Langue et littérature des anciens FrancsL. G. Michaud, 1814 - 284 pages |
Autres éditions - Tout afficher
Expressions et termes fréquents
Alibrandur Antiquités auur Bamberg biblio bibliothèque royale Bouquet brandur carlovingienne chapitre Charlemagne Christ chunna cique cuning dhazs Dieu Dom Bouquet drohtines Duchesne duruh Eckhart Eginhard ejus endi erat Évangiles fils fona fragment Fulde futur simple geminnod Germanie Godes Gotes hæc hafda Hickès Hilldibrandur Hiltibraht Hiltibrant hommes in-fol indi ipse j'ai keuuisso l'allittération langue francique langue romane latin Leptine libes littérature francique loi salique Lothaire Louis Mabillon mannum manuscrit manuscrits mérovingienne Minnan Minnesinger minnoda nalles neuvième siècle Notker obar OSTAR Otfride Palthénius père peuple PLURIEL prince pronom publié quæ rime rois Rostgaard savant scal Schilter scolde Scone Seigneur siin sine sint sunt Tatien texte thar thaz themo themu thene théotisque ther thero theru Thesaurus Thidrikur thie thin thiu Thuo trouve truhtin unsih uuar uuard uuas uuer uuerold uuerthan uuerthe uuesan uuid uuili uuir uzzan verbes version mérovingienne Wolfenbüttel
Fréquemment cités
Page 128 - daz der sin ñamo kauuihit uuerda, der eo uuas uuih enti eo ist; uzzan des dikkames, daz der sin ñamo in uns kauuihit uuerda,. enti de
Page 252 - ne stuont. So er teta. Er cham dar ana, er cham an den breiten uueg, ter ze hello
Page v - appelée par leurs auteurs, francique ou francisque, qu'ils avaient, avant de quitter leurs anciennes demeures, rédigé leur loi salique : c'est la langue que parlait Clovis; c'est celle que l'on parlait à la cour et à l'armée, sous les rois mérovingiens : Charlemagne,
Page 149 - bi desemo RICHE RECCHEO ni wurti. WELAGA , nu WALTANT Got, quad Hiltibrant,
Page v - pour passer le Rhin, ils parlaient une langue dont les sons n'avaient aucun rapport avec les dialectes alors en usage parmi les peuples qui habitaient les rives de la Seine, du Rhône et de la Loire. C'est dans cette langue
Page 90 - intelligible aux habitants des Gaules, qu'il avait soumis à ses armes ; mais en faveur des Francs, qui n'avaient point l'usage du latin, il fit conserver en leur langue les formules principales du texte , auquel les rois Childebert et
Page 272 - à Paris, un manuscrit anglo-saxon in-fol. max., qui renferme une Paraphrase des Psaumes de David. Il appartenait autrefois à Jean, Duc de Berry : je pense qu'il venait antérieurement des ducs de Normandie
Page 89 - On croit généralement qu'elle fut publiée vers l'an 420 de notre ère, lorsque les Francs occupaient encore la rive droite du Rhin, les bords