Oeuvres completes de Voltaire...la Société littéraire-typographique, 1784 |
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... Voilà , Monfieur , des médiocrités nouvelles pour l'antique gentilleffe dont vous m'avez fait part . Savez- vous bien où eft ce réduit dont je vous parle ? M. l'abbé Courtin dit que c'eft chez madame de 1716. A 3 A M. L'ABBÉ DE BUSSI ...
... Voilà , Monfieur , des médiocrités nouvelles pour l'antique gentilleffe dont vous m'avez fait part . Savez- vous bien où eft ce réduit dont je vous parle ? M. l'abbé Courtin dit que c'eft chez madame de 1716. A 3 A M. L'ABBÉ DE BUSSI ...
Page 10
... Voilà un faible crayon du portrait que nous vou- lions faire ; mais Il faut être inspiré pour de pareils écrits ; Nous ne fommes point beaux efprits : Et notre flageolet timide Doit céder cet honneur charmant Au luth aimable , au luth ...
... Voilà un faible crayon du portrait que nous vou- lions faire ; mais Il faut être inspiré pour de pareils écrits ; Nous ne fommes point beaux efprits : Et notre flageolet timide Doit céder cet honneur charmant Au luth aimable , au luth ...
Page 33
... Voilà tout ce que la fièvre et les fuites miférables de la petite vérole peuvent me permettre . Le trifte état où je fuis encore m'empêche de vous écrire plus au long ; mais comptez , Monfieur , que rien ne peut m'empêcher d'être ...
... Voilà tout ce que la fièvre et les fuites miférables de la petite vérole peuvent me permettre . Le trifte état où je fuis encore m'empêche de vous écrire plus au long ; mais comptez , Monfieur , que rien ne peut m'empêcher d'être ...
Page 40
... Voilà , mon cher ami , toutes les nouvelles des fpectacles . J'ai reçu par la pofte de Hollande un exemplaire de la nouvelle édition de mes ouvrages ; il y a bien des fautes . Ces meffieurs ont affecté furtout , quand ils ont vu deux ...
... Voilà , mon cher ami , toutes les nouvelles des fpectacles . J'ai reçu par la pofte de Hollande un exemplaire de la nouvelle édition de mes ouvrages ; il y a bien des fautes . Ces meffieurs ont affecté furtout , quand ils ont vu deux ...
Page 50
... Voilà ce que nous chantions madame la baronne et moi chétif . Mais comment faire pour obtenir cette faveur ? Ce n'eft pas mon affaire , c'est la vôtre . Principibus placuiffe viris non ultima laus eft . Vous qui favez ce secret ...
... Voilà ce que nous chantions madame la baronne et moi chétif . Mais comment faire pour obtenir cette faveur ? Ce n'eft pas mon affaire , c'est la vôtre . Principibus placuiffe viris non ultima laus eft . Vous qui favez ce secret ...
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Oeuvres complètes de Voltaire, Volume 15 Voltaire (pseud. van François-Marie Arouet) Affichage du livre entier - 1787 |
Expressions et termes fréquents
Adieu affez affurément afile aimable aime ainfi Alteffe Apollon auffi avez beaux bontés c'eft c'eſt chanter charmant cher ami cher Cideville chofe Cirey cœur complimens confeil confervez confolation d'Argental daignez Deffant deftin Dieu Dieux dife digne dire doux efprit Eft-ce embraffe Emilie envoyé épître eſt êtes fage faint fais fans doute fanté favez favoir fecret fefait féjour femble fens fentir ferait Ferney fervir feul fiècle fociété foit fommes font Formont fottifes fouhaite fouper fous fouvent fuis furtout gens goût heureux homme j'ai j'aime j'aurai j'avais jamais jufte l'abbé l'amitié l'amour l'efprit l'honneur laiffer LETTRE long-temps MADAME DE POMPADOUR Madame Denis Madame du Châtelet mademoiſelle MARQUIS DE VILLETTE meffieurs Monfieur mufe n'ai n'eft n'eſt Newton paffer parler penfer penſe perfonne philofophe plaifir plaifirs plaire poëfie poëte préfent Pruffe raiſon refpect refte réponſe rien rois s'eft ſon talens tendre trifte Voilà Voltaire
Fréquemment cités
Page 162 - Si vous voulez que j'aime encore, Rendez-moi l'âge des amours : Au crépuscule de mes jours Rejoignez, s'il se peut, l'aurore. Des beaux lieux où le dieu du vin Avec l'amour tient son empire, Le temps, qui me prend par la main, M'avertit que je me retire. De son inflexible rigueur Tirons au moins quelque avantage.
Page 31 - Une beauté qu'on nomme Rupelmonde, Avec qui les Amours et moi , Nous courons depuis peu le monde , Et qui nous donne à tous la loi , Veut qu'à l'instant je vous écrive. Ma muse, comme à vous, à lui plaire attentive, Accepte avec transport un si charmant emploi.
Page 359 - Ici gît, ou plutôt frétille, Voisenon, frère de Chaulieu. A sa muse vive et gentille Je ne prétends point dire adieu ; Car je m'en vais au même lieu, Comme un cadet de la famille.
Page 254 - En tout pays on se pique De molester les talents; Goldoni voit maint critique Combattre ses partisans. On ne savait à quel titre On doit juger ses écrits ; Dans ce procès on a pris La nature pour arbitre. Aux critiques , aux rivaux , La nature a dit sans feinte : Tout auteur a ses défauts, Mais ce Goldoni m'a peinte.
Page 347 - Vous ne pouvez empêcher cet hommage , Faible tribut de quiconque a des yeux. C'est aux mortels d'adorer votre image; L'original était fait pour les dieux. .J'ai entendu plusieurs morceaux de la Pandore de M. de La Borde; ils m'ont paru bien dignes de votre protection. La faveur donnée aux véritables beauxarts est la seule chose qui puisse augmenter l'éclat dont vous brillez.
Page 188 - Sincère et tendre Pompadour, Car je peux vous donner d'avance Ce nom qui rime avec l'amour Et qui sera bientôt le plus beau nom de France, Ce tokai, dont Votre Excellence Dans Étiolles me régala, N'at-il pas quelque ressemblance Avec le Roi qui le donna?