Oeuvres completes de Voltaire...la Société littéraire-typographique, 1784 |
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Page 4
... yeux Portent un poison gracieux ; Et que le ciel en fa furie , De notre bonheur envieux , A fait naître dans ces beaux lieux Au fein de la galanterie . Voyez - vous comme un miel flatteur Distille de fa bouche impure ? Voyez - vous ...
... yeux Portent un poison gracieux ; Et que le ciel en fa furie , De notre bonheur envieux , A fait naître dans ces beaux lieux Au fein de la galanterie . Voyez - vous comme un miel flatteur Distille de fa bouche impure ? Voyez - vous ...
Page 8
... yeux et marche de côté . Il favorife , et certes c'eft dommage , Force fripons ; mais il conduit le fage . Il eft au bal , à l'églife , à la cour ; Au temps jadis il a guidé l'amour . Malheureufement ce Dieu n'était pas à Sully ; il ...
... yeux et marche de côté . Il favorife , et certes c'eft dommage , Force fripons ; mais il conduit le fage . Il eft au bal , à l'églife , à la cour ; Au temps jadis il a guidé l'amour . Malheureufement ce Dieu n'était pas à Sully ; il ...
Page 9
... yeux . Nous euffions peint les Jeux voltigeans fur vos traces , Et cet efprit charmant , au sein d'un doux loifir , Agréable dans le plaifir , Héroïque dans les difgrâces . Nous vous euffions parlé de ces bienheureux jours , Jours ...
... yeux . Nous euffions peint les Jeux voltigeans fur vos traces , Et cet efprit charmant , au sein d'un doux loifir , Agréable dans le plaifir , Héroïque dans les difgrâces . Nous vous euffions parlé de ces bienheureux jours , Jours ...
Page 58
... yeux pleins d'attraits Ces vers contre la calomnie ; Ce monftre dangereux ne vous blessa jamais ; Vous êtes cependant sa plus grande ennemie . Votre efprit fage et mefuré , Non moins indulgent qu'éclairé , Plaint nos travers au lieu d ...
... yeux pleins d'attraits Ces vers contre la calomnie ; Ce monftre dangereux ne vous blessa jamais ; Vous êtes cependant sa plus grande ennemie . Votre efprit fage et mefuré , Non moins indulgent qu'éclairé , Plaint nos travers au lieu d ...
Page 66
... réunit , voluptueux et fage , L'art de penfer au riant badinage . Il veut vous voir , allez ; et plût aux Dieux Qu'ainfi que vous je parusse à ses yeux ! Ne craignez point fon goût ni fa prudence , Puifqu'il 66 LETTRE.
... réunit , voluptueux et fage , L'art de penfer au riant badinage . Il veut vous voir , allez ; et plût aux Dieux Qu'ainfi que vous je parusse à ses yeux ! Ne craignez point fon goût ni fa prudence , Puifqu'il 66 LETTRE.
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Oeuvres complètes de Voltaire, Volume 15 Voltaire (pseud. van François-Marie Arouet) Affichage du livre entier - 1787 |
Expressions et termes fréquents
Adieu affez affurément afile aimable aime ainfi Alteffe Apollon auffi avez beaux bontés c'eft c'eſt chanter charmant cher ami cher Cideville chofe Cirey cœur complimens confeil confervez confolation d'Argental daignez Deffant deftin Dieu Dieux dife digne dire doux efprit Eft-ce embraffe Emilie envoyé épître eſt êtes fage faint fais fans doute fanté favez favoir fecret fefait féjour femble fens fentir ferait Ferney fervir feul fiècle fociété foit fommes font Formont fottifes fouhaite fouper fous fouvent fuis furtout gens goût heureux homme j'ai j'aime j'aurai j'avais jamais jufte l'abbé l'amitié l'amour l'efprit l'honneur laiffer LETTRE long-temps MADAME DE POMPADOUR Madame Denis Madame du Châtelet mademoiſelle MARQUIS DE VILLETTE meffieurs Monfieur mufe n'ai n'eft n'eſt Newton paffer parler penfer penſe perfonne philofophe plaifir plaifirs plaire poëfie poëte préfent Pruffe raiſon refpect refte réponſe rien rois s'eft ſon talens tendre trifte Voilà Voltaire
Fréquemment cités
Page 162 - Si vous voulez que j'aime encore, Rendez-moi l'âge des amours : Au crépuscule de mes jours Rejoignez, s'il se peut, l'aurore. Des beaux lieux où le dieu du vin Avec l'amour tient son empire, Le temps, qui me prend par la main, M'avertit que je me retire. De son inflexible rigueur Tirons au moins quelque avantage.
Page 31 - Une beauté qu'on nomme Rupelmonde, Avec qui les Amours et moi , Nous courons depuis peu le monde , Et qui nous donne à tous la loi , Veut qu'à l'instant je vous écrive. Ma muse, comme à vous, à lui plaire attentive, Accepte avec transport un si charmant emploi.
Page 359 - Ici gît, ou plutôt frétille, Voisenon, frère de Chaulieu. A sa muse vive et gentille Je ne prétends point dire adieu ; Car je m'en vais au même lieu, Comme un cadet de la famille.
Page 254 - En tout pays on se pique De molester les talents; Goldoni voit maint critique Combattre ses partisans. On ne savait à quel titre On doit juger ses écrits ; Dans ce procès on a pris La nature pour arbitre. Aux critiques , aux rivaux , La nature a dit sans feinte : Tout auteur a ses défauts, Mais ce Goldoni m'a peinte.
Page 347 - Vous ne pouvez empêcher cet hommage , Faible tribut de quiconque a des yeux. C'est aux mortels d'adorer votre image; L'original était fait pour les dieux. .J'ai entendu plusieurs morceaux de la Pandore de M. de La Borde; ils m'ont paru bien dignes de votre protection. La faveur donnée aux véritables beauxarts est la seule chose qui puisse augmenter l'éclat dont vous brillez.
Page 188 - Sincère et tendre Pompadour, Car je peux vous donner d'avance Ce nom qui rime avec l'amour Et qui sera bientôt le plus beau nom de France, Ce tokai, dont Votre Excellence Dans Étiolles me régala, N'at-il pas quelque ressemblance Avec le Roi qui le donna?