Oeuvres completes de Voltaire...la Société littéraire-typographique, 1784 |
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Page 72
... Cirey . LORSQUE la divine Emilie A l'ombre des bois entendit Cette élégante bergerie , Où l'ignorant Daphnis languit Près de fon innocente amie , Où le dieu d'amour s'applaudit De leur naïve fympathie , Où des jeux la troupe choifie ...
... Cirey . LORSQUE la divine Emilie A l'ombre des bois entendit Cette élégante bergerie , Où l'ignorant Daphnis languit Près de fon innocente amie , Où le dieu d'amour s'applaudit De leur naïve fympathie , Où des jeux la troupe choifie ...
Page 77
Voltaire. LETTRE XXX VI I. A M. DE CIDEVILLE . QU A Cirey , ce 20 septembre . UE devient donc mon Cideville ? Et pourquoi ne m'écrit - il plus ? Eft - ce Thémis , eft - ce Vénus Qui l'a rendu fi difficile ? Soit que d'un vieux papier ...
Voltaire. LETTRE XXX VI I. A M. DE CIDEVILLE . QU A Cirey , ce 20 septembre . UE devient donc mon Cideville ? Et pourquoi ne m'écrit - il plus ? Eft - ce Thémis , eft - ce Vénus Qui l'a rendu fi difficile ? Soit que d'un vieux papier ...
Page 80
... Cirey fût auprès de Rouen . Mais comment oferais - je vous parler de la fublime et délicate Emilie , après la lettre groffière que je vous ai écrite ? Son nom épure tout cela . Vous croyez bien qu'elle n'a point lu cette lettre . LETTRE ...
... Cirey fût auprès de Rouen . Mais comment oferais - je vous parler de la fublime et délicate Emilie , après la lettre groffière que je vous ai écrite ? Son nom épure tout cela . Vous croyez bien qu'elle n'a point lu cette lettre . LETTRE ...
Page 92
... Thiriot , je ne fais ce que je lui dois ; on me mande qu'il m'a tourné cafaque publiquement : je ne le veux pas croire pour l'honneur de l'humanité . Vale , te amplector . LE TTRE XLIV . A M. BERGER . A Cirey 92 LETTRE.
... Thiriot , je ne fais ce que je lui dois ; on me mande qu'il m'a tourné cafaque publiquement : je ne le veux pas croire pour l'honneur de l'humanité . Vale , te amplector . LE TTRE XLIV . A M. BERGER . A Cirey 92 LETTRE.
Page 93
Voltaire. LE TTRE XLIV . A M. BERGER . A Cirey , le premier décembre . Au nom de Rameau ma froide veine fe réchauffe , Monfieur ; vous me dites qu'il a besoin de quelque guenille pour faire exécuter des morceaux de mufique chez M. le ...
Voltaire. LE TTRE XLIV . A M. BERGER . A Cirey , le premier décembre . Au nom de Rameau ma froide veine fe réchauffe , Monfieur ; vous me dites qu'il a besoin de quelque guenille pour faire exécuter des morceaux de mufique chez M. le ...
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Oeuvres complètes de Voltaire, Volume 15 Voltaire (pseud. van François-Marie Arouet) Affichage du livre entier - 1787 |
Expressions et termes fréquents
Adieu affez affurément afile aimable aime ainfi Alteffe Apollon auffi avez beaux bontés c'eft c'eſt chanter charmant cher ami cher Cideville chofe Cirey cœur complimens confeil confervez confolation d'Argental daignez Deffant deftin Dieu Dieux dife digne dire doux efprit Eft-ce embraffe Emilie envoyé épître eſt êtes fage faint fais fans doute fanté favez favoir fecret fefait féjour femble fens fentir ferait Ferney fervir feul fiècle fociété foit fommes font Formont fottifes fouhaite fouper fous fouvent fuis furtout gens goût heureux homme j'ai j'aime j'aurai j'avais jamais jufte l'abbé l'amitié l'amour l'efprit l'honneur laiffer LETTRE long-temps MADAME DE POMPADOUR Madame Denis Madame du Châtelet mademoiſelle MARQUIS DE VILLETTE meffieurs Monfieur mufe n'ai n'eft n'eſt Newton paffer parler penfer penſe perfonne philofophe plaifir plaifirs plaire poëfie poëte préfent Pruffe raiſon refpect refte réponſe rien rois s'eft ſon talens tendre trifte Voilà Voltaire
Fréquemment cités
Page 162 - Si vous voulez que j'aime encore, Rendez-moi l'âge des amours : Au crépuscule de mes jours Rejoignez, s'il se peut, l'aurore. Des beaux lieux où le dieu du vin Avec l'amour tient son empire, Le temps, qui me prend par la main, M'avertit que je me retire. De son inflexible rigueur Tirons au moins quelque avantage.
Page 31 - Une beauté qu'on nomme Rupelmonde, Avec qui les Amours et moi , Nous courons depuis peu le monde , Et qui nous donne à tous la loi , Veut qu'à l'instant je vous écrive. Ma muse, comme à vous, à lui plaire attentive, Accepte avec transport un si charmant emploi.
Page 359 - Ici gît, ou plutôt frétille, Voisenon, frère de Chaulieu. A sa muse vive et gentille Je ne prétends point dire adieu ; Car je m'en vais au même lieu, Comme un cadet de la famille.
Page 254 - En tout pays on se pique De molester les talents; Goldoni voit maint critique Combattre ses partisans. On ne savait à quel titre On doit juger ses écrits ; Dans ce procès on a pris La nature pour arbitre. Aux critiques , aux rivaux , La nature a dit sans feinte : Tout auteur a ses défauts, Mais ce Goldoni m'a peinte.
Page 347 - Vous ne pouvez empêcher cet hommage , Faible tribut de quiconque a des yeux. C'est aux mortels d'adorer votre image; L'original était fait pour les dieux. .J'ai entendu plusieurs morceaux de la Pandore de M. de La Borde; ils m'ont paru bien dignes de votre protection. La faveur donnée aux véritables beauxarts est la seule chose qui puisse augmenter l'éclat dont vous brillez.
Page 188 - Sincère et tendre Pompadour, Car je peux vous donner d'avance Ce nom qui rime avec l'amour Et qui sera bientôt le plus beau nom de France, Ce tokai, dont Votre Excellence Dans Étiolles me régala, N'at-il pas quelque ressemblance Avec le Roi qui le donna?