Bulletin du bibliophile et du bibliothécaire, Volume 14,Partie 1 |
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Fréquemment cités
Page 179 - Reprit l'agneau, je tette encor ma mère. — Si ce n'est toi, c'est donc ton frère. — Je n'en ai point. — C'est donc quelqu'un des tiens ; Car vous ne m'épargnez guère, Vous, vos bergers, et vos chiens. 25 On me l'a dit : il faut que je me venge.
Page 178 - Sire, répond l'agneau, que votre majesté Ne se mette pas en colère ; Mais plutôt qu'elle considère Que je me vas désaltérant Dans le courant. Plus de vingt pas au-dessous d'elle ; Et que, par conséquent, en aucune façon, Je ne puis troubler sa boisson.
Page 467 - ... autres en répandant des écrits séditieux dans le peuple; je serais bien étonnée, dis-je, que cet homme fût un honnête homme ![...] Rousseau est peut-être un des auteurs qui a eu le plus d'esprit, qui a écrit avec le plus de chaleur, et dont l'éloquence est la plus séduisante. Il a prêché le bien; mais croyez que s'il eût prêché le mal, personne ne l'eût écouté. Il n'y aurait pas d'imposteurs si la vertu n'avait pas un masque propre à couvrir tous les visages; il nous a prêché...
Page 229 - N'espérons plus, mon âme, aux promesses du monde; Sa lumière est un verre, et sa faveur une onde Que toujours quelque vent empêche de calmer. Quittons ces vanités, lassons-nous de les suivre; C'est Dieu qui nous fait vivre, C'est Dieu qu'il faut aimer. En vain pour satisfaire à nos lâches envies, Nous passons près des rois tout le temps de nos vies A souffrir des mépris et ployer les genoux. Ce qu'ils peuvent n'est...
Page 644 - Bien que ce pasquil ait été publié dans le Recueil des pièces les plus curieuses qui ont été faites pendant le règne du connétable de Luynes (Paris, 1638, in-n, p.
Page 549 - Souvent aussi, mes pas errants Parcourent des tombeaux l'asile solitaire ; Mais pour moi les tombeaux sont tous indifférents La pauvre fille est sans parents, Au milieu des cercueils ainsi que sur la terre ! J'ai pleuré quatorze printemps Loin des bras qui m'ont repoussée. Reviens, ma mère, je t'attends Sur la pierre où tu m'as laissée ! * Sarment, bois de la vigne.
Page 177 - Qui te rend si hardi de troubler mon breuvage ? Dit cet animal plein de rage : Tu seras châtié de ta témérité.
Page 124 - Viens, parle; et s'il est vrai que la Fable autrefois Sut à tes fiers accents mêler sa douce voix ; Si sa main délicate orna ta tête altière, Si son ombre embellit les traits de ta lumière, Avec moi sur tes pas permets-lui de marcher, Pour orner tes attraits, et non pour les cacher.
Page 204 - Rochefoucauld), sur les Brigues à la mort de Louis XIII, les Guerres de Paris et de Guyenne et la prison des Princes...
Page 541 - S'éveillant avec la nature, Le jeune oiseau chantait sur l'aubépine en fleurs, Sa mère lui portait la douce nourriture, Mes yeux se sont mouillés de pleurs. Oh ! pourquoi n'ai-je pas de mère ? Pourquoi ne suis-je pas semblable au jeune oiseau, Dont le nid se balance aux branches de l'ormeau...