| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1798 - 344 pages
...véritablement propre. Quant à mon métier de président, j'ai le cœur très-droit : je comprenois assez les questions en elles-mêmes; mais quant à la procédure, je n'y entendois rien. Je m'y suis pourtant appliqué ; mais ce qui m'en dégoûtoit le plus, c'est que je... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1820 - 480 pages
...véritablement propre. Quant à mon métier de président, j'ai le cœur très-droit : je comprenois assez les questions en elles-mêmes; mais quant à la procédure, je n'y entendois rien. Je m'y suis pourtant appliqué; mais ce qui m'en dégoûtoit le plus, c'est que je... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1821 - 324 pages
...véritablement propre. Quant à mon métier de président, j'ai le cœur trèsdroit : je comprenois assez les questions en elles-mêmes; mais, quant à la procédure, je n'y entcndois rien. Je m'y suis pourtant appliqué ; mais ce qui m en dégoùtoit le plus, c'est que je... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1823 - 326 pages
...véritablement propre. Quant à mon métier de président, j'ai le cœur trèsdroit : je comprenois assez les questions en elles-mêmes; mais, quant à la procédure, je n'y entendois rien. Je m'y suis pourtant appliqué ; mais ce qui m'en dégoûtoit le plus, c'est que je... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1831 - 534 pages
...véritablement propre. Quant à mon métier de président, j'ai le cœur très-droit : je comprenois assez les questions en elles-mêmes ; mais quant à la procédure, je n'y entendôis rien. Je m'y suis pourtant appliqué ; mais ce qui m'en dégoûtoit le plus. c'est que je... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1834 - 520 pages
...véritablement propre. Quant à mon métier de président, j'ai le cœur très-droit : je comprenois assez les questions en elles-mêmes ; mais quant à la procédure, je n'y entendois rien. Je m'y suis pourtant appliqué; mais ce qui m'en dégoûtoit le plus, c'est que je... | |
| 1843 - 840 pages
...dit-il, j'ai le cœur très droit; je comprenais a*ez les questions en elles-mêmes; mais quant '.< la procédure, je n'y entendais rien. Je m'y suis...bêtes le même talent qui me fuyait pour ainsi dire. » Néanmoins, en 1722, il fut chargé par sa compagnie de rédiger des remontrances adressées au... | |
| Karl Julius Weber - 1843 - 398 pages
...: Quant à mon métier j'ai le coeur droit, je comprenais les questions en elles mêmes, mais quand à la procédure je n'y entendais rien; je m'y suis...voyais à des bêtes le même talent, qui me fuyait. ( r ) ШеифКп trat * ЗФ tennt eirnnat niât« 8гЬагшПфегеа «Га einen Mofen ршит... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1846 - 602 pages
...dans la république auxquels j'eusse été véritablement propre. Quant à mon métier de président, j'ai le cœur très-droit : je comprenais assez les...rien. Je m'y suis pourtant appliqué; mais ce qui m'en dégoûtait le plus, c'est que je voyais à des bêtes le même talent qui me fuyait, pour ainsi... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1845 - 396 pages
...dans la république auxquels j'eusse été véritablement propre. Quant à mon métier de président, j'ai le cœur très-droit : je comprenais assez les...rien. Je m'y suis pourtant appliqué; mais ce qui m'en dégoûtait le plus, c'est que je voyais à des botes le même talent qui me fuyait, pour ainsi... | |
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