The colloquial French reader, or, Interesting narratives in French, for translation: accompanied by conversational exercises with grammatical and idiomatical references to Fasquelle's new French method, the explanation of the most difficult passages, and a copious vocabularyIvison, Phinney, Blakeman & Company, 1865 - 259 pages |
Autres éditions - Tout afficher
The Colloquial French Reader, Or, Interesting Narratives in French, for ... Louis Fasquelle Aucun aperçu disponible - 2018 |
The Colloquial French Reader: Or, Interesting Narratives In French For ... Louis Fasquelle Aucun aperçu disponible - 2019 |
The Colloquial French Reader: Or, Interesting Narratives In French For ... Louis Fasquelle Aucun aperçu disponible - 2019 |
Expressions et termes fréquents
¹¹ ¹º arrive avait-il back bientôt Bilboquet brave Brunon c'était CENT-SUISSE Charles VII château chêne chien cœur coffret COLLOQUIAL EXERCISE conj coup demande Dérambert Dieu dit-il à l'égard Élisa Élisabeth enfants ensuite était-il Eudoxie faisait faisait-il Fanny fants femme Fénelon firent Fodora Fœdora French Gensonné Girondin guichetier heures homme Jacopo jardin Jeanne d'Arc jeune fille Joséphine jour l'auteur l'Empereur l'enfant l'impératrice larmes literally Louise Madame main make malheureux marchand Marguerite mari ment mère meunier Mlle de Lajolais mort Moustache n. m. pl Napoléon ness NOTES AND REFERENCES.-a Offenheim one's one's self paroles passé pauvre peine père petit duc petite fille Pierre Cauchon PIERRE ROMOND pleure Polowski prince Qu'arriva-t-il Qu'est-ce redingote reine répondit reste s'écria s'était Sans-Souci SAPEUR DE DIX SECTION sœur soir soldats take tambour tambour-maître Thécla tion unip used v. a. ir vieillard vieux vivandière voilà voix voyait-on yeux
Fréquemment cités
Page 119 - Tu ne reverras plus tes riantes montagnes, Le temple, le hameau, les champs de Vaucouleurs, Et ta chaumière et tes compagnes, Et ton père expirant sous le poids des douleurs.
Page 120 - Elle y viendra gémir sous de jeunes cyprès : Puissent croître avec eux ta gloire et sa puissance ! Que sur l'airain funèbre on grave des combats, Des étendards anglais fuyant devant tes pas, Dieu vengeant par tes mains la plus juste des causes. Venez , jeunes beautés ; venez, braves soldats ; Semez sur son tombeau les lauriers et les...
Page 155 - Et puis à votre fête il compare en son âme Son foyer où jamais ne rayonne une flamme, Ses enfants affamés, et leur mère en lambeau, Et, sur un peu de paille, étendue et muette, L'aïeule, que l'hiver, hélas!
Page 157 - Donnez! pour être aimés du Dieu qui se fit homme, Pour que le méchant même en s'inclinant vous nomme, Pour que votre foyer soit calme et fraternel; Donnez! afin qu'un jour à votre heure dernière, Contre tous vos péchés vous ayez la prière D'un mendiant puissant au ciel!
Page 106 - Et même à sa manière elle nous répondait ; Son poil était si beau, d'une couleur si noire ! Trois marques seulement, plus blanches que l'ivoire, Ornaient son large front et ses pieds de devant...
Page 154 - Songez-vous qu'il est là sous le givre et la neige, Ce père sans travail que la famine assiège...
Page 74 - Que toujours deux voisins auront entre eux la guerre, Que la soif d'envahir et d'étendre ses droits Tourmentera toujours les meuniers et les rois ? En cette occasion le roi fut le moins sage ; II lorgna du voisin le modeste héritage. On avait fait des plans fort beaux sur le papier, Où le chétif enclos se perdait tout entier.
Page 120 - S'efface sous les pleurs qui tombent de nos yeux ! Qu'un monument s'élève aux lieux de ta naissance, O toi, qui des vainqueurs renversas les projets ! La France y portera son deuil et ses regrets, Sa tardive reconnaissance ; Elle y viendra gémir sous de jeunes cyprès : Puissent...
Page 30 - Épargne-le, nous n'avons plus que lui ; Lorsque ta femme vient s'asseoir sous son ombrage, Nous la réjouissons par notre doux ramage ; Elle est seule souvent, nous charmons son ennui. » Le jardinier les chasse et rit de leur requête. Il frappe un second coup.
Page 128 - L'adieu du soir. Si la neige avec violence De ses flocons couvre en silence Le lit de mort , II pousse un cri lugubre et tendre , Et s'y couche pour le défendre Des vents du nord.