Annales dramatiques: ou, Dictionnaire général des théȧtres ...Hénée, chez Babault, 1810 |
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... l'art de cette célèbre magicienne est ridicule ailleurs qu'à l'opéra . Nous ne supportons le pouvoir magique que dans ce genre de drame , et dans les farces et les parades . MAGIE DE L'AMOUR ( la ) , pastorale en un acte , en vers ...
... l'art de cette célèbre magicienne est ridicule ailleurs qu'à l'opéra . Nous ne supportons le pouvoir magique que dans ce genre de drame , et dans les farces et les parades . MAGIE DE L'AMOUR ( la ) , pastorale en un acte , en vers ...
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... l'étonnement d'Al- phonse augmente à l'arrivée de Léonce , qui lui rappelle tous les traits de Léonor : cette dernière , continuant toujours son rôle d'amant favori d'Elvire ... l'Amour , A peine je te vis ; ma raison allarmée Me MAG.
... l'étonnement d'Al- phonse augmente à l'arrivée de Léonce , qui lui rappelle tous les traits de Léonor : cette dernière , continuant toujours son rôle d'amant favori d'Elvire ... l'Amour , A peine je te vis ; ma raison allarmée Me MAG.
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... l'art de la Thessalie N'est pas ce qui fait ma langueur . Que j'étais simple , hélas ! d'accuser la magie , Du trouble secret de mon cœur ! L'Amour , lui seul , ma rendu tendre ; Et ce n'est qu'en tremblant que j'ose te l'apprendre : Je ...
... l'art de la Thessalie N'est pas ce qui fait ma langueur . Que j'étais simple , hélas ! d'accuser la magie , Du trouble secret de mon cœur ! L'Amour , lui seul , ma rendu tendre ; Et ce n'est qu'en tremblant que j'ose te l'apprendre : Je ...
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... l'honneur d'être apôtre , Prêtre , filou , dévot , brigand , Faites - en l'aumônier du vôtre . MAHOMET II , opéra en trois actes , par M. Saulnier , musique de M. Jadin , à l'Opéra , 1803 . Mahomet II ressent un amour violent pour ...
... l'honneur d'être apôtre , Prêtre , filou , dévot , brigand , Faites - en l'aumônier du vôtre . MAHOMET II , opéra en trois actes , par M. Saulnier , musique de M. Jadin , à l'Opéra , 1803 . Mahomet II ressent un amour violent pour ...
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... amour ; » je ne suis pas de ces insensés qui , comme j'en connais , se » livrent avec passion à des chimères , qu ... l'utile . Tout ce qui n'y conduit pas » doit être rejeté , fut - ce même l'humanité et la vertu ! ... Oui , » je prise ...
... amour ; » je ne suis pas de ces insensés qui , comme j'en connais , se » livrent avec passion à des chimères , qu ... l'utile . Tout ce qui n'y conduit pas » doit être rejeté , fut - ce même l'humanité et la vertu ! ... Oui , » je prise ...
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Annales dramatiques: ou, Dictionnaire général des théâtres .. B. Babault Affichage du livre entier - 1810 |
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Expressions et termes fréquents
aime amans amant amour apprend assez auteur dramatique Beaufils bientôt caractère charmes Cidalise cinq actes Cléon cœur comédie comédie en cinq comédiens comique comte comtesse consent Corneille Créüse crime croit dénouement dire doit donner Dorval drame enfans enfin épouse époux femme fille fils frère Frontin goût Grecs Hérode intitulée Italiens Jason jouer Julie l'abbé l'amour l'auteur l'épouse l'esprit l'intrigue l'Opéra laisse Léandre lettre long-tems Lucile lui-même madame maîtresse mari mariage Mariamne marquis Masques Médée Méléagre Melpomène Ménandre MÉNECHMES mérite Mérope Misantrope Molière Momus Mondory Montfleury Monvel mort musique opéra opéra-comique ouvrage paraît passer passion père personnage Picolette pièce Pierre Corneille plaisir Plaute poëte Poliphonte premier prince princesse prose raison Regnard reine représentation reproches ridicule rival rôle scène sent sentimens seul sœur sort style succès sujet talent tems Térence théâtre théâtre Feydeau théâtre Italien théâtre Louvois tragédie tragédie en cinq traits trouve valet Vaudeville venger veut vient Voltaire
Fréquemment cités
Page 309 - II n'était ni trop gras ni trop maigre; il avait la taille plus grande que petite, le port noble, la jambe belle; il marchait gravement, avait l'air très-sérieux, le nez gros, la bouche grande, les lèvres épaisses, le teint brun, les sourcils noirs et forts, et les divers mouvements qu'il leur donnait lui rendaient la physionomie extrêmement comique.
Page 251 - La métaphore est une figure par laquelle on transporte, pour ainsi dire, la signification propre d'un mot à une autre signification qui ne lui convient qu'en vertu d'une comparaison qui est dans l'esprit.
Page 42 - Eh ! messieurs, leur dit-il, épargnez du moins un pauvre vieillard de soixante-quinze ans, qui n'a plus que quelques jours à vivre.
Page 309 - C'est toi qui, par tes momeries, A réprimé l'orgueil du bourgeois arrogant. Ta muse, en jouant l'hypocrite, A redressé les faux dévots; La précieuse, à tes bons mots, A reconnu son faux mérite ; L'homme ennemi du genre humain, Le campagnard, qui tout admire, N'ont pas lu tes écrits en vain : Tous deux se sont instruits, en ne pensant qu'à rire.
Page 358 - Le médecin respondit en son art bien avoir remèdes propres pour faire parler les femmes, n'en avoir pour les faire taire. Remède unique estre surdité du mary, contre cestuy interminable parlement de femme.
Page 310 - Vous avez un médecin, dit le roi à Molière, que vous fait-il? — Sire, répondit Molière, nous causons ensemble; il m'ordonne des remèdes, je ne les fais point, et je guéris.
Page 43 - ... remplir le parterre, et ôter injustement à la troupe le gain qu'elle devait faire; qu'il ne croyait pas que des gentilshommes qui avaient l'honneur de servir le roi , dussent favoriser ces misérables contre les comédiens de Sa Majesté ; que d'entrer à la comédie sans payer...
Page 330 - Beaucoup de lecteurs réprouvent ce long monologue. Il n'est pas naturel qu'on fasse ainsi tout seul l'histoire de ses amours, qu'on dise, Je me suis tu cinq ans; on m'a imposé silence; j'ai couvert mon amour d'un voile d'amitié. On pardonne un monologue qui est un combat du cœur, mais non une récapitulation historique.
Page 309 - Qui mît à les polir sa gloire et son étude. Mais, Molière, à ta gloire il ne manquerait rien, Si, parmi les défauts que tu peignis si bien, Tu les avais repris de leur ingratitude.
Page 218 - ... et l'harmonie n'était qu'un contre-point assez grossier. En général, les tragédies dans lesquelles la musique interrompt la déclamation font rarement un grand effet, parce que l'une étouffe l'autre. Si la pièce est intéressante, on est fâché de voir cet intérêt détruit par des instruments qui détournent toute l'attention.