... cent lorgnettes dressées contre ma figure : enfin jamais homme n'a tant été vu que moi. Je souriais quelquefois d'entendre des gens qui n'étaient presque jamais sortis de leur chambre, qui disaient entre eux : « II faut avouer qu'il a l'air bien... Lettres persanes - Page 20de Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1912 - 171 pagesAffichage du livre entier - À propos de ce livre
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1764 - 466 pages
...d'abord cent lorgnettes dreffées( * ) Les Perfans font l«s plus tolérans de tous les Maho-r ««tans, contre ma figure : enfin , jamais homme n'a tant été vu que moi. Je fouriois quelquefois d'entendre des gens qui n'étoient prefque jamais fortis de leur chambre , qui... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1767 - 764 pages
...couleurs, qui m'entouroiç : fi j'étois aux fpe&acles, je trouvois d'abord cent lorgnettes drefTées contre ma figure : enfin , jamais homme n'a tant été vu que moi. Je fouriois quelquefois d'en-< tendre des gens qui n'étoient prefque jamais fortis de leur chambre ,... | |
| Charles-Louis de Secondat de Montesquieu (baron de la Brède) - 1771 - 688 pages
...couleurs , qui m "entourait : fi j'étois aux fpeftacles , je trouvois d'abord cent lorgnettes dreffées contre ma figure : enfin , jamais homme n'a tant été vu que moi. Je fouriois quelquefois d'entendre des gens qui n'étoient prefque jamais fortis de leur chambre , qui... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1788 - 510 pages
...couleurs , qui m'entouroit. Si j'étois aux spectacles , je trouvois d'abord cent lorgnettes dressées contre ma figure : enfin , jamais homme n'a tant été vu que moi. Je souriois quelquefois d'entendre des gens qui n'étoient presque jamais sortis de leur chambre, (*)... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1799 - 422 pages
...quelquefois d'entendre des gens qui n'étoient presque jamais sortis de leur chambre, qui disoient fentre eux: II faut avouer qu'il a l'air bien Persan. Chose admirable ! je trouvois de mes portraits par-tout; je me voyois multiplié dans toutes les boutiques, sur toutes les... | |
| Charles-Louis de Secondat de Montesquieu - 1817 - 648 pages
...m'entourait. Si j'étais aux spectacles, je trouvais d'abord cent lorgnettes dressées contre ma figure: 5 enfin jamais homme n'a tant été vu que moi-. Je...chambre , qui disaient entre eux : II faut avouer qn « a ï'air bien persan. Chose admirable ! je trouvais de mes portraits partout; je me voyais multiplié... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1818 - 704 pages
...couleurs qui m'entouroit. Si j'élois aux spectacles, je trouvois d'abord cent lorgnettes dressées contre ma figure: enfin jamais homme n'a tant été vu que moi. Je souriois quelquefois d'entendre des gens qui n'étoient presque jamais sortis de leur chambre , qui... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1820 - 662 pages
...couleurs, qui m'entouroit. Si j'étois aux spectacles , je trouvois d'abord cent lorgnettes dressees contre ma figure : enfin, jamais homme n'a tant été vu que moi. Je souriois quelquefois d'entendre des gens qui n'étoient presque jamais sortis de leur chambre, qui... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1827 - 506 pages
...couleurs , qui m'entouroit. Si j'étois aux spectacles, je trouvois d'abord cent lorgnettes dressées contre ma figure : enfin , jamais homme n'a tant été vu que moi. Je souriois quelquefois d'entendre des gens qui n'étoient presque jamais sortis de leur chambre, qui... | |
| Johann H. P. Seidenstücker - 1829 - 286 pages
...couleurs, qui m'entouroit. Si j'étois au spectacle, je trourois d'abord cent lorgnettes dressées contre ma figure. Enfin, jamais homme n'a tant été vu que moi. Je souriois quelquefois, d'entendre des, gens qui n'étoient presque jamais sortis de leur chambre, qui... | |
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