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" O puissance du temps ! ô légères années ! Vous emportez nos pleurs, nos cris et nos regrets ; Mais la pitié vous prend, et sur nos fleurs fanées Vous ne marchez jamais. Tout mon cœur te bénit, bonté consolatrice ! Je n'aurais jamais cru que l'on... "
Causeries du lundi - Page 308
de Charles Augustin Sainte-Beuve - 1857
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Revue du nouveau-monde, Volume 2

Comte Philippe Régis Denis de Keredern Trobriand - 1850 - 378 pages
...vieux est bien loin maintenant ; Et rien qu'en regardant cette vallée amie, Je redeviens enfant. O puissance du temps ! 6 légères années ! Vous emportez...nos regrets ; Mais la pitié vous prend, et sur nos fleura fanées Vous ne marchez jamais. Tout mon cœur te bénit, bonté consolatrice ! Je n'aurais...
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Poésies nouvelles de Alfred de Musset: 1836-1852--

Alfred de Musset - 1852 - 306 pages
...vallée amie, Je redeviens enfant. O puissance du temps! ô légères année»! Vous emportez nos pleors, nos cris et nos regrets ; Mais la pitié vous prend,...cicatrice Fût si douce à sentir. Loin de moi les vains mois, les frivoles pensées, Des vulgaires douleurs linceul accoutumé, Que viennent étaler sur leurs...
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Poésies nouvelles, 1836-1852

Alfred de Musset - 1852 - 312 pages
...maintenant, El rien qu'en regardant cetle vallée amie, Je redeviens enfant. O puissance du temps! ô légères années! Vous emportez nos pleurs, nos cris...sur nos fleurs fanées Vous ne marchez jamais. Tout mou cœur te bénit, boulé consolatrice ! Je n'aurais jamais cru que l'on put tant souffrir D'une...
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Poésies nouvelles de Alfred de Musset, 1836-1852

Alfred de Musset - 1857 - 300 pages
...qu'en regardant cette vallée amie, Je redeviens enfant. 0 puissance du temps! ô légères années! Mais la pitié vous prend, et sur nos fleurs fanées...blessure, et que sa cicatrice Fût si douce à sentir. r Loin de moi les vains mots, les frivoles pensées, Des vulgaires douleurs linceul accoutumé, Que...
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Poésies nouvelles

Alfred de Musset - 1859 - 340 pages
...enfant. 0 puissance du temps! ô légères années! Vous emportez nos pleurs, nos cris et nos regrcls ; Mais la pitié vous prend, et sur nos fleurs fanées...bonté consolatrice ! Je n'aurais jamais cru que l'on put tant soufi'rir D'une telle blessure, et que sa cicatrice Fût si douce à sentir. Loin de moi les...
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Poésies nouvelles: 1836-1852

Alfred de Musset - 1860 - 286 pages
...maintenant; Et rien qu'en regardant cette vallée amie, Je redeviens enfant. 0 puissance du temps ! ô légères années ! Vous emportez nos pleurs, nos...nos regrets ; Mais la pitié vous prend, et sur nos fleuis fanées Vous ne marchez jamais. Tout mon cœur te bénit, bonté consolatrice! Je n'aurais jamais...
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Poésies nouvelles de Alfred de Musset, 1836-1852

Alfred de Musset - 1860 - 300 pages
...O puissance du temps ! ô légères années ! Vous euipoitej! nos pleuis, nos cris et nos regiels ; Mais la pitié vous prend, et sur nos fleurs fanées...Vous ne marchez jamais. Tout mon cœur te bénit, bouté consolatrice ! Je n'aurais jamais cru que l'on pût tant souffrir D'une telle blessure, et que...
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Poésie

Alfred de Musset - 1866 - 394 pages
...maintenant ; Et rien qu'en regardant cette vallée amie, Je redeviens enfant . 0 puissance du temps! ô légères années! Vous emportez nos pleurs, nos cris...et nos regrets; Mais la pitié vous prend, et sur rtos fleurs fanées Vous ne marchez jamais. Tout mon cœur te bénit, bonté consolatrice! Je n'aurais...
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Premières poésies: 1829-1835

Alfred de Musset - 1867 - 718 pages
...rien qu'en regardant cette vallée amie, Je redeviens enfant SOUVENIR. 21J 0 puissance du temps! ô légères années! Vous emportez nos pleurs, nos cris...fleurs fanées Vous ne marchez jamais. Tout mon cœur le bénit, bonté consolatrice ! e n'aurais jamais cru que l'on pût tant souffrir D'une telle blessure,...
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Poésies nouvelles: 1836-1852

Alfred de Musset - 1867 - 316 pages
...puissance du temps ! ô légères années ! Vous emportez nos pleurs, nos cris et nos regrets ; H. n Mais la pitié vous prend, et sur nos fleurs fanées...bonté consolatrice ! Je n'aurais jamais cru que l'on put tant souffrir D'une telle blessure, et que sa cicatrice Fût si douce à sentir. Loin de moi les...
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