... taisait, à supposer de lui des paroles aimables, bienveillantes pour les autres, qu'il lui avait dites sans doute tout à l'heure dans l'intimité, mais qu'il ne répétait pas toujours devant les témoins! Causeries du lundi - Page 135de Charles Augustin Sainte-Beuve - 1857Affichage du livre entier - À propos de ce livre
| ST. GILES OXFORD - 1788 - 636 pages
...disois -je, il.xfya point « d'ami aussi agréable qu'une maîtresse « qui nous aime. Il ya de plus , dans la « femme , une gaieté légère qui dissipe « la tristesse de l'homme. Ses grâces « font évanouir les noirs phantômes de « la réflexion. Sur son visage , sont tes «doux... | |
| Bernardin de Saint-Pierre - 1797 - 464 pages
...lui disais - je, il n'ya point d'ami aussi agréable qu'une maîtresse qui nous aime. Il ya de plus, dans la femme, une gaieté légère qui dissipe la tristesse de l'homme. Ses graces font évanouir les noirs phantômes de la réflexion. Sur son visage sont les doux attraits... | |
| Bernardin de Saint-Pierre - 1803 - 194 pages
...disois-je, "il n'ya point d'ami " aussi agréable qu'une maîtresse qui nous aime. " II ya de plus, dans la femme, une gaieté légère " qui dissipe la tristesse de l'homme. Ses grâces "font évanouir les noirs fantômes de la réflexion. " Sur son visage, sont les doux attraits... | |
| Bernardin de Saint-Pierre - 1818 - 456 pages
...disais-je, il n'ya point d'ami » aussi agréable qu'une maîtresse qui nous aime » II ya de plus dans la femme une gaieté » légère qui dissipe la tristesse de l'homme. » Ses graces font évanouir les noirs fantômes » de la réflexion. Sur son visage, sont les doux... | |
| Bernardin de Saint-Pierre - 1820 - 426 pages
...disais-je, il n'ya point « d'ami aussi agréable qu'une maîtresse qui «nous aime. Il ya de plus dans la femme « une gaieté légère qui dissipe la tristesse de « l'homme. Ses graces font évanouir les noirs • fantômes de la réflexion. Sur son visage, «sont les doux... | |
| Jacques Henri Bernardin de Saint Pierre - 1824 - 430 pages
...lui disois-je, il n'ya point " d'ami aussi agréable qu'une maîtresse qui " nous aime. Il ya de plus dans la femme " une gaieté légère qui dissipe la tristesse " de l'homme. Ses graces font évanouir les " noirs fantômes de la réflexion. Sur son vi" sage sont les doux attraits... | |
| Charles-Augustin Sainte-Beuve - 1841 - 518 pages
...plus redoutable encore que celle de l'homme. Bernardin se contente de dire délicieusement : <f 11 ya dans la femme une. gaieté légère « qui dissipe la tristesse de l'homme. » Quand Bernardin de Saint-Pierre se promenait avec Rousseau, comme il lui demandait un jour si Saint-Preux... | |
| Bernardin de Saint-Pierre - 1845 - 170 pages
...disais-je, il n'ya point d'ami aussi , , agréable qu'une maîtresse qui nous aime. Il ya de plus , dans la femme une gaieté légère qui dissipe la tristesse , de l'homme. Ses grâces font évanouir les noirs fantômes ,de la réflexion. Sur son visage sont les doux attraits... | |
| Bernardin de Saint-Pierre - 1848 - 512 pages
...lui disais-je, il n'ya point d'ami aussi agréable « qu'une maîtresse qui nous aime. Il ya de plus dans la femme « une gaieté légère qui dissipe la tristesse de l'homme. Ses « grâces font évanouir les noirs fantômes de la réflexion. Sur « son visage sont les doux... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1852 - 540 pages
...redoutable encore que celle de l'homme. Bernardin se contente de dire délicieusement : « II « y, a dans la femme une gaieté légère qui dissipe la tristesse « de l'homme. » Quand Bernardin de Saint-Pierre se promenait avec Rousseau, comme il lui demandait un jour si Saint-Preux... | |
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