Langue et littérature des anciens Francs

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L. G. Michaud, 1814 - 284 pages
 

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Fréquemment cités

Page 128 - daz der sin ñamo kauuihit uuerda, der eo uuas uuih enti eo ist; uzzan des dikkames, daz der sin ñamo in uns kauuihit uuerda,. enti de
Page 252 - ne stuont. So er teta. Er cham dar ana, er cham an den breiten uueg, ter ze hello
Page v - appelée par leurs auteurs, francique ou francisque, qu'ils avaient, avant de quitter leurs anciennes demeures, rédigé leur loi salique : c'est la langue que parlait Clovis; c'est celle que l'on parlait à la cour et à l'armée, sous les rois mérovingiens : Charlemagne,
Page 224 - Et uxor tua Elisabeth » Pariet tibi filium,
Page 149 - bi desemo RICHE RECCHEO ni wurti. WELAGA , nu WALTANT Got, quad Hiltibrant,
Page 195 - Spire, et Charles le long des Vosges, par
Page v - pour passer le Rhin, ils parlaient une langue dont les sons n'avaient aucun rapport avec les dialectes alors en usage parmi les peuples qui habitaient les rives de la Seine, du Rhône et de la Loire. C'est dans cette langue
Page 90 - intelligible aux habitants des Gaules, qu'il avait soumis à ses armes ; mais en faveur des Francs, qui n'avaient point l'usage du latin, il fit conserver en leur langue les formules principales du texte , auquel les rois Childebert et
Page 272 - à Paris, un manuscrit anglo-saxon in-fol. max., qui renferme une Paraphrase des Psaumes de David. Il appartenait autrefois à Jean, Duc de Berry : je pense qu'il venait antérieurement des ducs de Normandie
Page 89 - On croit généralement qu'elle fut publiée vers l'an 420 de notre ère, lorsque les Francs occupaient encore la rive droite du Rhin, les bords

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