Molière musicien, notes sur les œuvres de cet illustre maître, par Castil-Blaze, Volume 1 |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-5 sur 100
Page 21
... jour , et que le bouffon de la troupe se promenait par la ville avec un tambour pour aver- tir qu'on allait commencer . Les pièces qui nous restent de ce temps sont de la même beauté que le lieu où l'on en fai- sait la représentation ...
... jour , et que le bouffon de la troupe se promenait par la ville avec un tambour pour aver- tir qu'on allait commencer . Les pièces qui nous restent de ce temps sont de la même beauté que le lieu où l'on en fai- sait la représentation ...
Page 27
... encore , en 1720 , un théâtre en maçonnerie , dont la ferme et les coulisses étaient en treillis couverts de charmilles et de plantes grimpantes . On y jouait la comédie en plein jour . Ovide a parlé de LA COMÉDIE DES PROVERBES . 27.
... encore , en 1720 , un théâtre en maçonnerie , dont la ferme et les coulisses étaient en treillis couverts de charmilles et de plantes grimpantes . On y jouait la comédie en plein jour . Ovide a parlé de LA COMÉDIE DES PROVERBES . 27.
Page 28
... jour , 24 juillet 1671 , les musiciens et musi- ciennes n'avaient point voulu paraître en public . Ils chantaient à la comédie dans des loges grillées et treillissées ; mais on surmonta cet obstacle . Avec quelque légère dépense , on ...
... jour , 24 juillet 1671 , les musiciens et musi- ciennes n'avaient point voulu paraître en public . Ils chantaient à la comédie dans des loges grillées et treillissées ; mais on surmonta cet obstacle . Avec quelque légère dépense , on ...
Page 30
... jour par le lustre , dont il reproduit la forme cir- culaire . Psyché , tragi - comédie - ballet , avait paru sur le théâtre im- mense des Tuileries , devant la cour , le 17 janvier 1671 ; elle avait été donnée au public , sur la scène ...
... jour par le lustre , dont il reproduit la forme cir- culaire . Psyché , tragi - comédie - ballet , avait paru sur le théâtre im- mense des Tuileries , devant la cour , le 17 janvier 1671 ; elle avait été donnée au public , sur la scène ...
Page 32
... jour les douze livres d'un théâtre , et les deux liards , oui les deux liards ! du crocodile vivant , des puces travailleuses ou des rats mousquetaires . Défense à la Comédie - Française d'avoir plus de six vio- lons dans son orchestre ...
... jour les douze livres d'un théâtre , et les deux liards , oui les deux liards ! du crocodile vivant , des puces travailleuses ou des rats mousquetaires . Défense à la Comédie - Française d'avoir plus de six vio- lons dans son orchestre ...
Autres éditions - Tout afficher
Molière musicien, notes sur les œuvres de cet illustre maître ..., Volume 2 François Henri J. Blaze Affichage du livre entier - 1852 |
Expressions et termes fréquents
acteurs admirable airs amoureux Arlequin arpège avaient ballet beau bécarre belle bémol brillante cadeau cadence Castil-Blaze chanson chanter chanteurs charmante chose clavecin comédie Comédie-Française Comédie-Italienne comédiens comique commandeur concert Convitato di pietra Corneille costume dames danse diable dire disait divertissements Don Giovanni don Juan donna Anna drame Espagnols faisait femme Festin de Pierre figure flûtes François Ier galant harpe hautbois homme instruments Italiens j'ai jouer jour l'Académie l'auteur l'Hotel l'Opéra l'orchestre lazzi Leporello Louis XIV LUCETTE Lulli lyrique madame maître manière MASCARILLE mélodie ment merveille mise en scène Mlle Molière monsieur MORON mots Mozart musette musicale musicien nacaires opéra ORONTE parler paroles pièce Pierre Corneille plaisir poète Polyxène Pourceaugnac précieux premier Princesse d'Élide prose public représenté rime Rosimond SCARRON seul Sganarelle Sicilien sieur spectacle statue syllabe symphonie Tartufe théâtre timbales Tirso Tirso de Molina tragédie trompette valet vingt-quatre violons viole violons virtuose Voilà voix
Fréquemment cités
Page 26 - II n'est point de serpent ni de monstre odieux, Qui, par l'art imité, ne puisse plaire aux yeux : D'un pinceau délicat l'artifice agréable Du plus affreux objet fait un objet aimable.
Page 164 - ... ton, De les saluer par leur nom, De quelque rang qu'ils puissent être. Cette familiarité Donne à quiconque en use un air de qualité. Grattez du peigne à la porte De la chambre du roi; Ou si, comme je prévoi, La presse s'y trouve forte, Montrez de loin votre chapeau , Ou montez sur quelque chose Pour faire voir votre museau , Et criez sans aucune pause, D'un ton rien moins que naturel : Monsieur l'huissier, pour le marquis un tel.
Page 397 - Il n'ya pas moins d'éloquence dans le ton de la voix, dans les yeux et dans l'air de la personne, que dans le choix des paroles.
Page 49 - Parce que vous êtes un grand seigneur, vous vous croyez un grand génie!... Noblesse, fortune, un rang, des places, tout cela rend si fier! Qu'avez-vous fait pour tant de biens? Vous vous êtes donné la peine de naître, et rien de plus.
Page 202 - Un mariage ne lui coûte rien à contracter; il ne se sert point d'autres pièges pour attraper les belles , et c'est un épouseur à toutes mains. Dame, demoiselle, bourgeoise, paysanne, il ne trouve rien de trop chaud, ni de trop froid pour lui...
Page 347 - En vain par sa grimace un bouffon odieux A table nous fait rire et divertit nos yeux : • Ses bons mots ont besoin de farine et de plâtre. Prenez-le...
Page 206 - La noire à faire peur une brune adorable; La maigre a de la taille et de la liberté; La grasse est dans son port pleine de majesté; La malpropre sur soi de peu d'attraits chargée, Est mise sous le nom de beauté négligée; La géante paraît une déesse aux yeux; La naine un abrégé des merveilles des Cieux; L'orgueilleuse a le cœur digne d'une couronne; La fourbe a de l'esprit, la sotte est toute bonne; La trop grande parleuse est d'agréable humeur, Et la muette garde une honnête pudeur....
Page 318 - Que don Juan déguisé chante sous un balcon ? — Une mélancolique et piteuse chanson , Respirant la douleur, l'amour et la tristesse. Mais l'accompagnement parle d'un autre ton. Comme il est vif, joyeux ! avec quelle prestesse II sautille ! — On dirait que la chanson caresse Et couvre de langueur le perfide instrument ; Tandis que l'air moqueur de l'accompagnement Tourne en dérision la chanson elle-même , Et semble la railler d'aller si tristement. Tout cela cependant fait un plaisir extrême.
Page 288 - Et le jour que parut le convive de pierre. Tu vins à sa rencontre, et lui tendis la main ; Tu tombas foudroyé sur ton dernier festin : Symbole merveilleux de l'homme sur la terre, Cherchant de ta main gauche à soulever ton verre, Abandonnant ta droite à celle du Destin...
Page 394 - La rime n'est pas riche et le style en est vieux ; Mais ne voyez-vous pas que cela vaut bien mieux Que ces colifichets dont le bon sens murmure, Et que la passion parle là toute pure?