ...
Page 109
... pardon qu'il prescrit des offenses ; Et ne regardez point aux jugements humains , Quand vous suivez du ciel les ... pardonne ; Et c'est faire , monsieur , ce que le ciel ordonne : Mais , après le scandale et l'affront d'aujourd'hui , Le ...
... pardon qu'il prescrit des offenses ; Et ne regardez point aux jugements humains , Quand vous suivez du ciel les ... pardonne ; Et c'est faire , monsieur , ce que le ciel ordonne : Mais , après le scandale et l'affront d'aujourd'hui , Le ...
Page 141
... pardon D'être sans vous connoître ou savoir votre nom . MONSIEUR LOYAL . Je m'appelle Loyal , natif de Normandie , Et suis huissier à verge , en dépit de l'envie . J'ai , depuis quarante ans , grace au ciel , le bonheur D'en exercer la ...
... pardon D'être sans vous connoître ou savoir votre nom . MONSIEUR LOYAL . Je m'appelle Loyal , natif de Normandie , Et suis huissier à verge , en dépit de l'envie . J'ai , depuis quarante ans , grace au ciel , le bonheur D'en exercer la ...
Page 240
... tout mon triste cœur ; Et de mille vautours les blessures cruelies N'ont rien de comparable à ma vive douleur . Alemène , vous n'avez qu'à me le déclarer : S'il n'est point de pardon que je doive espérer , 240 AMPHITRYON .
... tout mon triste cœur ; Et de mille vautours les blessures cruelies N'ont rien de comparable à ma vive douleur . Alemène , vous n'avez qu'à me le déclarer : S'il n'est point de pardon que je doive espérer , 240 AMPHITRYON .
Page 241
Molière. S'il n'est point de pardon que je doive espérer , Cette épée aussitôt , par un coup favorable , Va percer à vos yeux le cœur d'un misérable , Ce cœur , ce traître cœur , trop digne d'expirer , Puisqu'il a pu fâcher un objet ...
Molière. S'il n'est point de pardon que je doive espérer , Cette épée aussitôt , par un coup favorable , Va percer à vos yeux le cœur d'un misérable , Ce cœur , ce traître cœur , trop digne d'expirer , Puisqu'il a pu fâcher un objet ...
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Expressions et termes fréquents
Adieu ALCMÈNE Allez Allons amant amour AMPHITRYON ANGÉLIQUE ardeur avez beau bergers bontés céans CHLORIS CHOEUR DES SUIVANTS chose ciel CLAUDINE CLÉANTE CLÉANTHIS CLIMÈNE CLITANDRE cœur Colin comédie connoître coups courroux croire DAMIS déja dessein dévot dieu dieux dire discours donner DORINE doucement douceur doute doux ELMIRE ENTRÉE DE BALLET époux Est-ce êtes fâcheux femme fille flamme gendre gens GEORGE DANDIN gloire grace homme honnête j'ai j'avois j'en j'étois jamais JUPITER l'ame LUBIN m'en MADAME DE SOTENVILLE MADAME PERNELLE maître mari MARIANE MERCURE monde MONSIEUR DE SOTENVILLE MONSIEUR LOYAL NAUCRATES nuit offense ORGON par-tout pardon parler paroître pendard pense père PHILÈNE POLIDAS prendre qu'à Qu'est-ce raison rien s'est s'il vous plaît sais sauroit SCÈNE VII seroit seul soin songe sorte SOSIE souffrir SUIVANTS DE BACCHUS SUIVANTS DE L'AMOUR TARTUFFE tendresse Thèbes TIRCIS traître trève vais VALÈRE valet veut veux voilà vois yeux zèle
Fréquemment cités
Page 47 - Oui, vous êtes sans doute un docteur qu'on révère; Tout le savoir du monde est chez vous retiré; Vous êtes le seul sage et le seul éclairé, Un oracle, un Caton dans le siècle où nous sommes, Et près de vous ce sont des sots que tous les hommes.
Page 47 - Les hommes la plupart sont étrangement faits ! Dans la juste nature on ne les voit jamais: La raison a pour eux des bornes trop petites; En chaque caractère ils passent ses limites, Et la plus noble chose, ils la gâtent souvent Pour la vouloir outrer et pousser trop avant.
Page 89 - J'aurai toujours pour vous , ô suave merveille , Une dévotion à nulle autre pareille ' . Votre honneur avec moi ne court point de hasard, Et n'a nulle disgrâce à craindre de ma part. Tous ces galants de cour, dont les femmes sont folles, Sont bruyants dans leurs faits et vains dans leurs paroles...
Page 44 - C'est un homme... qui... ah !... un homme... un homme enfin. Qui suit bien ses leçons goûte une paix profonde, Et comme du fumier regarde tout le monde.
Page 48 - De qui la sacrilège et trompeuse grimace Abuse impunément et se joue, à leur gré, De ce qu'ont les mortels de plus saint et sacré ; Ces gens qui, par une âme à l'intérêt soumise...
Page 49 - Et leur âme est portée à juger bien d'autrui. Point de cabale en eux, point d'intrigues à suivre ; On les voit, pour tous soins, se mêler de bien vivre. Jamais contre un pécheur ils n'ont d'acharnement : Ils attachent leur haine au péché seulement, Et ne veulent point prendre, avec un zèle extrême, Les intérêts du Ciel plus qu'il ne veut lui-même.
Page 41 - Le soir elle eut un grand dégoût, Et ne put, au souper, toucher à rien du tout, Tant sa douleur de tête était encor cruelle ! ORGON Et Tartuffe? DORINE . Il soupa, lui tout seul, devant elle; Et fort dévotement il mangea deux perdrix, Avec une moitié de gigot en hachis.
Page 277 - DANDIN. /Y»! qu'une femme demoiselle est une étrange affaire ! et que mon mariage est une leçon bien parlante à tous les paysans qui veulent s'élever au-dessus de leur condition, et s'allier, comme j'ai fait, à la maison d'un gentilhomme...
Page 47 - Je ne suis point, mon frère, un docteur révéré, Et le savoir chez moi n'est pas tout retiré. Mais, en un mot, je sais, pour toute ma science...
Page 45 - Aux pauvres, à mes yeux, il allait le répandre. Enfin le Ciel, chez moi, me le fit retirer, Et depuis ce temps-là, tout semble y prospérer. Je vois qu'il reprend tout, et qu'à ma femme même...