Musée des monumens français: ou Description historique et chronologique des statues en marbre et en bronze, bas-reliefs et tombeaux des hommes et des femmes célèbres, pour servir à l'histoire de France et à celle de l'art; ornée de gravures; et augm. d'une dissertation sur les costumes de chaque siècle, Volume 2Guilleminet, 1801 |
Autres éditions - Tout afficher
Expressions et termes fréquents
âgé Anne août Bacchus bas-relief Bour Bourbon caveau cercueil chapelle Charles VII Chartres château Childéric Clotaire Clotaire Ier Clovis Clovis Ier Cluni comte comte de Valois connétable corps fut porté couronne Cy gist d'Austrasie Dagobert Dagobert Ier dauphin décembre duc d'Anjou duc d'Orléans duc de Bourgogne duc de Bretagne enfans enterré à Saint-Denis enterré dans l'église épitaphe épousa février fille fils aîné fils de Louis François Ier frère gogne Henri Hugues j'ai janvier Jean Jeanne Jeanne de Bourbon juillet juin l'abbaye de Saint-Denis l'an Lenoire Louis IX Louis XII marbre blanc Marguerite mariage mariée mars mausolée meurt Mézerai monumens monument mourut musée Nanthilde Navarre née noces nommé novembre octobre orné pape Pepin père Philippe IV plomb prince régné religieux Robert rois royaume sacré saint Saint-Denis Saint-Germain-des-Prés salle savoir sculpté second fils septembre siècle statue couchée surnommé temple THIERRY Ier tombeau trône voit
Fréquemment cités
Page xcvi - Host, gardien du lieu , qui conserva cette momie dans une boîte de bois de chêne , et la déposa dans la petite sacristie de l'église, où il l'exposa, pendant plus de huit mois, aux regards des curieux; et ce ne fut qu'à cette dernière époque qu'il passa au Jardin des Plantes, à la sollicitation du savant Desfontaines, professeur et membre de ce bel établissement.
Page cx - ... arrondie du côté de la tête. Le corps de Louis VIII, père de saint Louis, mort le 8 novembre 1226 , âgé de quarante ans, s'est trouvé aussi presque consommé. Sur la pierre qui couvrait son cercueil était sculptée une croix en demi-relief : on n'ya trouvé qu'un reste de sceptre de bois pourri; son diadème , qui n'était qu'une bande d'étoffe tissue en or, avee une grande calotte d'une étoffe satinée, assez bien conservée.
Page 145 - Après la mort de ce. prince, elle fut deux jours sans manger, couchée par terre et pleurant sans cesse.
Page xliii - L'empereur Othon la perdit. On tua, dit-on, trente mille Allemands, nombre probablement exagéré. L'usage était alors de charger de chaînes les prisonniers. Le comte de Flandre et le comte de Boulogne furent menés à Paris les fers aux pieds et aux mains.
Page 140 - L'art , à cette époque , commençoit à sortir de l'enfance et à prendre une forme raisonirëe. Quoique ce superbe monument soit d'un goût gothique , on y remarque des détails précieux et un grand caractère de dessin. Les statues de Louis XII et d'Anne de Bretagne , représentés dans leur état de mort , sont d'une exécution savante et étudiée< Les ouvertures que l'on voit au bas-ventre de ces.
Page cxvi - Le vendredi, z5 suivant, on voulut faire l'ouverture du tombeau de Jeanne d'Evreux, aussi de pierre ; mais on remarqua que la tombe était brisée en trois morceaux, et que la lame de plomb qui fermait le cercueil était détachée. On ne trouva que des os desséchés et sans tête.
Page cx - Sur la pierre qui couvrait son cercueil était sculptée une croix en demi-relief; on n'ya trouvé qu'un reste de sceptre de bois pourri; son diadème, qui n'était qu'une bande d'étoffe tissue en or, avec une grande calotte d'une étoffe satinée , assez bien conservée. Le corps avait été enveloppé dans un drap ou suaire tissu d'or ; on en trouva encore des morceaux assez bien conservés '. Remarques.
Page cv - Remarques. On a trouvé dans le cercueil de Charles V une couronne de vermeil bien conservée, une main de justice d'argent, et un sceptre de cinq pieds de long, surmonté de feuilles d'acanthe d'argent, bien doré, dont l'or avoit conservé tout son éclat.
Page cii - ... corps étaient en putréfaction ; il en sortait une vapeur noire et épaisse d'une odeur infecte, qu'on chassait à force de vinaigre et de poudre qu'on eut la précaution de brûler ; ce qui n'empêcha pas les ouvriers de gagner des dévoiements et des fièvres, qui n'ont pas eu de mauvaise* suites.
Page 112 - Les juges, dit un auteur, déshonorèrent leur raison et leur équité par son supplice; ils violèrent le droit des gens en la condamnant, tandis qu'elle était prisonnière de guerre, et les règles du bon sens en la brûlant comme magicienne.