La diplomatie français vers le milieu du XVIe siècle d'après la correspondance de Guillaume Pellicier, évêque de Montpellier, ambassadeur de François Ier à Venise (1539-1542) ...

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Hachette et cie, 1881 - 412 pages
 

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Fréquemment cités

Page 275 - Les observations de plusieurs singularitez et choses mémorables trouvées en Grèce, Asie, Judée, Egypte, Arabie et autres pays estranges, rédigées en trois livres par Pierre Belon du Mans, Paris, 1553.
Page 20 - Tous les princes chretiens qui soustenoient le party de l'Empereur faisoient grand cas de ce que le Roy nostre maistre avoit employé le Turc à son secours : mais contre son ennemy on peut de tous bois faire flesches. Quant à moy, si je pouvois appeler tous les esprits des enfers pour rompre la teste à mon ennemy qui me veut rompre la mienne, je le ferois de bon cœur : Dieu me le pardoint.
Page 151 - Très-Haut soit sur eux tous!), ainsi que de tous les favoris de Dieu; moi, dis-je, qui suis le sultan des sultans, le souverain des souverains, le distributeur de couronnes aux monarques de la surface du globe, l'ombre de Dieu sur la terre...
Page 24 - Dans le but légitime de son institution, la diplomatie doit pourvoir à la sûreté et à l'harmonie des états, elle doit tâcher par des explications promptes et par des interventions amicales de prévenir ou de terminer promptement les guerres ; elle doit faciliter les rapports des peuples par les avantages réciproques du commerce, et concourir par des procédés libéraux à les réunir dans une commune société de frères et d'amis (x).
Page 155 - Il a le front élevé et large : les yeux gros et noirs, le nez hault, et un peu courbe ou aquilin, les moustaches longs et roux : le menton rez...
Page 153 - Son passe temps est de lire és limes de philosophie et de sa loy. En laquelle il est tellement instruict que son Mofty ne lui en sçauroit apprendre aucune chose. On ne le tient point trop liberal, mais plus eschars que ses predecesseurs. Il se...
Page 3 - De ces trois choses , une seule est facile ; savoir : la première ; encore même s'il s'agit d'une ligue entre deux états , et contre un troisième , on ne réussit pas toujours à en dérober la connaissance à qui il importe de la tenir secrète...
Page 328 - ... et suffisance, que guieres ou peu il s'est aidé de gens d'espée en ses ambassades, sinon que de ces gens de plume, ayant opinion que l'espée ne sçait tant bien entendre ses affaires, ni les conduire et demesler, comme la plume. A quoy il y a fort à disputer laquelle des deux est la plus propre ; et s'en feroit un beau traicté bien illustré de raisons et d'exemples. Nos roys...
Page 256 - Roy, luy feroient apparoir du nombre et des noms de ceux qui avoient exécuté le délict , de quelles nations ils estoient, et où furent menez les prisonniers, par qui, à quelle heure, par quel chemin, avec quel ordre, par quelle porte , et à quelle heure ils furent mis dedans leur...
Page 235 - Martinuzzi accompagnait le jeune prince, qui s'établit au château de Lippa. « Désormais il y eut trois Hongries : la Hongrie occidentale, royaume effectif de Ferdinand , la Hongrie centrale, occupée par les Turcs et gouvernée par le pacha de Bude, enfin la Hongrie orientale qui forma la principauté indépendante de Transylvanie.

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