Corso di lingua francese: Anno II.Libreria Editrice del "Bollettino di Filologia Moderna", 1904 |
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... yeux ? Comment est - il divisé ? Que voit - on au fond de la première scène ? Le rez - de - chaussée de la mai- son du fermier est - il très - haut ? Qu'y a - t - il au - dessous du rez- de - chaussée ? Et au - dessus ? De quoi est ...
... yeux ? Comment est - il divisé ? Que voit - on au fond de la première scène ? Le rez - de - chaussée de la mai- son du fermier est - il très - haut ? Qu'y a - t - il au - dessous du rez- de - chaussée ? Et au - dessus ? De quoi est ...
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... yeux farouches , ces mouvements brusques , ce travail nerveux qui s'irrite encore du joug et de l'aiguillon 2 ) , et n ' obéit qu ' en frémissant de colère à la domination nouvellement imposée . 3. Un enfant des six à sept ans , beau ...
... yeux farouches , ces mouvements brusques , ce travail nerveux qui s'irrite encore du joug et de l'aiguillon 2 ) , et n ' obéit qu ' en frémissant de colère à la domination nouvellement imposée . 3. Un enfant des six à sept ans , beau ...
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... yeux ( vifs et pleins de feu ) , oreilles ( droites et mobiles ) . Cou , crinière . Corps . Pieds , sabots , queue . Harnais ) . 2. Composi- zione La vie d'un cheval ( 1 ) . 3. Mettere all ' imperfetto del- l'indicativo i verbi in ...
... yeux ( vifs et pleins de feu ) , oreilles ( droites et mobiles ) . Cou , crinière . Corps . Pieds , sabots , queue . Harnais ) . 2. Composi- zione La vie d'un cheval ( 1 ) . 3. Mettere all ' imperfetto del- l'indicativo i verbi in ...
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... yeux baignés de larmes , il s'écria : „ Jupiter , j'ai perdu ma cognée , Je suis très malheureux ; rends- la- moi ! “ Sa plainte fut entendue au ciel . Jupiter envoya son fils Mercure -se présenta tout à coup au pauvre bûcheron en lui ...
... yeux baignés de larmes , il s'écria : „ Jupiter , j'ai perdu ma cognée , Je suis très malheureux ; rends- la- moi ! “ Sa plainte fut entendue au ciel . Jupiter envoya son fils Mercure -se présenta tout à coup au pauvre bûcheron en lui ...
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... yeux qui , ne laissant rien échapper , veille à ( ce , se ) que tout s'ex- écute bien dans la maison . › La ville . Le tableau que nous avons sous les yeux représente quel- ques parties intéressantes d'une ville et est divisé en quatre ...
... yeux qui , ne laissant rien échapper , veille à ( ce , se ) que tout s'ex- écute bien dans la maison . › La ville . Le tableau que nous avons sous les yeux représente quel- ques parties intéressantes d'une ville et est divisé en quatre ...
Expressions et termes fréquents
allora altalena altri anche andare animaux anisetta anni Anno brano seguente café cambiano Carlo char chemin de fer cheval ciò città cognée complemento Composizione composti Condizionale cong Congiuntivo Coniugare coniugazione corsivo Corso francese davanti dell'infinito enfants essi esso Exercice fare fascio fermier focolare Futuro GAETANO SALVEMINI gamba gare GEORGES gesso giorno Grammaire grêlé Homonymes et gallicismes Imperativo Imperf Imperfetto Indicativo presente infinito invariabile invece irregolari J'ai l'écurie laiterie letto lineetta luogo maggior maison manger mettere mezzo MODO monsieur negazione nettoie ombrellino paio participio passato pass Passato rimoto PAUL père Perroche plurale posto prep preposizione Pres presto pron pronome quale Questionnaire reçu Ricapitolazione scolari sempre senso signora singolare soggetto sostantivo spendere tavola tempo terza tivo train Trapassato tutto vache vend vendu Verbi arcaici verbo Victor Emmanuel III Vive le jeudi voiture voyageur zione
Fréquemment cités
Page 138 - La nature envers vous me semble bien injuste. — Votre compassion, lui répondit l'arbuste, Part d'un bon naturel ; mais quittez ce souci. Les vents me sont moins qu'à vous redoutables. Je plie, et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos ; Mais attendons la fin.
Page 137 - Encor si vous naissiez à l'abri du feuillage Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant à souffrir, Je vous défendrais de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste.
Page 138 - Travaillez, prenez de la peine : C'est le fonds qui manque le moins. Un riche laboureur, sentant sa mort prochaine, Fit venir ses enfants, leur parla sans témoins. « Gardez-vous, leur dit-il, de vendre l'héritage Que nous ont laissé nos parents : Un trésor est caché dedans.
Page 139 - C'est donc quelqu'un des tiens ; Car vous ne m'épargnez guère, Vous, vos bergers, et vos chiens. On me l'a dit : il faut que je me venge.
Page 27 - ... la lumière et les couleurs. Les oiseaux en chœur se réunissent et saluent de concert le père de la vie ; en ce moment, pas un seul ne se tait; leur gazouillement, faible encore, est plus lent et plus doux que dans le reste de la journée, il se sent de la langueur d'un paisible réveil. Le concours de tous ces objets porte aux sens une impression de fraîcheur qui semble pénétrer jusqu'à l'âme. Il ya là une demi-heure d'enchantement auquel nul homme ne résiste : un spectacle si grand,...
Page 137 - LE CHÊNE ET LE ROSEAU Le chêne un jour dit au roseau : "Vous avez bien sujet d'accuser la nature : Un roitelet pour vous est un pesant fardeau. Le moindre vent qui d'aventure Fait rider la face de l'eau Vous oblige à baisser la tête : Cependant que mon front, au Caucase pareil, Non content d'arrêter les rayons du soleil, Brave l'effort de la tempête.
Page 140 - C'était un espagnol de l'armée en déroute Qui se traînait sanglant sur le bord de la route, Râlant, brisé, livide, et mort plus qu'à moitié, Et qui disait : — A boire, à boire par pitié! — Mon père, ému, tendit à son housard fidèle Une gourde de rhum qui pendait à sa selle, Et dit : — Tiens, donne à boire à ce pauvre blessé.
Page 138 - Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos; Mais attendons la fin.» Comme il disait ces mots. Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfants Que le Nord eût portés jusque-là dans ses flancs. L'arbre tient bon. le roseau plie; Le vent redouble ses efforts. Et fait si bien qu'il déracine Celui de qui la tête au ciel était voisine, Et dont les pieds touchaient à l'empire des morts.
Page 27 - L'homme reconnaît son séjour, et le trouve embelli. La verdure a pris durant la nuit une vigueur nouvelle ; le jour naissant qui l'éclaire, les premiers rayons qui la dorent, la montrent couverte d'un brillant réseau de rosée, qui réfléchit à l'œil la lumière et les couleurs. Les oiseaux en chœur se réunissent et saluent de concert le père de la vie...
Page 11 - ... d'un aiguillon peu acéré. Les fiers animaux frémissaient sous la petite main de l'enfant, et faisaient grincer les jougs et les courroies liés à leur front, en imprimant au timon de violentes secousses. Lorsqu'une racine arrêtait le soc, le laboureur criait d'une voix puissante, appelant chaque bête par son nom, mais plutôt pour calmer que pour exciter; car les bœufs, irrités par cette brusque résistance, bondissaient, creusaient la terre de leurs larges pieds fourchus, et se seraient...