Oeuvres completes de Voltaire...la Société littéraire-typographique, 1784 |
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... Et que j'ai vus entre leurs mains . Ah ! que j'aime ces vers badins , Ces riens naïfs et pleins de grâce , Tels que l'ingénieux Horace 1717 . 1717 . En eût fait l'ame d'un repas , Lorsqu'à A M. LE PRINCE DE VENDOME . 9.
... Et que j'ai vus entre leurs mains . Ah ! que j'aime ces vers badins , Ces riens naïfs et pleins de grâce , Tels que l'ingénieux Horace 1717 . 1717 . En eût fait l'ame d'un repas , Lorsqu'à A M. LE PRINCE DE VENDOME . 9.
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... j'ai compofée pour monfeigneur le régent ; fi vous la trouvez digné de vous , elle le fera de lui , et je vous fupplie de la lui faire lire dans un de ces momens ( 1 ) Voyez le volume d'Epitres . qui font toujours favorables aux ...
... j'ai compofée pour monfeigneur le régent ; fi vous la trouvez digné de vous , elle le fera de lui , et je vous fupplie de la lui faire lire dans un de ces momens ( 1 ) Voyez le volume d'Epitres . qui font toujours favorables aux ...
Page 15
... J'ai tâché d'éviter dans 1717 . cet ouvrage les flatteries trop outrées et les plaintes trop fortes , et d'y être libre fans hardieffe . Si j'avais l'honneur d'être plus connu de vous que je ne le fuis , vous verriez que je parle dans ...
... J'ai tâché d'éviter dans 1717 . cet ouvrage les flatteries trop outrées et les plaintes trop fortes , et d'y être libre fans hardieffe . Si j'avais l'honneur d'être plus connu de vous que je ne le fuis , vous verriez que je parle dans ...
Page 19
... j'ai à Sully , je n'ai plus à fouhaiter que d'avoir l'honneur de vous voir à Uffé , et de vous donner des nuits blanches comme à madame de la Vrillière . Je vous demande en grâce , Madame , de me mander fi vous n'irez point en Touraine ...
... j'ai à Sully , je n'ai plus à fouhaiter que d'avoir l'honneur de vous voir à Uffé , et de vous donner des nuits blanches comme à madame de la Vrillière . Je vous demande en grâce , Madame , de me mander fi vous n'irez point en Touraine ...
Page 22
... j'ai le plaifir de jeter tous les foirs au feu tout ce que j'ai barbouillé dans la journée . Par fois je lis une belle ftrophe de votre ami M. de la Motte , et puis je me dis tout bas : Petit miférable , quand feras - tu quelque chofe d ...
... j'ai le plaifir de jeter tous les foirs au feu tout ce que j'ai barbouillé dans la journée . Par fois je lis une belle ftrophe de votre ami M. de la Motte , et puis je me dis tout bas : Petit miférable , quand feras - tu quelque chofe d ...
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Oeuvres complètes de Voltaire, Volume 15 Voltaire (pseud. van François-Marie Arouet) Affichage du livre entier - 1787 |
Expressions et termes fréquents
Adieu affez affurément afile aimable aime ainfi Alteffe Apollon auffi avez beaux bontés c'eft c'eſt chanter charmant cher ami cher Cideville chofe Cirey cœur complimens confeil confervez confolation d'Argental daignez Deffant deftin Dieu Dieux dife digne dire doux efprit Eft-ce embraffe Emilie envoyé épître eſt êtes fage faint fais fans doute fanté favez favoir fecret fefait féjour femble fens fentir ferait Ferney fervir feul fiècle fociété foit fommes font Formont fottifes fouhaite fouper fous fouvent fuis furtout gens goût heureux homme j'ai j'aime j'aurai j'avais jamais jufte l'abbé l'amitié l'amour l'efprit l'honneur laiffer LETTRE long-temps MADAME DE POMPADOUR Madame Denis Madame du Châtelet mademoiſelle MARQUIS DE VILLETTE meffieurs Monfieur mufe n'ai n'eft n'eſt Newton paffer parler penfer penſe perfonne philofophe plaifir plaifirs plaire poëfie poëte préfent Pruffe raiſon refpect refte réponſe rien rois s'eft ſon talens tendre trifte Voilà Voltaire
Fréquemment cités
Page 162 - Si vous voulez que j'aime encore, Rendez-moi l'âge des amours : Au crépuscule de mes jours Rejoignez, s'il se peut, l'aurore. Des beaux lieux où le dieu du vin Avec l'amour tient son empire, Le temps, qui me prend par la main, M'avertit que je me retire. De son inflexible rigueur Tirons au moins quelque avantage.
Page 31 - Une beauté qu'on nomme Rupelmonde, Avec qui les Amours et moi , Nous courons depuis peu le monde , Et qui nous donne à tous la loi , Veut qu'à l'instant je vous écrive. Ma muse, comme à vous, à lui plaire attentive, Accepte avec transport un si charmant emploi.
Page 359 - Ici gît, ou plutôt frétille, Voisenon, frère de Chaulieu. A sa muse vive et gentille Je ne prétends point dire adieu ; Car je m'en vais au même lieu, Comme un cadet de la famille.
Page 254 - En tout pays on se pique De molester les talents; Goldoni voit maint critique Combattre ses partisans. On ne savait à quel titre On doit juger ses écrits ; Dans ce procès on a pris La nature pour arbitre. Aux critiques , aux rivaux , La nature a dit sans feinte : Tout auteur a ses défauts, Mais ce Goldoni m'a peinte.
Page 347 - Vous ne pouvez empêcher cet hommage , Faible tribut de quiconque a des yeux. C'est aux mortels d'adorer votre image; L'original était fait pour les dieux. .J'ai entendu plusieurs morceaux de la Pandore de M. de La Borde; ils m'ont paru bien dignes de votre protection. La faveur donnée aux véritables beauxarts est la seule chose qui puisse augmenter l'éclat dont vous brillez.
Page 188 - Sincère et tendre Pompadour, Car je peux vous donner d'avance Ce nom qui rime avec l'amour Et qui sera bientôt le plus beau nom de France, Ce tokai, dont Votre Excellence Dans Étiolles me régala, N'at-il pas quelque ressemblance Avec le Roi qui le donna?