-- - - - - -- - - -- 433 Pisans, qui étaient pleins de zèle pour le Pape. 432 CXLI. A Humbert, abbé d'Igny. · Il le blåme - ibid. CXLIII. A ses religieux de Clairvaux. s'excuse de sa longue absence, lourde autant et plus encore pour lui que pour les siens; en atten- dant, il leur rappelle brièvement leurs devoirs. 434 CXLIV. Aux mêmes. 11 leur expose la peine que lui cause sa longue absence de sa chère maison de Clairvaux, et il témoigne la plus tendre affection pour ses enfants, et son désir de les voir; il leur fait connaitre cependant que sa consolation est dans ses travaux pour l'Église. 435 CXLV. Aux moines rassemblés à Citeaux. — II permis de tenir sa promesse de visiter la Char- treuse; il lui envoie les sermons sur le Cantique que Bernard de Portes lui avait demandés. LETTRE CLV. Au seigneur pape Innocent, pour le même Bernard, quand celui-ci fut élu. - Que Ber- nard de Portes, destiné à un épiscopat de Lom- bardie, est certainement digne d'un tel honneur, mais qu'il convient mal pour ce pays, et qu'il vaudrait mieux lui réserver un autre siége. CLVI. Au même, pour les clercs d'Orléans. CXVII. A Haimeric, pour les mêmes. CLVIII. Au seigneur pape Innocent sur le meurtre de maitre Thomas, prieur de Saint-Victor de Paris. A son très-tendre père et seigneur, à Innocent, Souverain-Pontife, Bernard, indigne réjouit de ce que ses peines pour le former n'aient point été inutiles; il dit cependant que l'heureux succès en doit être attribué à Dieu. ibid. CXLVII. A Pierre, abbé de Cluny. - Pierre avait envoyé, à Bernard, Gébouin, archidiacre de Troyes, pour le consoler des nombreux et difficiles travaux qu'il accomplissait laborieuse- ment dans l'intérêt de l'Église. Bernard fait avec beaucoup de douceur l'éloge de sa bonté, et lui annonce que, le schisme se trouvant éteint, l'Église sera dans un état plus heureux. CXLVIII. Au même. Il répond brièvement à CLXIII. A Jean de Crème, cardinal-prétre. CLXIV. Exposé de l'affaire de l'église de Langres, au seigneur pape Innocent. - S. Bernard se plaint de ce qu'on ait tenté d'élire l'évêque de Langres par artifice et contre la CLXV. A Falcon, doyen, et à Guy, trésorier de CLXVII. Au méine. Pour la même affaire. CLXVIII. Aux évêques et aux cardinaux de la cour de Rouen. Sur le même sujet. CLXIX. Au seigneur pape Innocent. Sur le même sujet. Pourquoi il a retenu les clercs de l'église de Langres, appelés à Rome ; à qui il fant confier la charge de faire l'élection. CLXX. A Louis le Jeune, roi des Français. Il s'efforce de défendre l'élection, à l'évêché de Langres, de Godefroid, son prieur, à laquelle CLXXIV. Aux Chanoines de Lyon, sur la Con- ception de sainte Marie. Que la fête de la Conception est nouvelle, et ne s'appuie sur aucun fondement légitime; que d'ailleurs elle n'aurait pas dû être instituée sans qu'on eût consulté le Siége apostolique, auquel saint Ber- CLXXV. Au patriarche de Jérusalem. Il ré- pond amicalement à ses lettres, et il lui recom- mande les chevaliers du Temple. 458 son dévouement personnel envers Innocent, - - - - Il recom- ibid. 459 460 462 ibid. 463 Il le reprend vivement pour avoir eu la dureté de - - - peut pas envoyer au Pape les moines que celui- CLXXXVII. Aux évêques qui devaient être con- voqués à Sens contre Pierre Abeilard. — (1 exhorte les évêques à prendre courageusement CLXXXVIII. Aux évêques et aux cardinaux de la cour de Rome. Sur le même sujet. CCIII. A Atton, évêque de Troyes, et à son clergé. Il les engage à détourner du ma- riage et de la profession des armes, Anselle, CCIV. A l'abbé de Saint-Albin. Il lui exprime son affection pour lui; que s'il ne leur est pas permis de se voir dans la vie présente, le plaisir leur en est réservé pour la vie future. CCV. A l'évêque de Rochester. Que l'évêque commande l'archevêque de Reims. LETTRE CCXI. Au même. - Il lui recommande la cause CCXIV. Au même. Il lui recommande l'évêque de CCXV. Au même, en faveur de l'évêque et du - - doyen d'Auxerre. - - - - Au CCXXIII. A Joslain, évêque de Soissons. I se justifie auprès de cet évêque qui lui avait écrit en mettant en tête de sa lettre cette salu- tation: « Le salut dans le Seigneur et non l'es- prit de blasphème. » Il lui demande néanmoins plus de zèle pour venger les injures faites au CCXXIV. A Etienne, évêque de Palestine. - Il lui expose les méfaits du roi Louis et son 483 apporte à poursuivre ses injustes entreprises; et ils déplorent que leurs efforts pour rétablir la paix soient inutiles, au grand dommage du LETTRE CCXXVII. A l'évêque de Soissons.- Il implore avec beaucoup de sollicitude et d'ardeur l'assis- CCXXVIII. A Pierre, abbé de Cluny, qui se plaignait que saint Bernard ne lui répondit pas. ibid. CCXXIX. Pierre le Vénérable à l'abbé Ber- nard. 11 répond avec une grande bonté à la lettre de saint Bernard, et il lui expose les causes de division qui existent entre les religieux CCXXX. Aux trois évêques d'Ostie, de Frascati et de Palestrina. Il leur rappelle leur devoir CCXXXI. Aux mêmes, en faveur de l'abbé de Lagny. Il défend cet abbé, certifie son inno- cence et le justifie des accusations portées contre lui. Enfin, il leur demande d'avoir du zèle pour la discipline religieuse. CCXXXII. Aux mêmes, contre l'abbé de Saint- CCXXXIII. A l'abbé Jean de Busay. — Il l'invite avec bienveillance à quitter la solitude dans laquelle il s'était retiré, après avoir abandonné le gouvernement de son monastère. CCXXXIV. A Herbert, abbé de Saint-Etienne de Dijon. Il le prie de pardonner à Jean une lettre trop hardie que celui-ci avait eu le tort CCXXXVII. A toute la cour de Rome, quand on eut choisi l'abbé de Saint-Anastase pour être pape sous de nom d'Eugène. Il s'étonne que Bernard, abbé de Saint-Anastase, ait été tiré du repos et de la solitude pour être chargé du gouvernement de toute l'Église ; il craint qu'un homme accoutumé à une vie paisible et peu exercé à la conduite des affaires, soit au-dessous d'un si grand fardeau; c'est pourquoi il prie les cardinaux de le lui alléger par leur fidèle assis- CCXXXVIII. Première lettre au seigneur pape Eugène. Beri ard exprime ses sentiments de félicitation et de condoléance à Eugène, récem- ment élevé au pontificat; il l'excite à remplir courageusement ses fonctions apostoliques, afin de répondre aux espérances qu'un grand nombre de personnes ont conçues de lui. CCXXXIX. Au même. Il demande instamment la déposition de Guillaume d'York au Pontife, qui seul a le pouvoir de la prononcer. CCXL. A même, au ujet de l'intrus d'York. Il loue le zèle d'Eugène; il veut qu'il ma- nifeste ce zèle en déposant l'archevêque d'York trait d'Henri, successeur de l'hérétique Pierre - - - - -- --- CCXLII. Aux Romains, lorsqu'ils se séparèrent CCXLIV. A Conrad, roi des Romains. 523 524 Il en- - CCXLV. Au seigneur pupe Eugène, pour l'évêque CCXLVIII. II avertit le Souverain - Pontife de CCL. A Bernard, prieur de Portes.· Que des religieux ne doivent pas supporter avec tant CCLI. Au seigneur pape Eugène. Il le prie - 527 528 rendue depuis longtemps par Innocent, contre CCLIV. A Guérin, abbé du monastère des Alpes. I loue le zèle ue cet abbé déployait dans la vieillesse pour réformer son monastère. Il dit CCLV. A Louis, roi des Français. . Il conseille CCLVII. Au même, en fuveur du frère Philippe. 541 CCLVIII. Au même, pour le frère Rualénus. - Il demande qu'on lui renvoie Rualénus qui, par - repousse ses éloges, comme n'en étant pas digne, et il lui en adresse à son tour. CCLXVI. A Suger abbé de Saint-Denys. — II l'en- gage à recevoir la mort avec courage. Il lui ex- prime le désir qu'il a de le voir avant sa mort. CCLXVIII. Au seigneur pape Eugène. Il l'a- vertit d'une promotion indigne qu'il a faite par surprise, et il l'engage à la révoquer. CCLXX. Au même. Il lui écrit dans l'affaire du - 548 549 ibid. 550 CCLXXIV. A Hugues, abbé de Trois-Fontaines, vais. - - ibid. 553 CCLXXIX. Au comte Henri. - ibid. 557 - 558 - prie de recevoir un moine apostat, mais péni- |