Histoire de la ville de SoissonsE. Fossé Darcosse, 1839 |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-5 sur 90
Page 193
... bourgeois des villes , tels que les marchands et les artisans , formaient la troisième classe . Les Francs conservèrent la division du terri- toire par cités ou diocèses , qui prirent , dans la suite , le nom de comtés ou de provinces ...
... bourgeois des villes , tels que les marchands et les artisans , formaient la troisième classe . Les Francs conservèrent la division du terri- toire par cités ou diocèses , qui prirent , dans la suite , le nom de comtés ou de provinces ...
Page 373
... bourgeois de la ville , quelque dure qu'elle fût , était bien à préférer à celle des habitants de la campagne . Ceux - ci , attachés à la glèbe , étaient comptés par tête , échangés , donnés et vendus comme le bétail de la terre qu'ils ...
... bourgeois de la ville , quelque dure qu'elle fût , était bien à préférer à celle des habitants de la campagne . Ceux - ci , attachés à la glèbe , étaient comptés par tête , échangés , donnés et vendus comme le bétail de la terre qu'ils ...
Page 374
... bourgeois . Lorsque les seigneurs gouvernaient se- lon leur bon plaisir , et que leur administration n'avait qu'un seul et unique but , celui de grossir sans cesse leurs revenus , toutes les marchandises et les denrées devaient être ...
... bourgeois . Lorsque les seigneurs gouvernaient se- lon leur bon plaisir , et que leur administration n'avait qu'un seul et unique but , celui de grossir sans cesse leurs revenus , toutes les marchandises et les denrées devaient être ...
Page 403
... bourgeois , épui- sés de patience , cherchèrent enfin , dans leur dé- sespoir , des garanties pour la sûreté de leurs per- sonnes et la conservation de leurs biens . Le sou- venir des anciennes institutions municipales n'é- tait pas ...
... bourgeois , épui- sés de patience , cherchèrent enfin , dans leur dé- sespoir , des garanties pour la sûreté de leurs per- sonnes et la conservation de leurs biens . Le sou- venir des anciennes institutions municipales n'é- tait pas ...
Page 404
... bourgeois y possédait sa maison forte , comme << un baron du plat pays ; et tout fils de bourgeois , << devenait , s'il le voulait , chevalier ; joûtait et tournoyait comme un noble . » Mais ces belles contrées du midi , sur lesquelles ...
... bourgeois y possédait sa maison forte , comme << un baron du plat pays ; et tout fils de bourgeois , << devenait , s'il le voulait , chevalier ; joûtait et tournoyait comme un noble . » Mais ces belles contrées du midi , sur lesquelles ...
Table des matières
68 | |
73 | |
79 | |
87 | |
103 | |
113 | |
129 | |
138 | |
148 | |
160 | |
172 | |
281 | |
307 | |
315 | |
321 | |
331 | |
353 | |
403 | |
434 | |
441 | |
502 | |
505 | |
Expressions et termes fréquents
abbaye armée armes assez assiégés avaient bâtiments Belleu bour bourgeois Bournonville Braisne Calvinistes cathédrale chanoines chapitre Charles Charles VII château Chilpéric Clotaire Clotaire Ier Clovis commune compagnie Compiègne comte de Ligny comte de Soissons concile construction côté Coucy dauphin défense devait donner duc de Bourgogne duc de Mayenne édifices église enceinte Enguerrand établi évêques faction faubourg St-Vaast franchises fût garnison Gaules geois gouvernement guerre habitants IXe siècle juridiction l'abbaye de Notre-Dame l'abbaye de St-Médard l'abbé l'Aisne l'église l'enceinte l'évêque de Soissons Laon Louis Louis VII magistrats maison mée ment mètres monastère mort municipales muraille murs n'avaient nombre nord Noviodunum peuple place pont population porte pouvait prélat presque prévôt prince province religieuses reliques renfermait rent reste Rheims rivière Romains royaume s'étaient saint saint Crépin seigneurs seul siècle siége sieur située Sois St-Jean des Vignes St-Pierre St-Remy Suessions suivant Syagrius tion tour trouvait Vermandois
Fréquemment cités
Page 362 - L'Assemblée nationale décrète , 1° que tous les biens ecclésiastiques sont à la disposition de la nation , à la charge de pourvoir , d'une manière convenable , aux frais du culte, à l'entretien de ses ministres et au soulagement des pauvres...
Page 391 - J'ai un enfant que j'ai adopté , je lui ai inculqué les principes d'une liberté illimitée ; quand il sera grand , il n'oubliera pas la mort injuste de son pèreadoptif; il poignardera ceux qui nous auront fait mourir ; il ne faut pour cela qu'un couteau de deux sous.
Page 69 - entrait pour plus de moitié dans sa masse , « ayant été à la longue miné , consumé par le « temps, ils durent la restaurer; ce fut alors « qu'ils lui substituèrent une muraille en pier« res ; et comme ce remplacement ne fut peut« être entrepris que partiellement et à des « époques plus ou moins éloignées les unes des « autres , à mesure que des portions de la « vieille enceinte tombaient en ruines, il s'en« suivit que la nouvelle muraille se trouva « complétée et substituée...
Page 413 - Si un étranger apporte son pain ou son vin dans la ville pour les y mettre en sûreté, et qu'ensuite un différend survienne entre son seigneur et les hommes de cette commune, il aura quinze jours pour vendre son pain et son vin dans la ville et emporter l'argent , à moins qu'il n'ait forfait ou ne soit complice de quelque forfaiture.
Page 412 - Si l'évéquc de Soissons amène par mégarde dans la ville un homme qui ait forfait envers un membre de cette commune, après qu'on lui aura remontré que c'est l'un des ennemis de la commune, il pourra l'emmener cette fois ; mais ne le ramènera en aucune manière, si ce n'est avec l'aveu de ceux qui ont charge de maintenir la commune.
Page 415 - Si quelqu'un de la commune a forfait en quelque chose et refuse de donner satisfaction devant les jurés, les hommes de la commune en feront justice. « Les membres de cette commune prendront pour épouses les femmes qu'ils voudront, après...
Page 391 - Ensuite parlant à Hébert qui lui dit qu'il croyait la liberté perdue , il lui répondit : « Tu ne sais ce que tu dis ; la liberté ne peut maintenant se détruire ; le parti qui nous envoie à la mort y marchera à son tour , et cela ne sera pas long.
Page 413 - Nul homme de la commune ne devra prêter ni créancer son argent aux ennemis de la commune tant qu'il y aura guerre avec eux, car s'il le fait il sera parjure; et si quelqu'un est convaincu de leur avoir prêté ou créance quoi que ce soit, justice sera faite de lui selon que le majeur et les pairs en décideront.
Page 411 - Et si satisfaction leur est faite de l'ennemi de la commune selon leur délibération, ce sera assez : mais si le seigneur refuse satisfaction, ils feront justice eux-mêmes selon leur délibération sur ses biens ou ses hommes.
Page 323 - ... et du grenier-à-sel; un, dans le corps des officiers de la maréchaussée; deux, dans l'ordre des avocats; un, dans la communauté des notaires; un, dans celle des procureurs; quatre, dans le corps des marchands ; quatre, dans chacune des quatre paroisses de Saint-Léger, de Saint-Waast, de SaintQuentin et de Notre-Dame-des-Vignes; un seul, dans celles deSaint-Remy, de Saint-Martin, de SaintJacques , de Saint-Germain et de Saint-Pierre-leV\eu\,/oïntes ensemblecommenen formant qu'une.