Almanach des muses, Volume 39Chez Delalain, 1802 |
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... doit se mêler . e ; Viens , mon banquet t'appelle ; un moment abandonne Ces beaux aspects , ce lieu par tes soins embelli , D'où l'œil découvre au loin le mont de Télégone , Tibur , Esule et Tivoli . Trop souvent le dégoût est né de l ...
... doit se mêler . e ; Viens , mon banquet t'appelle ; un moment abandonne Ces beaux aspects , ce lieu par tes soins embelli , D'où l'œil découvre au loin le mont de Télégone , Tibur , Esule et Tivoli . Trop souvent le dégoût est né de l ...
Page 10
... doit former ta couronne , Ou fleurir près de ton cœur . Myrte , de mon ardeur sincère Vous pouvez seconder les vœux ; Cachez le sein de ma bergère A mes rivaux présomptueux ; Mais , sous le voile du mystère , Courbez - vous souvent à ...
... doit former ta couronne , Ou fleurir près de ton cœur . Myrte , de mon ardeur sincère Vous pouvez seconder les vœux ; Cachez le sein de ma bergère A mes rivaux présomptueux ; Mais , sous le voile du mystère , Courbez - vous souvent à ...
Page 31
... doit , en ce jour , Aux doux présens que vous apprête L'Hymen , d'accord avec l'Amour , Joindre son humble violette . Mais c'est en vain que je regrette De vous voir fêtée à demi ; Comment cueillir quelque fleurette A la barbe de l ...
... doit , en ce jour , Aux doux présens que vous apprête L'Hymen , d'accord avec l'Amour , Joindre son humble violette . Mais c'est en vain que je regrette De vous voir fêtée à demi ; Comment cueillir quelque fleurette A la barbe de l ...
Page 34
... doit exécuter De vendre , avant de subir leur supplice , Leur dépouille mortelle à qui veut l'acheter , Pour quelques pièces de monnoie , La vieille de sa mort , un quidam se vendit ; Et bien content , à ce qu'on dit , Dans la prison ...
... doit exécuter De vendre , avant de subir leur supplice , Leur dépouille mortelle à qui veut l'acheter , Pour quelques pièces de monnoie , La vieille de sa mort , un quidam se vendit ; Et bien content , à ce qu'on dit , Dans la prison ...
Page 41
... Doit de mille plaisirs frapper votre paupière . Grand merci , dit Hylas , le ciel sur ma carrière A versé quelques biens , je dois m'en contenter . Des voluptés qu'ici je vous entends vanter , L'amour de mon épouse est pour moi la ...
... Doit de mille plaisirs frapper votre paupière . Grand merci , dit Hylas , le ciel sur ma carrière A versé quelques biens , je dois m'en contenter . Des voluptés qu'ici je vous entends vanter , L'amour de mon épouse est pour moi la ...
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Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 113 - Thétis, doux alcyons, pleurez ! Elle a vécu, Myrto, la jeune Tarentine ! Un vaisseau la portait aux bords de Camarine : Là, l'hymen, les chansons, les flûtes, lentement Devaient la reconduire au seuil de son amant.
Page 113 - L'enveloppe : étonnée et loin des matelots, Elle crie, elle tombe, elle est au sein des flots. Elle est au sein des flots, la jeune Tarentine ! Son beau corps a roulé sous la vague marine.
Page 266 - Reviens de ton erreur, toi qui veux les flétrir : Sache les respecter autant que les chérir ; Et, si la voix du sang n'est point une chimère, Tombe aux pieds de ce sexe à qui tu dois ta mère.
Page 114 - L'ont au cap du Zéphyr déposé mollement. Puis de loin à grands cris appelant leurs compagnes, Et les Nymphes des bois, des sources, des montagnes, Toutes, frappant leur sein et traînant un long deuil, Répétèrent: «Hélas!» autour de son cercueil. Hélas ! chez ton amant tu n'es point ramenée. Tu n'as point revêtu ta robe d'hyménée. L'or autour de tes bras n'a point serré de nœuds. Les doux parfums n'ont point coulé sur tes cheveux.
Page 57 - L'horreur farouche A ces mots a glacé leur bouche ; Leur silence peint ses malheurs : II lève en frémissant la vue ; Et sur Lisbonne disparue II égare ses yeux en pleurs. Les cris , le désespoir, les larmes D'un peuple cher et malheureux Repassaient avec les alarmes Dans son cœur tendre et généreux. A la mort la nuit joint ses ombres ; Roi , peuple , erraient sur ces bords sombres.
Page 178 - Sur d'inébranlables pivots , Pour qui tout livre est lettre close, Et qui de tous les miens ne lirez pas deux mots , Qui loin de distinguer les vers d'avec la prose , Ne vous informez pas si les biens ou les maux Ont l'encre...
Page 28 - II se lève , il menace , il frémit , il s'élance Du fond de ses riches débris. Il voit , il voit son or, jadis inaccessible , Tressaillir sous les pas des avides brigands.
Page 57 - Lisbonne ! . . . ô sort barbare ! Tu n'es plus que dans nos regrets ! Un gouffre 'est l'héritier avare De ton peuple et de tes palais. Tu n'es , à la vue alarmée , Qu'une solitude enflammée Que parcourt la mort et l'horreur : Un jour, les siècles en silence , • Planant sur ton cadavre immense, Frémiront encor de terreur.
Page 194 - J'ai cherché pour l'amour un langage de plus. » « Vous aimez mes accents : leur charme s'en augmente; Mais l'art n'enseigne pas le plus tendre de tous. Cet accent si chéri sort du cœur d'une amante; Vous le reconnaissez quand je chante pour vous.
Page 196 - Je peignais mon amant des yeux de ma tendresse; Et quand je dessinais l'objet de tant d'ardeur, Mon cœur sous mes crayons retrouvait son bonheur. — « Et vous m'avez privé de ce plaisir extrême, De suivre vos travaux, de voir la main que j'aime Revenir sur mes traits sans cesse retouchés , Enfin de voir vos yeux sur les miens attachés. Que vous avais-je fait? Pourquoi! par quelle injure!...