Chefs-d'œuvre des auteurs comiques: Destouches, Fagan, Boissy. 1860Firmin Didot Frères, 1843 |
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... LISIMON , père ' d'Ariste . GÉRONTE , oncle d'Ariste . MÉLITE , femme d'Ariste . CÉLIANTE , sœur aînée de Mélite . FINETTE , suivante de Mélite . UN LAQUAIS . La scène est à Paris , chez Ariste . ACTE PREMIER . Le théâtre représente un ...
... LISIMON , père ' d'Ariste . GÉRONTE , oncle d'Ariste . MÉLITE , femme d'Ariste . CÉLIANTE , sœur aînée de Mélite . FINETTE , suivante de Mélite . UN LAQUAIS . La scène est à Paris , chez Ariste . ACTE PREMIER . Le théâtre représente un ...
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... . Un monsieur , appelé Lisimon . Vient d'entrer , et me suit . A ce qu'il dit , au moins . ARISTE . Qu'entends - je ? Quoi ! mon père ? PICARD . ARISTE , à part . Ciel ! · GÉRONTE . Mon vieux fou de frère ? Ah ! ACTE III , SCÈNE XII . 57.
... . Un monsieur , appelé Lisimon . Vient d'entrer , et me suit . A ce qu'il dit , au moins . ARISTE . Qu'entends - je ? Quoi ! mon père ? PICARD . ARISTE , à part . Ciel ! · GÉRONTE . Mon vieux fou de frère ? Ah ! ACTE III , SCÈNE XII . 57.
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... LISIMON , GÉRONTE , ARISTE . LISIMON , embrassant Ariste . Ah , mon fils ! quel plaisir je sens de vous revoir ! ARISTE . Vous m'avez prévenu , j'allais vous recevoir . GÉRONTE , à Lisimon . Eh bien ! que voulez - vous ? LISIMON . Il m ...
... LISIMON , GÉRONTE , ARISTE . LISIMON , embrassant Ariste . Ah , mon fils ! quel plaisir je sens de vous revoir ! ARISTE . Vous m'avez prévenu , j'allais vous recevoir . GÉRONTE , à Lisimon . Eh bien ! que voulez - vous ? LISIMON . Il m ...
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... LISIMON . Mon honneur . GÉRONTE . Jargon qu'on n'entend point , quoiqu'il frappe l'oreille . LISIMON . Mais celui de profit vous frappe et vous réveille Avant le point du jour . Moi , dans ma pauvreté , J'ai songé qui j'étais , et me ...
... LISIMON . Mon honneur . GÉRONTE . Jargon qu'on n'entend point , quoiqu'il frappe l'oreille . LISIMON . Mais celui de profit vous frappe et vous réveille Avant le point du jour . Moi , dans ma pauvreté , J'ai songé qui j'étais , et me ...
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LISIMON Je ne puis qu'applaudir ; car c'était une dame D'un très - illustre nom , comme feu son époux . Pour former ... LISIMON . Point d'obstacle , mon fils , je suis trop satisfait . ARISTE . Mais la fille est si jeune ; et vous savez ...
LISIMON Je ne puis qu'applaudir ; car c'était une dame D'un très - illustre nom , comme feu son époux . Pour former ... LISIMON . Point d'obstacle , mon fils , je suis trop satisfait . ARISTE . Mais la fille est si jeune ; et vous savez ...
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Expressions et termes fréquents
Adieu aimable aime allez Allons amant âme amour ANGÉLIQUE ARISTE ARSINOÉ avez BABET BARON billet bonheur BRETANVILLE cacher CÉLIANTE charmant cher chose CIDALISE ciel CLÉON cœur COMTE COMTESSE crois croyez cruel DAMON DESTOUCHES dire discours dois douleur doux esprit Est-ce êtes fais femme ferai fille FINETTE FLORIMON FORLIS GÉRONTE homme hymen ISABELLE j'ai j'aime j'en jamais JOSSE JULIE jure l'amour l'esprit l'Homme du jour l'interrompant LAFLEUR LAQUAIS LÉANDRE LISETTE LISIMON LOLIVE LUCILE LYCANDRE m'aime madame mademoiselle maître maîtresse malheur mariage MARQUIS MARQUISE MÉLITE mérite mieux monsieur des Masures morbleu n'en neveu oncle ORGON Parbleu parler PASQUIN pense père PETITPAS PHILINTE plaire plaisir prendre PRÉSIDENTE raison ravi révérence rien s'il vous plaît sage sais SCÈNE IV SCÈNE PREMIÈRE SCENE VII secret SÉNÉCHAL sentiments sera seul sœur soin sort tendresse trompe Tufière VALÈRE veut veux vient voilà vois voulez voulez-vous vrai yeux
Fréquemment cités
Page 176 - Je me jette à vos pieds, et je vous la demande. LYCANDRE. J'entends. La vanité me déclare à genoux Qu'un père infortuné n'est pas digne de vous '. Oui, oui, j'ai tout perdu par l'orgueil de ta mère, Et tu n'as hérité que de son caractère. LE COMTE.
Page 67 - Oui, morbleu ! dont j'enrage. Qu'est-ce qu'un philosophe ? Un fou, dont le langage N'est qu'un tissu confus de faux raisonnements; Un esprit de travers, qui, par ses arguments, Prétend, en plein midi, faire voir des étoiles; Toujours après l'erreur courant à pleines voiles, Quand il croit follement suivre la vérité ; Un bavard, inutile a la société,
Page 138 - Cher comte, serviteur. LE COMTE , à Pasquin. Cher comte ! Nous voilà grands amis, ce me semble. LISIMON. Ma foi, je suis ravi que nous logions ensemble. LE COMTE, froidement. J'en suis fort aise aussi. LISIMON. Parbleu, nous boirons bien. Vous buvez sec, dit-on ? Moi, je n'y laisse rien ' Je suis impatient de vous verser rasade,
Page 25 - pourriez m'éblouir par vos charmes, . Pour rendre tout égal, ne conviendrez-vous pas De choisir une nuit pour vider nos débats ? Vous riez? CÉLIANTE. Oui, je ris, quoique fort en colère. Cette saillie est bonne, et ne peut me déplaire '. (Elle rit plus fort.) DAMON. Je suis ravi de voir, par votre procédé, Que notre différend sera
Page 159 - signé ; Qu'immédiatement après sa signature, Elle pourrait aller à sa bonne aventure. Sur cela, force pleurs, évanouissement. Isabelle et Lisette avec gémissement L'ont vite secourue, et par cérémonie Toutes trois à présent pleurent de compagnie. Car qu'une femme pleure, une autre pleurera , Et toutes pleureront tant qu'il en surviendra. LE COMTE. Ainsi notre projet souffre de grands obstacles.
Page 195 - à l,ycandre. Et moi, de mon côté, je veux que ma famille Puisse donner un rang sortable à votre fille : Car avec de l'argent on acquiert de l'éclat ; Et je suis en marché d'un très-beau marquisat, Dont je veux que mon fils décore sa future. Dès ce soir, monsieur Josse, il faudra le conclure. Allez
Page 192 - Aussitôt qu'à Paris ton père arrivera. LE COMTE. Mon père, dites-vous ? Il ne faut point l'attendre: Jamais en ce pays il ne pourra se rendre. La goutte le retient au lit depuis six mois. LISETTE, à part. Mon frère, en vérité, ment fort bien quelquefois. LE COMTE. Mais nous irons le voir après le mariage.
Page 118 - SCÈNE PREMIÈRE. LISETTE. Dois-je me réjouir? dois-je m'inquiéter? Ce que m'a dit Lycandre est bien prompt à flatter Mon petit amour-propre ; et pourtant plus j'y pense, Et moins à son discours je trouve d'apparence. Le bonhomme, à coup sûr , s'est diverti de moi. Mais non, il m'aime trop pour me railler. Je croi Démêler sa
Page 140 - Vous en mordrez vos doigts, ou je ne suis qu'un sot. Pour un faux point d'honneur perdre votre fortune ? LE COMTE. Mais si... LISIMON. Toute contrainte, en un mot, m'importune. L'heure du dîner presse ; allons, veux-tu venir ? Nous aurons le loisir de nous entretenir Sur nos arrangements ; mais commençons par boire.
Page 28 - LE MARQUIS. Je demeure confus. LE BARON. Mais dans vos procédés je ne puis vous comprendre ! Vous avez pour cet homme une amitié bien tendre ; Et, portant à son cœur le coup le plus mortel Par un aveu choquant autant qu'il est cruel, Vous voulez faire entendre à sa flamme jalouse Que