Aux Soissonnais. ur C'est par sentiment autant que par que je vous fais hommage de cette Histoire de Soissons. C'est à C'est à vous, devoir en effet, c'est au Conseil Municipal de votre ville que je dois la douce satisfaction d'avoir 1 jour (*). La Commission Académique, en jugeant cet ouvrage digne pu la mettre au au me de participer prix fonde par M. Maréchal, faveur de la meilleure Histoire de Soissons, et en émettant le en (*) Le tribunal ayant réformé la décision de la Commission Académique, juge du concours, qui accordait à M. LeRoux une part du prix fondé par Mme Maréchal, à la condition de faire imprimer son manuscrit, une souscription fut ouverte à Soissons, pour fournir aux frais de cette impression. Deux cent cinquante personnes se firent inscrire, et le Conseil Municipal s'y associa pour cent exemplaires. voeu vous de le voir lure à l'impression a, par cela même, reconnu qu'il méritait de étre dédie: il ne me fallait rien moins l'appui d'un suffrage aussi honorable pour que l'offrir. Le souvenir m encourager volud vous avez accueilli la promesse de sa prochaine publication, me persuade que vous recevrez avec le même sentiment ce témoignage de ma profonde reconnaissance envers vous. Le Poux. J'étais en résidence à Soissons, depuis cinq années environ, lorsque parut l'ordonnance royale du 1" août 1821, dont les dispositions rangeaient cette ville au nombre des places de guerre. Je conçus alors le dessein de consacrer mes instants de loisir à réunir, pour les archives du Génie, tout ce qui concerne la partie militaire de son histoire. Ce ne fut guère qu'en 1824 que je pus me livrer à des recherches suivies et vraiment sérieuses, dans lesquelles j'ai été singulièrement favorisé par l'exécution de grands travaux arrêtés pour ses fortifications. |