O toi si long-temps redoutée, Déesse paisible des airs, Qui , par leur mollesse étendues, Poëmes descr. 33 Cent fois la naïade échappée S'attache à son sein embrasé: O mon cher Léandre! est-ce vous? Donne le signal du délire. En résistant à son ivresse Elle en augmente les transports. Son âme vole sur sa bouche, Léandre brûle, Héro désire; La volupté qui les inspire Brille tour à tour dans leurs yeux : Le jour renaît, l'air s'embellit, Voyez au Vol. des Mélanges (T. XVIII), les quatre Parties du Jour; par Pezai. La Description poétique du Matin; par Bernis. Le Soir et le Matin; par Saint-Lambert. |