Oeuvres dramatiques de Néricault Destouches...Prault père, 1758 |
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Néricault Destouches. LE TRIOMPHE DE L'AUTOMNE , PROLOGUE DE LA FAUSSE AGNÉS , O U DU POËTE CAMPAGNARD . Tome IV . A ACTEURS DU PROLOGUE . MERCURE . L'AMOUR . LA SAISON.
Néricault Destouches. LE TRIOMPHE DE L'AUTOMNE , PROLOGUE DE LA FAUSSE AGNÉS , O U DU POËTE CAMPAGNARD . Tome IV . A ACTEURS DU PROLOGUE . MERCURE . L'AMOUR . LA SAISON.
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Néricault Destouches. ACTEURS DU PROLOGUE . MERCURE . L'AMOUR . LA SAISON DU PRINTEMPS . LA SAISON DE L'ÉTÉ . LA SAISON DE L'AUTOMNE . LA SAISON DE L'HYVER . L'OPERA . LA COMÉDIE FRANÇOISE . LA COMÉDIE ITALIENNE . Plufieurs AUTEURS D'ÉTÉ ...
Néricault Destouches. ACTEURS DU PROLOGUE . MERCURE . L'AMOUR . LA SAISON DU PRINTEMPS . LA SAISON DE L'ÉTÉ . LA SAISON DE L'AUTOMNE . LA SAISON DE L'HYVER . L'OPERA . LA COMÉDIE FRANÇOISE . LA COMÉDIE ITALIENNE . Plufieurs AUTEURS D'ÉTÉ ...
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... MERCURE . ESDAMES les Saifons , foyez plus paci fiques ; Le grand dieu Jupiter , inftruit de vos dé- bats , Vient de me commander de defcendre icl bas , Pour redreffer vos écarts lunatiques . Quand ce dieu forma l'univers , Pour régner ...
... MERCURE . ESDAMES les Saifons , foyez plus paci fiques ; Le grand dieu Jupiter , inftruit de vos dé- bats , Vient de me commander de defcendre icl bas , Pour redreffer vos écarts lunatiques . Quand ce dieu forma l'univers , Pour régner ...
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... MERCURE à l'Hyver . Hé bien , vieille trembleufe , il eft temps de répondre : Tant de juftes griefs ont de quoi te confondre ; Ils devroient t'accabler de honte & de douleur , Mais rien ne peut émouvoir ta froideur . L'HY VER . Quoi que ...
... MERCURE à l'Hyver . Hé bien , vieille trembleufe , il eft temps de répondre : Tant de juftes griefs ont de quoi te confondre ; Ils devroient t'accabler de honte & de douleur , Mais rien ne peut émouvoir ta froideur . L'HY VER . Quoi que ...
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... Mercure , N'êtes - vous pas choqué d'une telle imposture è MERCUR E. [ à l'Hyver . ] Si je le fuis ? Sans doute , Ofes - tu devant moi Faire aux mortels cette injuftice ? L'HY VER . Pour un dieu fi fubtil , vous étes bien novice ...
... Mercure , N'êtes - vous pas choqué d'une telle imposture è MERCUR E. [ à l'Hyver . ] Si je le fuis ? Sans doute , Ofes - tu devant moi Faire aux mortels cette injuftice ? L'HY VER . Pour un dieu fi fubtil , vous étes bien novice ...
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Expressions et termes fréquents
affez Affurément aife Ainfi allez ANGELIQUE auffi avez BABET BARO bian C'eft c'eſt caufe cher chofe cœur COMÉDIE FRANÇOISE Comte de Tufiere COMTESSE connois connoître Corbleu coufin croi croyois deffein difcours dire efprit eft vrai Eft-ce eft-il époufe eſt étes faifant fans favez favoir fens fera feroit fervir feul fied fille fœur foit fommes font fouffrir fouvent grace homme ISABELLE j'ai j'en fuis JOSSE Jufqu'à jufte L'AMOUR l'efprit l'Hyver L'OLIVE laiffe LEANDRE Lifette LISETTE LISIMON LYCANDRE m'en Mademoiſelle Maître Pierre MERCURE Monfieur des Mazures Monfieur le Baron Monfieur le Comte Monfieur le Préfident morgué n'eft n'eſt naiſſance Nicolas paffe Parbleu pargué parler paroît PASQUI PASQUIN penfe pere perfonne PHILINT plaifir plaire plûtôt POETE COMIQUE préfent préſence PRESIDENT raiſon refpect refte répons révérences rien s'il vous plaît ſon ſuis vais VALERE veux voilà ВАВЕТ
Fréquemment cités
Page 266 - Plus brillant que les tiens. Et j'ai dans mon pupitre Des billets au porteur, dont je fais plus de cas Que de vieux parchemins , nourriture des rats.
Page 79 - Et j'enchaîne à vos pieds ma tendre liberté. Allons, imitez-moi; un petit impromptu de votre façon. ANGÉLIQUE. Oh ! très-volontiers. Je vois qu'il faut vous contenter.
Page 219 - Je vous laisse le soin de l'application , Et , de la modestie embrassant la défense , Je soutiens que par elle on voit la différence Du mérite apparent au mérite parfait. L'un veut toujours briller, l'autre brille en effet, Sans jamais y prétendre , et sans même le croire. L'un est superbe et vain, l'autre n'a point de gloire; Le faux aime le bruit, le vrai craint d'éclater; L'un aspire aux égards, l'autre à les mériter. Je dirai plus. Les gens nés d'un sang respectable Doivent se distinguer...
Page 247 - D'un bourgeois anobli, fier de son opulence? Si le faste et l'éclat ne soutiennent le rang, II traite avec dédain le plus illustre sang. Mesurant ses égards aux dons de la fortune, Le mérite indigent le choque, l'importune, Et ne peut l'aborder qu'en faisant mille efforts Pour cacher ses besoins sous un brillant dehors.
Page 270 - En sondant votre cœur, j'ai frémi, j'ai tremblé. Mais, malgré votre orgueil, la nature a parlé. Qu'en ce moment pour moi ce triomphe a de charmes ! Je dois donc maintenant terminer vos alarmes, Oublier vos écarts qui sont assez punis. Mon fils, rassurez-vous. Nos malheurs sont finis. Le Ciel, enfin pour nous devenu plus propice, A de mes ennemis confondu la malice.
Page 203 - D'amis avec amis on fait la différence. LISIMON. Pour moi, je n'en fais point. LE COMTE. Les gens de ma naissance Sont un peu délicats sur les distinctions, Et je ne suis ami qu'à ces conditions.
Page 270 - Comte, et l'embrasse. En sondant votre cœur, j'ai frémi, j'ai tremblé. Mais, malgré votre orgueil, la nature a parlé. Qu'en ce moment pour moi ce triompbe a de charmes ! Je dois donc maintenant terminer vos alarmes, Oublier vos écarts qui sont assez punis.
Page 143 - ... de ces sales équivoques, de ces fades jeux de mots, de ces mœurs basses et vicieuses, dont elle a été souvent infectée, et qu'à la rendre digne de l'estime et de la présence des honnêtes gens.
Page 248 - J'entends. La vanité me déclare à genoux Qu'un père infortuné n'est pas digne de vous. Oui, oui, j'ai tout perdu par l'orgueil de ta mère, Et tu n'as hérité que de son caractère.
Page 225 - Mais il faut vous complaire. L'honneur que vous avez d'être un de mes rivaux Va vous faire monter au rang de mes égaux PHILINTE, d'un air railleur, mettant ses gants. Je suis reconnaissant de cette grâce insigne, Et je vais vous prouver que mon cœur en est digne.