Histoire de l'Académie royale des sciences et des belles-lettres de Berlin: avec les mémoires pour la même année, tirez des registres de cette Academie, Volume 4Ambroise Haude, 1750 |
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Histoire de l'Académie royale des sciences et des belles-lettres ..., Volume 1 Deutsche Akademie der Wissenschaften zu Berlin Affichage du livre entier - 1746 |
Histoire de l'Académie royale des sciences et des belles-lettres ..., Volume 13 Deutsche Akademie der Wissenschaften zu Berlin Affichage du livre entier - 1759 |
Histoire de l'Académie royale des sciences et des belles-lettres ..., Volume 11 Deutsche Akademie der Wissenschaften zu Berlin Affichage du livre entier - 1757 |
Expressions et termes fréquents
1+pp acceleratrice affez aifément ainfi aprés arcs de fections auffi auroit ausfi avoient avoit Brandebourg c'eft c'eſt Carneade caufe chofes Clitomachus conféquent confervation confiderable conftante corde corps courbe derniere déterminer difference differentielle diftance Diogene Laërce efpece efprit égale enfuite équation eſt étoient étoit fable fans fe trouve feconde fections coniques felon femblable fens fentiment fera feroit fervir feulement fiel de verre fimple foient foit follicité folution fomme fonction quelconque font force vive formule fosfile fous fouvent Frederic frottement fuivant fujet fuppofe furface l'abfciffe l'anneau l'efprit l'équation l'Ofteocolle ligne Lune Lunule maffe fluide maniere Memoires de l'Academie methode minimum mouvement n'eft nombre entier Obfervations paffer paroit Philofophes plufieurs pofant poffible préfent premiere Prince principe Proclus propofée propofition puiffe quantité d'action racines raifon réfraction refte Rügen Soleil tang tems trés troifieme valeur verité
Fréquemment cités
Page 378 - Charlottenbourg étoit le rendez -vous des gens de goût; toutes fortes de divertiflemens & de fêtes variées à l'infini rendoient ce féjour délicieux & cette Cour brillante. . SOPHIE CHARLOTTE avoit l'ame forte; fa Religion étoit épurée, fon humeur douce, fon efprit orné de la lefture de tous les bons Livres François & Italiens.
Page 406 - L'aclivité infatigable de ce grand Prince donna à fa Patrie tous les Arts utiles; il n'eut pas le tems d'y ajouter les agréables.
Page 393 - ... eft une marque de fon abondance , mais en même tems de fon économie : car , quoique tant de nations innombrables qui couvrent la terre aient chacune leur génie différent , il femble cependant que. certains grands traits...
Page 405 - Quelques-uns de ces réfugiés se firent marchands, et débitèrent en détail l'industrie des autres. Berlin eut des orfèvres, des bijoutiers, des horlogers, des sculpteurs ; et les Français qui s'établirent dans le plat pays y cultivèrent le tabac, et firent venir des fruits et des légumes excellents dans les contrées sablonneuses, qui, par leurs soins, devinrent des potagers admirables.
Page 383 - Roi qui l'empêchoit d'agir, la mifere qui leur ôtoit les forces pour combattre , un corps détaché qui s'égara le jour de cette Bataille décifive, le nombre de leurs Ennemis, & le tems qu'ils avoient eu d'élever des Redoutes & de difpofer avantageufement leurs troupes: enfin les Suédois furent battus, & perdirent, par un inftant décifif & malheureux, le fruit de neuf années de travaux & de tant de prodiges de valeur.
Page 368 - Prince vain dans les projets de fa grandeur. Heureux font les Princes, dont les oreilles moins délicates aiment la vérité , lors même qu'elle eft prodiguée par des bouches indifcretes! mais c'eft un effort de vertu dont peu d'hommes font capables. A la faveur de Danckelmann fuccéda un.
Page 413 - Public n'empêcha pas beaucoup d'artifans de fe perfeftionner; nos carofles, nos galons, nos velours & nos ouvrages d'orfévrerie fe répandirent par toute l'Allemagne. MAIS ce qu'il y eut de déplorable, ce fut que pendant qu'on faifoit des arrangemens fi utiles & fi grands, on laiflà tomber dans une décadence entiere l'Académie des Sciences, les Univerfités, les Arts Libéraux & le Commerce.
Page 427 - ... dans fon origine la fainteté de fa morale ; mais la pente du cœur humain à la corruption en pervertit bientôt l'ufage : ainfi les fources les plus pures du bien font devenues des principes de toutes fortes de maux pour les hommes. Cette religion, qui enfeignoit l'humilité , la charité & la patience , s'établit par le fer & par le feu. Les prêtres des autels , dont la fainteté & la pauvreté devoient être le partage , menerent une vie fcandaleufe ; ils acquirent des richefles ; ils devinrent...
Page 416 - Commerce , & elles le pouffèrent & le foutinrent conftamment, reconnoiifant que c'étoit le principe de leur grandeur, & le foutien de leur Etat. Continuons encore cet examen pour un moment. En touchant aux Loix fondamentales des Républiques...
Page 375 - I. menaçoit de retirer fes troupes de la Flandre , fi on ne lui rendoit juftice. Cette menace perfuada aux Hollandois que fes droits étoient légitimes. On parvint cependant à régler un accord provifionel , qui partageoit l'héritage en deux parties égales.