Corso di lingua francese: Anno II.Libreria Editrice del "Bollettino di Filologia Moderna", 1904 |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-5 sur 18
Page 2
... vent et munie de petits car- reaux , est encadrée de cette treille qui donne de si bons raisins . Les murs épais de la maison la protègent contre la chaleur en été et la protégeront aussi contre le froid en hiver . - Questionnaire . Que ...
... vent et munie de petits car- reaux , est encadrée de cette treille qui donne de si bons raisins . Les murs épais de la maison la protègent contre la chaleur en été et la protégeront aussi contre le froid en hiver . - Questionnaire . Que ...
Page 20
... vent d'Égypte tu ne fendras plus du poitrail l'eau du Jourdain , qui rafraîchissait ton poil aussi blanc que ton écume . Qu'au moins , si je suis esclave , tu restes libre Tiens , va , retourne à la tente que tu connais " ; va dire à ma ...
... vent d'Égypte tu ne fendras plus du poitrail l'eau du Jourdain , qui rafraîchissait ton poil aussi blanc que ton écume . Qu'au moins , si je suis esclave , tu restes libre Tiens , va , retourne à la tente que tu connais " ; va dire à ma ...
Page 24
... vent . C'est à l'église que le dimanche les paysans vont prier et entendre la messe et le sermon . Tout autour de l'église il y a le modeste cimetière , où d ' humbles croix de bois indiquent aux paisibles habitants l'endroit où ...
... vent . C'est à l'église que le dimanche les paysans vont prier et entendre la messe et le sermon . Tout autour de l'église il y a le modeste cimetière , où d ' humbles croix de bois indiquent aux paisibles habitants l'endroit où ...
Page 36
... vent aux consommateurs , dames et messieurs , qui s'as- seyent autour de ces tables . Sur la première table on voit une boîte à allumettes pour les fumeurs . Près de la table il y a trois chaises en osier . Plusieurs per- sonnes sont ...
... vent aux consommateurs , dames et messieurs , qui s'as- seyent autour de ces tables . Sur la première table on voit une boîte à allumettes pour les fumeurs . Près de la table il y a trois chaises en osier . Plusieurs per- sonnes sont ...
Page 48
... vent demandé de tes nouvelles , et tout le bien que j'ai ap- pris sur ton compte , je le leur ai écrit . B. Je vous remercie , monsieur . A. Mais dis donc , ton frère t'a - t - il déjà montré le musée du Louvre ? B. Pas encore ...
... vent demandé de tes nouvelles , et tout le bien que j'ai ap- pris sur ton compte , je le leur ai écrit . B. Je vous remercie , monsieur . A. Mais dis donc , ton frère t'a - t - il déjà montré le musée du Louvre ? B. Pas encore ...
Expressions et termes fréquents
allora altalena altri anche andare animaux anisetta anni Anno brano seguente café cambiano Carlo char chemin de fer cheval ciò città cognée complemento Composizione composti Condizionale cong Congiuntivo Coniugare coniugazione corsivo Corso francese davanti dell'infinito enfants essi esso Exercice fare fascio fermier focolare Futuro GAETANO SALVEMINI gamba gare GEORGES gesso giorno Grammaire grêlé Homonymes et gallicismes Imperativo Imperf Imperfetto Indicativo presente infinito invariabile invece irregolari J'ai l'écurie laiterie letto lineetta luogo maggior maison manger mettere mezzo MODO monsieur negazione nettoie ombrellino paio participio passato pass Passato rimoto PAUL père Perroche plurale posto prep preposizione Pres presto pron pronome quale Questionnaire reçu Ricapitolazione scolari sempre senso signora singolare soggetto sostantivo spendere tavola tempo terza tivo train Trapassato tutto vache vend vendu Verbi arcaici verbo Victor Emmanuel III Vive le jeudi voiture voyageur zione
Fréquemment cités
Page 138 - La nature envers vous me semble bien injuste. — Votre compassion, lui répondit l'arbuste, Part d'un bon naturel ; mais quittez ce souci. Les vents me sont moins qu'à vous redoutables. Je plie, et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos ; Mais attendons la fin.
Page 137 - Encor si vous naissiez à l'abri du feuillage Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant à souffrir, Je vous défendrais de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste.
Page 138 - Travaillez, prenez de la peine : C'est le fonds qui manque le moins. Un riche laboureur, sentant sa mort prochaine, Fit venir ses enfants, leur parla sans témoins. « Gardez-vous, leur dit-il, de vendre l'héritage Que nous ont laissé nos parents : Un trésor est caché dedans.
Page 139 - C'est donc quelqu'un des tiens ; Car vous ne m'épargnez guère, Vous, vos bergers, et vos chiens. On me l'a dit : il faut que je me venge.
Page 27 - ... la lumière et les couleurs. Les oiseaux en chœur se réunissent et saluent de concert le père de la vie ; en ce moment, pas un seul ne se tait; leur gazouillement, faible encore, est plus lent et plus doux que dans le reste de la journée, il se sent de la langueur d'un paisible réveil. Le concours de tous ces objets porte aux sens une impression de fraîcheur qui semble pénétrer jusqu'à l'âme. Il ya là une demi-heure d'enchantement auquel nul homme ne résiste : un spectacle si grand,...
Page 137 - LE CHÊNE ET LE ROSEAU Le chêne un jour dit au roseau : "Vous avez bien sujet d'accuser la nature : Un roitelet pour vous est un pesant fardeau. Le moindre vent qui d'aventure Fait rider la face de l'eau Vous oblige à baisser la tête : Cependant que mon front, au Caucase pareil, Non content d'arrêter les rayons du soleil, Brave l'effort de la tempête.
Page 140 - C'était un espagnol de l'armée en déroute Qui se traînait sanglant sur le bord de la route, Râlant, brisé, livide, et mort plus qu'à moitié, Et qui disait : — A boire, à boire par pitié! — Mon père, ému, tendit à son housard fidèle Une gourde de rhum qui pendait à sa selle, Et dit : — Tiens, donne à boire à ce pauvre blessé.
Page 138 - Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos; Mais attendons la fin.» Comme il disait ces mots. Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfants Que le Nord eût portés jusque-là dans ses flancs. L'arbre tient bon. le roseau plie; Le vent redouble ses efforts. Et fait si bien qu'il déracine Celui de qui la tête au ciel était voisine, Et dont les pieds touchaient à l'empire des morts.
Page 27 - L'homme reconnaît son séjour, et le trouve embelli. La verdure a pris durant la nuit une vigueur nouvelle ; le jour naissant qui l'éclaire, les premiers rayons qui la dorent, la montrent couverte d'un brillant réseau de rosée, qui réfléchit à l'œil la lumière et les couleurs. Les oiseaux en chœur se réunissent et saluent de concert le père de la vie...
Page 11 - ... d'un aiguillon peu acéré. Les fiers animaux frémissaient sous la petite main de l'enfant, et faisaient grincer les jougs et les courroies liés à leur front, en imprimant au timon de violentes secousses. Lorsqu'une racine arrêtait le soc, le laboureur criait d'une voix puissante, appelant chaque bête par son nom, mais plutôt pour calmer que pour exciter; car les bœufs, irrités par cette brusque résistance, bondissaient, creusaient la terre de leurs larges pieds fourchus, et se seraient...