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TABLE

DES MATIÈRES.

Contenues dans L'ESPRIT DES LOIS et dans la DEFENSE.

DES

TABLE

MATIÈRES

Contenues dans L'ESPRIT DES LOIS et dans
la DEFENSE.

ABBATES. Pourquoi les rois de France en abandonnèrent
les élections, tome III, page 379.

Abbés. Menoient autrefois leurs vassaux à la guerre,

III, 295. Pourquoi leurs vassaux n'étoient pas menés

à la guerre par le comte, III, 299.

Abondance et rareté de l'or et de l'argent relatives, abon-

dance et rareté réelles, II, 342, 343.

Abyssins. Les suites qui résultent de la rigueur de leur

carême, prouvent que la religion devroit ne pas ôter

la défense naturelle par l'austérité des pratiques de pure

discipline, III, 69.

Accusateurs. Précautions que l'on doit prendre pour ga-
rantir les citoyens de leurs calomnies: exemples tirés
d'Athènes et de Rome, II, 28, 29. S'ils accusent de-
vant le prince et non devant les magistrats, c'est une
preuve de calomnie. Exception à cette règle, II, 35.
Du temps des combats judiciaires, plusieurs ne

pouvoient pas se battre contre un seul accusé, III, 170. Quand étoient obligés de combattre pour leurs témoins provoqués par l'accusé, III, 177.

Accusations. A qui la faculté de les porter doit être con

fiée, suivant la nature du gouvernement, I, 230. II, 23. Celles de magie et d'hérésie doivent être poursuivies avec une grande circonspection. Preuves d'absurdités et de cruautés qui peuvent résulter de la poursuite indiscrète de ces accusations. Combien on doit se défier de celles qui sont fondées sur la haine publique, II, 8, 9. L'équité naturelle demande que le degré de preuves soit proportionné à la grandeur de l'accusation, IV, 5—15. Accusation publique. Ce que c'est. Précautions nécessaires pour en prévenir les abus dans un état populaire, II, 29. Quand et pourquoi elle cessa d'avoir lieu à Rome contre l'adultère, I, 272.

Accusés. Doivent, dans les grandes accusations, pouvoir, concurremment avec la loi, se choisir leurs juges, I, 355. Combien il faut de témoins et de voix pour leur condamnation, II, 4. Pouvoient, à Rome et à Athènes, se retirer avant le jugement, II, 30. C'est une chose injuste de condamner celui qui nie, et de sauver celui qui avoue, III, 75. Comment se justifient sous les lois saliques et autres lois barbares, III, 145 et suivantes. Du temps des combats judiciaires, un seul ne pouvoit pas se battre contre plusieurs accusateurs, III, 170. Ne produisent point de témoins en France; ils en produisent en Angleterre: de là vient qu'en France les faux témoins sont punis de mort; en Angleterre non, III, 242.

Achat (Commerce d'), II, 331.

Achim. Pourquoi tout le monde y cherche à se vendre, II, 98.

Acilia (la loi). Les circonstances dans lesquelles cette loi fut rendue, en font une des plus sages qu'il y ait,

I, 241. Acquisitions des gens de main-morte. Ce seroit une imbé cillité que de soutenir qu'on ne doit pas les borner, III, 42, 43. Voyez Clergé, Monastères.

Actions des hommes. Ce qui les fait estimer dans une monarchie, I, 144. Causes des grandes actions des an

ciens, 1, 150.

Actions judiciaires. Pourquoi introduites à Rome et dans la Grèce, I, 222.

Actions de bonne foi. Pourquoi introduites à Rome par les préteurs, et admises en France, I, 222.

Actions, tant civiles que criminelles. Étoient autrefois décidées par la voie du combat judiciaire, III, 161 et suivantes.

Adalingues. Avoient chez les Germains la plus forte composition, III, 306.

ADELHARD. C'est ce favori de Louis le Débonnaire qui

a perdu ce prince par les dissipations qu'il lui a fait faire, III, 394.

Adoption. Pernicieuse dans une aristocratie, I, 184., Se faisoit chez les Germains par les armes, II, 185. Adulation. Comment l'honneur l'autorise dans une monarchie, I, 145.

Adultère. Combien il est utile que l'accusation en soit publique dans une démocratie, I, 176. Étoit soumis à Rome à une accusation publique: pourquoi, I, 271. Quand et pourquoi il n'y fut plus soumis à Rome, I, 271, 272. Auguste et Tibère n'infligèrent que dans certains cas les peines prononcées par leurs propres lois contre ce crime, I, 275. Ce crime se multiplie en raison de la diminution des mariages, II, 129. Il est

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