L'Année littéraire, ou, Suite des lettres sur quelques écrits de ce temps, Volume 51755 |
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L'Année littéraire, ou, Suite des lettres sur quelques écrits ..., Volumes 7 à 8 Affichage du livre entier - 1787 |
L'Année littéraire, ou, Suite des lettres sur quelques écrits de ..., Volume 6 Affichage du livre entier - 1768 |
L'Année littéraire, ou, Suite des lettres sur quelques écrits ..., Volumes 3 à 4 Affichage du livre entier - 1786 |
Expressions et termes fréquents
affez ainſi Anglois Année Littéraire auffi auroit auſſi auteur avoient avoit Barniwal c'eſt c'étoit Cantwel cauſe choſe Coffin comédie deſſein diſcours Duclos Duréal enfans enſemble enſuite eſpèce eſprit eſt étoient étoit faifoit fans fingulier foit font François Françoiſe Genghis-kan Gravina Grecs hiſtoire homme inoculé jour juſqu'à juſte l'Abbé l'Année Littéraire l'auteur l'eſprit l'hiſtoire l'Inoculation l'Univerſité l'uſage laiſſe Latine Lemnos Lettres lorſqu'il lorſque Louis XI Luffan Madame Madame Curé maiſon Marivaux ment mœurs Monfieur Mylord n'eſt naiſſance obſervations ouvrage paroît paſſe peintes penſées perſonne petite vérole peuple Philoclée Philoctète pièce pluſieurs poëtes préſente preſque Prince Pyrocle Pyrrhus queſtion reſte Rinville Rozen s'eſt ſang ſans ſçait ſçavez ſçavoir ſciences ſe trouve ſeconde ſelon ſemble ſept ſera ſeroit ſes ſeul ſeulement ſoit ſon ſont ſous ſouvent ſtyle ſuccès ſuis ſuite ſujet ſur teur tion tragédie troiſième Ulyffe uſage verbe دو
Fréquemment cités
Page 13 - Recevoir le meilleur , ère dit-on , votre envie , Et je ne ferois pas parti de Warfovie , Si vous aviez parlé de prendre le mieux fait.
Page 155 - Le coup de poing avertit feulement que la querelle eft férieufe ; & leur façon de parler en eft toujours fi voifine , que ce coup de poing ne fait pas un grand dérangement. Les Dévots d'entre le Peuple , le font infiniment dans la forme ; la vrai piété eft au-deffus de la portée de leur cœur Se de leur efprit. Une grofle voix , dans un Prédicateur , les perfuade.
Page 155 - Ils fe raccommodent & fe brouillent fans s'entendre. Les gens mariés d'entre le Peuple fe parlent toujours comme s'ils alloient fe battre. Cela les accoutume à une...
Page 185 - Comme il n'avoit guéres plus de reffentiment des injures , que de reconnoiflance des fervices , il puniffoit ou récompenfoit par intérêt. Lorfqu'il fe déterminoit à punir , il le faifoit avec la dernière févérité , parce que l'exemple doit être le premier objet du châtiment. La févérité de ce Prince fe tourna en cruauté fur la fin de fa vie : il foupçonnoit légèrement, & l'on devenoit criminel dès qu'on étoit fufpecl.
Page 193 - Jean , féduit par les bontés du Roi qui le faifoit fouvent manger avec lui, s'avifa de lui demander des Lettres de Noblefle. Ce Prince les lui accorda; mais lorfque ce nouveau Noble parut devant lui , il affefta de ne le pas regarder. Maître Jean furpris de ne pas trouver le même accueil , s'en plaignit. Al
Page 87 - Quel contraste, grands dieux! dès la plus tendre enfance, On étale à nos yeux la superbe opulence, On écarte de nous jusqu'à l'ombre des maux, On n'offre à nos regards que de riants tableaux; Pour ne point nous déplaire, on nous cache à nous-mêmes, On ne nous entretient que de grandeurs suprêmes; On ajoute à nos noms des noms ambitieux; Autant que l'on le peut, on fait de nous des dieux. Victimes des flatteurs, malheureux que nous sommes, Que ne nous apprend-on que les rois sont des hommes!
Page 150 - Eh bien, un jeune homme doit-il être le copiste de la façon de faire de ces auteurs? Non ! cette façon a je ne sais quel caractère ingénieux et fin dont l'imitation littérale ne fera de lui qu'un siuge, et l'obligera de courir vraiment après l'esprit, l'empêchera d'être naturel.
Page 14 - Ces habits nouveaux , qui ont long-tems lubrifié , étoient pareils à ceux des Dames de la Cour , c'eft-à-dire, des corps de robes à longues queues traînantes. De nos jours nous avons vu les femmes des...
Page 191 - Ce prince craignoit tant la mort, que dans les prières qu'il ordonnoit continuellement, il ne vouloit pas qu'on demandât à Dieu autre cîiofe pour lui que la faute.
Page 90 - Tu m'épargne l'affront dont je flétris Hector. Que mon fils à jamais en garde la mémoire , Et te rende les foins que tu prends de ma gloire. Sers-lui de père , ami ; qu'il te ferve de fils. Voilà fes derniers vœux , les avez-vous remplis ? De fes fiers ennemis j'affrontai la furie : Vous , en m'abandonnant , vous leur livrez ma vie.