...chacun de notre cote, tout bas, la meme page. Avant de tourner le feuillet, elle etait toujours obligee de m'attendre. Mon esprit allait moins vite que le...sien. — Avez-vous fini ? me disaitelle, que j'avais a peine commence. ' Cependant nos tetes se touchaient, nos cheveux se melaient, nos haleines peu a...

...hasard, je me rapprochai d'elle, elle appuya son épaule à mon épaule , et nous nous mîmes à li'e chacun de notre côté , tout bas , la même page....peine commencé. Cependant nos têtes se touchaient, noi cheveux se mêlaient ; nos haleines p eu à peu se rapprochèrent, et nos bouches Mont à coup....

...d'elle, elle appuya son épaule à mon épaule, et nous nous mimes à lire chacun de noire côlé, lout bas, la même page. Avant de tourner le feuillet,...toujours obligée de m'attendre. Mon esprit allait moins vile que le sien. — Avez-vous uni? me disait-elle, que j'avais à peine commencé. Cependant nos...

...mîmes à lire chacun de « notre côté, tout bas, la même page. Avant de tourner le feuil« let, elle était toujours obligée de m'attendre : mon...que « j'avais à peine commencé. « Cependant nos tètes se touchaient, nos cheveux se mêlaient , « nos haleines peu à peu se rapprochèrent, et nos...

...second des foyages de Spallanzani. « J'ouvris au hasard, je me rapprochai d'elle, elle appuya son « épaule à mon épaule, et nous nous mîmes à lire...côté, tout bas, la même page. Avant de tourner le feuil« let, elle était toujours obligée de m'attendre : mon esprit allait « moins vite que le sien....

...second des Voyages de Spallanzani. « J'ouvris au hasard, je me rapprochai d'elle, elle appuya son « épaule à mon épaule, et nous nous mîmes à lire...côté, tout bas, la même page. Avant de tourner le feuil« let, elle était toujours obligée de m'attendre : mon esprit allait « moins vite que le sien....

...tome second des Voyages de Spallanzani. J'ouvris au hasard, je me rapprochai d'elle, elle appuya son épaule à mon épaule, et nous nous mîmes à lire...m'attendre. Mon esprit allait moins vite que le sien. Cependant nos têtes se touchaient, nos cheveux se mêlaient : nos haleines peu à peu se rapprochèrent,...

...J'ouvris au hasard, je me rapprochai d'elle, elle appuya son épaule à mon épaule, et nous nous mimes à lire chacun de notre côté, tout bas, la même...disait-elle, que j'avais à peine commencé. Cependant nos tètes se touchaient, nos cheveux se mêlaient, nos haleines peu à peu se rapprochèrent, et nos bouches...

...« des prunelles noires à travers des cils noirs », le tome second des Voyage* de Spallanzani. « Avant de tourner le feuillet, elle était toujours...fini? me disait-elle, que j'avais à peine commencé. » Bientôt, et dés l'enfance encore, cet autre amour qui a été le grand amour de sa vie, allait...

...et nous nous mîmes à lire chacun de notre côté, tout bas, la même page. Avant de tourner le 5 feuillet, elle était toujours obligée de m'attendre....commencé. Cependant nos têtes se touchaient, nos cheveux 10 se mêlaient, nos haleines peu à peu se rapprochèrent, et nos bouches tout à coup. Quand nous...