L'Année littéraire: ou, suite des lettres sur quelques écrits de ce temps, Volumes 3 à 4Fréron., 1756 |
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L'année littéraire: ou, suite des lettres sur quelques écrits de ..., Volume 7 Elie-Catherine Fréron Affichage du livre entier - 1774 |
L'année littéraire: ou, suite des lettres sur quelques écrits de ..., Volume 8 Elie-Catherine Fréron Affichage du livre entier - 1758 |
L'année littéraire: ou, suite des lettres sur quelques écrits de ..., Volume 6 Elie-Catherine Fréron Affichage du livre entier - 1774 |
Expressions et termes fréquents
affez ainſi ajoûte Anglois Aucaffin auffi auſſi avoient avoit beſoin brochure c'eſt cauſe choſe citoyen Colonies commerce déja denrées différens diſcours enfans enſuite Eſclaves Eſpagnols eſpèce eſprit eſt étoient étoit fans femme feroit foit font François Françoiſe fur-tout fuſſent goût grace guerre hiſtoire homme juſqu'à juſte juſtice L'ANNÉE LITTÉRAIRE l'au l'auteur l'eſprit l'hiſtoire laiſſe Lettres loix lorſque Madame de Sévigné ment Minorque Monfieur Muſique n'eſt n'étoit nation néceſſaire nobleſſe ouvrage Paraguay paroît paſſe penſe perſonnes Pierre Pithou Pithou plaiſir pluſieurs poëme poëte premier préſente preſque Prince propoſe Puiſſances puiſſe queſtion raiſon Religion reſte richeſſes Royaume s'eſt ſage Saint ſans ſans doute ſçait ſçauroit ſçavoir ſe trouve ſecond ſecours ſelon ſemble ſens ſent ſentiment ſera Sérigny ſes ſeul ſeulement ſiècle ſieur ſoin ſoit ſon ſont ſous ſouvent ſtyle ſuccès ſuis ſuite ſujet ſur ſyſtême teur tion troiſième vaiſſeaux
Fréquemment cités
Page 24 - ... parce qu'on sait que depuis peu j'aime les vers, on m'en apporte de toutes les façons.' Le maréchal, après avoir lu, dit au Roi : ' Sire, Votre Majesté juge divinement bien de toutes choses ; il est vrai que voilà le plus sot et le plus ridicule madrigal que j'aie jamais lu.
Page 25 - Ah ! Sire, quelle trahison ! que Votre Majesté me le rende, je l'ai lu brusquement. — Non, Monsieur le maréchal, les premiers sentiments sont toujours les plus naturels.' Le roi a fort ri de cette folie ; et tout le monde trouve que voilà la plus cruelle petite chose que l'on puisse faire à un vieux courtisan.
Page 226 - Il ordonne que les archevêques , dans leurs vifites , auront tout au plus quarante ou cinquante chevaux , les cardinaux vingt-cinq , les évêques vingt ou trente , les archidiacres fept , les doyens & leurs inférieurs deux. On leur défend en outre de mener avec eux des chiens & des oifeaux pour la...
Page 138 - L'animal furieux s'élança fur lui, le jetta par terre, & à grands coups de bec le blefla. à l'endroit où le malheureux Abailard fut puni avec tant d'injuftice & de barbarie. Tous les fecours de l'art ne purent rendre au jeune Boileau les dons de la nature ; en forte qu'il fe vit, prefqu'ert naiHant, hors d'état de pouvoir jamais goûter les plaints de l'amour ou de l'hymen.
Page 228 - C'étoient des Gentilshommes armés de maflues d'airain , d'arcs & de carquois garnis de flèches. Ils ne dévoient point quitter le Prince, ni laifler approcher de fa Perfonne aucun inconnu. Leur Office étoit à vie. On les employa dans la fuite à porter les ordres du Souverain , lorfqu'il citoit quelqu'un à fa Cour.
Page 321 - Cet outrage lui fut plus fenfible que tour le refte. Après que fa douleur & fa rage eurent éclaté en injures, car il ne pouVoit fe venger autrement , on le poignarda en préfènce de fon époufe. Celleci ne fut pas traitée d'une manière moins barbare ; pour la forcer aufîi à d'ire où...
Page 233 - SaintDenis avec toute la pompe qui convenoit à un fi grand Prince, il s'éleva une difpute entre Guillaume de Joinville & le Cardinal Conrad. Celuici prétendoit officier, comme Légat du Pape ; celui-là, comme Archevêque de Reims. Pour terminer la querelle , on s'avifa d'un expédient qui fatisfit également les deux Prélats. Il fut décidé que tous deux...
Page 310 - Cela joint à la confiance que doit donner le mot de paix prononcé par la bouche d'un capitaine nous a fait perdre beaucoup de monde.
Page 277 - ... ont conduit à leur perfection les arts dont l'objet eft de plaire par l'imitation de la nature.
Page 232 - Dans cette vue, il imagina le jeu des échecs, où le roi, quoique la plus importante de toutes les pièces, est impuissant pour attaquer et même pour se défendre contre les ennemis sans le secours de ses sujets et de ses soldats.